#33436
bzo
Participant

Et dans ces moments-là, alors que le plaisir monte, cavale, alors que je stimule mon clitoris/gland, deux doigts dans cette cavité créée par mon pénis complètement rétracté sous la peau de mon pubis, malgré cette excitation de cet organe mâle, mon pénis ne réagit pas

il faudra que j’essaie cela un de ces jours,
ça a l’air tout à fait délicieux

exemple parfait de cette reprogrammation que j’évoque,
nos organes sexuels, notre corps, sont aptes à générer toutes sortes de sensations,
nous hommes , on est habitué à percevoir un certain type de sensations formatées d’une façon bien précise
pour entrer dans le moule de la masculin alité,
à les percevoir d’une manière bien précise donc

mais le fait est que ce formidable réservoir d’énergie en nous
ses ondes peuvent se transformer en plaisir masculin par le biais de nos organes sexuels
aussi bien qu’en plaisir au féminin perçu tout autant par ces même organes,
c’est juste une question de reprogrammation

idem pour tout le corps bien sûr
car une des caractéristiques de ce plaisir au féminin, je trouve,
c’est que tout le corps devient un organe sexuel,
on se touche n’importe où, on éprouve du plaisir, des sensations exquises
qui viennent participer à une fête généralisée, globale
où tout le corps participe activement comme émetteur et comme récepteur
à l’acte sexuel en solo

et puis cela peut aller plus loin,
nos propres organes sexuels d’homme peuvent être perçus comme des organes sexuels féminins,
notre bassin ressenti comme un bassin de femme,
nos seins perçus comme plus développés qu’ils ne sont réellement,
des globes charnus à empoigner, à presser, à frotter, à caresser,
des courbes, des courbes partout,
une chute de rein, on est diaboliquement roulé,
le moindre mouvement met en route tout un mécanisme langoureux,
comme si on jetait un caillou dans un étang qui entraîne la formation de vaguelette qui se répandent

des gestes, des mouvements lascifs à souhait, perçus comme féminins,
même si dans la réalité la plupart du temps
ils le sont nettement moins qu’on l’imagine, qu’on le perçoit
(j’ai filmé et cela m’avait frappé à l’époque
qu’alors que je percevais mes gestes et mes mouvements comme très féminisés,
en fait ils l’étaient beaucoup moins dans la réalité de l’action
par moments oui, cela jaillit soudainement,
la féminité jaillit à l’extérieur
mais la plupart du temps moins que dans ma perception, elle reste à l’intérieur)