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Le sexe, ça peut être aussi sauvage !

NXPL Sexe Sauvage
Alors que le sexe est très souvent décrit comme tendre, un peu de sauvagerie voire de violence peut faire exploser le plaisir pour la femme et l’homme. L’agressivité s’exprime alors dans un désir primal, l’énergie vitale transmute les amants en du désir pur et le résultat est souvent jouissif. Une recette à utiliser de temps en temps pour s’assumer en tant que femme.

Voici le témoignage d’une lectrice, Johanna, sur une de ses sessions de sexe sauvage et le plaisir si spécifique qu’elle y trouve.
PS : L’illustration de l’article est de François Dubeau (le site est ici).

Après 3h30 de shooting et 6 douches, je suis encore en pleine forme. Mon mec nous rejoint et me plaque contre le mur, l’œil sévère. Il tient mes bras en l’air par mes poignets et me crie “Tu es à moi, à moi. Quand t’es avec moi t’es qu’à moi”.

Je le regarde bien en face “T’es jaloux de Lucas toi. T’inquiète il sait pas étrangler”. Il me relâche confus, me baragouine que non il n’est pas jaloux. Se sent un peu con. On rejoint les autres.

Deux heures plus tard, je suis dans ses bras sur le canapé, on discute de nos vies, de notre avenir, enfin seuls. Moment so romantic qui ne dure pas. Il veut ma chatte et part la trouver sous ma robe fuchsia. Sa langue me fouille, me pénètre le sexe et l’anus bientôt suivie de ses doigts qu’il utilise violemment. Il aime la brutalité quand il a picolé. Je ne sais toujours pas ce qui me rend accroc à ce mec que je devrais peut-être fuir…

Je mouille et mon odeur se propage dans le petit salon. Je le supplie de me défoncer. Il veut des mots crus ce soir et me demande de le redire, grossièrement et de façon suppliante. Je lui redemande de me baiser en me dirigeant sur son fauteuil fétiche et en écartant mes cuisses. Robe soulevée il me cambre exagérément, attrape mes hanches et me pénètre avant même que je puisse dire “doucement”.

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Sa queue est large, la plus grosse de tous mes hommes actuels. Elle me tape fort et déchire ma vulve qui s’ouvre en se cisaillant sous les coups. Ma chatte mouille bien à l’intérieur ce qui protège mon vagin de la douleur. Ma vulve, elle, ne reçoit pas assez de mouille et me brûle fort. Il écrase ma tête sur le canapé et la colle sur le siège, je suffoque ainsi contorsionnée. J’ai du mal à respirer et il claque mes fesses de plus en plus fort en m’empêchant de remonter la tête. Les coups s’arrêtent et il m’hurle de lui dire que je suis sa pute et que j’adore sa grosse queue. Je m’exécute, complètement excitée et folle de plaisir.

Je me redresse, ma bave inonde mon cou. Son regard se fait tendre un instant puis sa mâchoire se serre. Je sais qu’il va me tester encore. Il accélère, je jouis et hurle, il m’étrangle fort, m’obligeant à fermer cette gueule qu’il adore. Il me lâche et, violemment, sors mes seins lourds de mon cache cœur. Je m’admire. Ils sont si tendus et leur aréole me comble. Rose et ferme elle attire mon homme qui me trait tout en me bourrant la chatte de plus en plus fort, sortant toute sa bite puis me refourrant au-delà du supportable.

La douleur sort de mon sexe, de ma vulve, de mes tétons étirés. Pourtant j’hurle de bonheur, mes orgasmes se succèdent. Il me mate dans ce miroir placé en face de moi. Je me regarde, me plait, l’admire. Aucun autre homme ne peut me baiser ainsi. Je ne sais pas pourquoi je le laisse me traiter ainsi et encore moins comment je suis chaque jour de plus en plus folle de son odeur, de sa sueur et de ses coups.

Il m’attrape les hanches et me gorge de sa semence en grognant. J’hurle avec lui, épuisée et repue de cul. Il s’essuie, part dans la salle de bain, revient nu. Il m’annonce qu’il ne va pas s’habiller et encore moins me raccompagner à ma voiture. Sa pute peut partir, il s’est vidé les couilles. A plus.

Je pars incroyablement forte dans la rue, son jus coulant vulgairement sur mes jambes….

Un retour d’expérience de Johanna.

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