#33585
bzo
Participant

je maintiens que tu es obnubilé par le super O,
c’est un défaut partagé par une bonne partie de la communauté des chatouilleurs de prostate,
on l’a érigé en mythe, en graal à atteindre

je suis sûr que des tas de gens , ne l’ont jamais connu
et sont parfaitement heureux dans leur pratique,,
Il faut oublier qu’il existe,
s’il vient un jour, qu’il te surprendra un jour, tant mieux, sinon tant pis,
on peut très bien avoir une pratique riche sans avoir jamais eu de super O

des séances avec des tas d’orgasmes puissants qui s’enchaînent pendant une demie heure, une heure
et là je reste dans le contexte de ce que j’appelle le plaisir prostatique au masculin,
où l’orgasme est une sorte de passage obligé,
si on en a pas eu au moins un de la séance, alors c’est une séance ratée

bah, tout cela est loin derrière moi,
je parle de mémoire, je suis engagé dans ce que j’appelle pour simplifier,
un plaisir prostatique au féminin,
je peux passer des jours et des jours sans orgasmes

ce qui est bien plus important à mes yeux que d’éprouver des orgasmes,
c’est la qualité des sensations, leur richesse, leurs nuances, leur variété,
c’est cela que tu dois travailler
et cela vient en apprenant à toujours mieux s’écouter, à toujours mieux se lâcher,
à se concentrer sur les petits détails,
la grande majorité des sensations sont comme une très fine dentelle,
une fois qu’on est capable de les ressentir,
on est traversé par une volupté d’une finesse sans pareille

et enfin bien plus important que tous les super O du monde,
c’est commencé à éprouver le plaisir dans tout le corps
et pas juste localisé au bassin

ça c’est bien mieux que n’importe quel super O,
quand dès la première caresse, dès la première pression sur la prostate ou la première contraction,
le plaisir est diffus et est ressenti d’un peu partout,
ca c’est un vrai objectif à mes yeux,
qui en vaut vraiment la peine plutôt que de courir après un mythe, une chimère