#13725
Theghosssst
Participant

Je reviens vers vous pour ma toute nouvelle session Aneros.
Étant seul la nuit dernière, j’en ai profité pour entamer une nouvelle expérience. Hier soir, je me suis donc couché avec mon Aneros en moi. Cette fois-ci, j’ai changé de lubrifiant. Le sommeil n’a pas été aussi profond que d’habitude. Je me suis réveillé dans la nuit car Je ne suis pas habitué à sentir un objet en moi. Lors de ce réveil nocturne, étant calme et sans aucunes attentes de la part de mon Aneros, j’ai commencé lentement les contractions. Je me suis appliqué à sentir toute nouvelle infime sensation dans mon ventre ou aux alentours. Je ne voyais pas l’heure mais je pense avoir pratiqué cela pendant au moins 30 minutes. Toujours avec plus ou moins de concentration sur le moindre petit frisson. J’ai constaté deux nouveaux points intéressants:
-j’ai senti le mouvement de l’Aneros à chaque contraction. Je le sentais glisser en moi. Je le sentais entrer et sortir.
-La difficulté à ressentir toute nouvelle vibration en moi vient de cet appui de la barre de l’Anéros sur mon périnée que je sentais pendant chaque longue contraction. Un peu comme tenter d’entendre le chant discret d’un oiseau au milieu d’une forêt où un homme équipé d’une tronçonneuse taille des arbres.
Bien sur, ma question aujourd’hui en découle; comment localisez-vous le plaisir infime de votre intérieur, le plaisir de la prostate malgré le touché constant de la butée périnéale ?
J’ai retiré l’Anéros avant de me rendormir.
Quoi qu’il en soit, je ne suis pas déçu par cette nouvelle expérience nocturne. Je suis surtout un peu frustré à chaque fois en lisant certains récits d’hommes qui découvrent les contractions involontaires dès les premières séances… je ne connais toujours pas cette phase là. 🙁
Le levé du matin était difficile … sourire