Mon homme, tu es assis avec moi au dernier rang, au fond d’un wagon de première classe. Le wagon n’est pas plein, les sièges à coté de nous sont vides. Ainsi placé nous sommes à l’abri des regards, malgré les autres voyageurs tous proches.
Le wagon est calme, silencieux, mais j’ai envie de te susurrer des mots tendres à ton oreille. Mes mots puis ma langue caressent ton oreille. Je goute à ton lobe, à la peau de ton cou. Je veux te manger.
Je vois une furieuse énergie bomber ton pantalon. Alors je m’accroupis devant toi et en te dévorant du regard j’ouvre la braguette de ton pantalon. Tu es aux délice. Quand je caresse tes bourses avec mes doigts tu émets un petit gémissement que je réprime du bout de mon doigt.
Puis avec ce même doigt, je l’humidifie de ma salive pour le faire danser autours de ton gland puis te caresser l’anus. Alors ma langue lèche tes jolies bourses qui se tendent et se tonifient puis je prendrai ton sculptural sexe dans ma bouche pour le réchauffer, jouer avec et le têter.
Puis je percevrai ton attention ailleurs. Tu as été atiré par le regard d’une femme assise quelques rangées plus loin. Elle nous sourit malicieusement. Alors tu m’interroge des yeux, mes lèvres susurent oui et tu l’invites à s’approcher.
Elle se glisse près de nous dans l’espace exigu entre les fauteuils. Je sens son corps se presser contre le mien, épouser mon dos ? Et pendant qu’une main vient caresser ton sexe alors que ma bouche humecte tes bourses, je sens sa deuxième main se glisser dans ma culotte…