#21632
aneveil
Participant

Merci Andraneros pour cette synthèse !

En effet l’apprentissage menant vers l’orgasme prostatique peut être long et semé d’embuches et je ne suis pas encore arrivé au bout du chemin… Si on m’avait dit que c’était si compliqué, je n’aurai probablement pas sauté le pas, mais je ne peux plus faire marche arrière…

A présent je ne vais pas me presser car j’ai compris qu’il fallait être dans un certain état de sérénité et que la prostate devait être un minimum réveillée avant une cession.
Je m’aperçois à présent que tous les problèmes que j’ai décrit étaient liés et qu’il me faut en priorité travailler le calme, la stabilité voir une paix intérieure.
Une certaine simplicité (ayant évacué le trop plein de dialogue intérieur) et le calme intérieur favorisent un bon sommeil, de bonnes érections, sont indispensables pour une cession avec l’Aneros et permettent aussi de faire chuter l’hypertension.

J’avoue que ma voie principale n’est pas (ou plus) la quête du Super O, mais quelque chose de plus vaste. Et concernant la sexualité, je me sens (et notre couple aussi) en effet de plus en plus guidé vers une forme de sexualité sacrée ou je pense que le plaisir prostatique peut avoir toute sa place sous certaines conditions que je développerai sûrement plus tard et sur un autre fil.