C’est une soirée «Pleine Lune», nous dit la dame de l’accueil qui porte une jolie robe noire, élégante, et sexy juste ce qu’il faut. Nous n’avons pas regardé le «programme» avant de venir au club. Nous avions juste envie de passer la soirée dans un sauna libertin à Toulouse.
Dans la ruelle qui nous mena au club, un homme nous avait salué. C’est un signe que nous sommes dans la bonne rue, avais-je dit, en souriant à mon compagnon. La dame de l’accueil nous tend une lampe de poche. Devant notre étonnement, elle nous explique que le club est dans le noir et que le seul moyen de s’éclairer sont ces lampes de poche. Elle donne un peignoir à mon compagnon, une serviette à chacun et un paréo pour moi.
L’entrée est agréable avec de grands rideaux rouges. Elle me fait toute suite une bonne impression. Les vestiaires se situent en bas d’un escalier partant de l’entrée. Nous y descendons. Ils sont propres et je regrette que nous n’ayons qu’un casier pour deux. Munie de notre lampe de poche, nous remontons et nous faisons le tour des lieux. Les couloirs sont donc, dans le noir et cela donne un côté assez amusant (même si j’ai un peu peur du noir). Je cherche une douche pour me délasser car je descend à peine de l’avion. Se doucher dans le noir n’est pas très pratique, et les douches sont sommaires, un peu comme dans des vestiaires de foot. Il n’y a pas de savon. Je me débrouille, et toute fraiche, je continue l’exploration.
Les couloirs desservent plusieurs espaces. Dans l’un d’eux, on trouve des lits en forme de U. Un peu plus loin, nous croisons un couple près d’une cloison percée de deux glory holes. Après quelques mots amusés, nos hommes se positionnent dans les trous de la cloison, présentant leur bandaison. Chacune de nous prodigue ses soins à son compagnon en jouant à le faire bander au mieux. Puis nous échangeons notre place, pour donner de nouvelles sensations à un inconnu.
Nous laissons le couple et nous retournons au «salon» où des fruits sont mis à disposition. Nous pouvons également consommer des boissons fraiches ou chaudes à discrétion.
Après ces rafraichissements, nous arrivons dans un grand bain, noir de monde (le tout dans le noir). Je commence à trouver cela très amusant. La piscine bruisse de murmures et de clapotis. Nous laissons peignoir, paréo et lampe sur un porte manteau, et nous jetons dans la foule et à l’eau. Nous trouvons une petite place de libre. La proximité, le noir, le grand nombre de couple font que les rapprochements se font rapidement. Après quelques jeux, nous décidons de continuer la visite. En partant, mon compagnon ne retrouve plus son peignoir, sûrement pris par une personne ayant envie d’un peignoir sec. Nous en demandons un nouveau à l’entrée, descendons aux vestiaires pour déposer quelque chose et, au moment de remonter les escaliers, j’entends des bruits de fesses claquées.
Oh ! Cela m’excite beaucoup, et je m’aperçois qu’il y a une grande salle en bas dont l’entrée est dans les vestiaires. Dans un coin accueillant, des couples s’ébattent sur des matelas par terre. Un peu plus loin de grands lits, fermés par des rideaux transparents, occupés également par des couples. Nous nous insérons au milieu des couples qui sont sur les matelas au sol car j’y ai repéré une jeune femme tout à fait à mon goût. Nous serons surtout spectateur, les connivences étant déjà établies. J’y un vois un magnifique fist du vagin entre deux femmes. Superbe expérience, excitante et terriblement respectueuse.
Nous retournons dans la piscine, retrouvons un homme seul qui m’avait plu. Puis, nous nous enfermons dans une petite cabine avec lui. Par les glory holes, nous voyons quelques lumières de lampe de poche attirées par mes gémissements.
Nous partons ravis de notre soirée.
Conclusion : Lors de notre soirée, ce club était bien fréquenté. Les lampes de poche donnent un côté amusant, excitant, favorable aux rencontres. Nous apprendrons par la suite, en visitant un autre club de la ville, que cette soirée «Pleine Lune» est prisée par les couples du secteur. Le club est propre et soigné. La décoration mériterait d’être revue car elle fait très «début des années 2000». Le club est en centre-ville, ce qui est très pratique. L’accueil est très bon.
L’adresse du club est : 5 impasse St Aubin , 31000 Toulouse
Ne doit-on pas écrire glory-hole plutôt ?!! 😉
Bien vu, j’ai corrigé car vous avez évidemment raison 🙂
Loin de moi l’idée de vouloir abuser mais il reste une gloriole dans les trous de la gloire !!! 😉
Cette idée de plonger le club dans le noir est assez épatante. Ai-je bien compris en déduisant que ça n’est le cas que lors des soirées « pleine lune » ?
D’après ce que j’ai compris, le club est dans le noir seulement aux soirées “pleine Lune”