#26394
nydor01
Participant

Bonjour Jean74,

Je vais essayer de répondre le plus précisément possible.
Je vais développer le cas où je suis sur le ventre pour expliquer mes sensations et leurs effets. En fonction, des positions, elles ne sont pas exactement les mêmes, disons que mon cerveau ne les perçoit pas d’une façon identique. Par exemple, si je suis sur les genoux, plus ou moins repliés sur moi, je sens les parois de mon rectum qui se contractent et compriment ma prostate, et j’ai des projections du bassin d’avant en arrière très puissantes.

Sur le ventre, la première sensation est très localisée, au niveau de la face antérieure du rectum, c’est comme un léger tiraillement voluptueux (ou de légers pics de plaisir, ou des chatouillements) qui s’accompagne d’une sensation de chaleur. À ce stade, j’ai de brefs et brusques spasmes du bassin, parfois un ou deux seulement, suivis d’une sensation de pulsation. Progressivement, les sensations s’amplifient, de même que la fréquence et la durée des spasmes (une succession d’orgasmes en palier), ma respiration s’accélère, devient bruyante.

Ensuite, les tiraillements, ou vibrations, s’étendent et gagnent en intensité, la chaleur gagne tout mon bassin, je ressens une forte tension qui crée des vagues de plaisirs intenses, lesquelles vagues déclenchent de fortes convulsions. C’est comme si j’avais une pile en moi qui diffuse son énergie rayonnante. Également, parfois, tous les muscles de mon bassin sont comme tétanisés par l’amplification des sensations. Alors, mon bassin se soulève tout seul, et se fige dans un long spasme, ma respiration est coupée (je ne m’entends plus), je pars dans un espèce de bourdonnement général, avec des sons internes, des couleurs… Puis, je suis pris de convulsions de durée variable, et il m’arrive de m’entendre râler. Je rebondis littéralement sur mon lit. Tout mon corps participe, mes jambes, mes bras, sont agités de mouvements désordonnés (je me suis filmé) : c’est assez spectaculaire ! Et je comprends qu’un observateur (femme, compagnon…) puisse être impressionné et dérouté.

Pour prendre une image, les spasmes seraient comme l’éjaculation (en plus long !) qui suit le plus haut du moment orgasmique. C’est difficile de dire ce qui se passe au niveau rectale ou anal. Disons qu’en fin de convulsion, je sens un relâchement à ce niveau là.

Dans ces moments-là, mes mamelons sont en érection et ultra sensibles, il suffit que je les effleure et je suis pris de spasmes. Mon plaisir est instantanément relancé.

À bientôt.