#42449
bzo
Participant

ah ben voilà, déjà de retour du laboratoire,
d’habitude c’est rempli, là, pas grand monde,
il n’y a plus qu’à attendre le résultat en espérant un résultat rassurant

déjà nu devant mon écran,
entre mes jambes, mes cuisses et mes génitaux ont repris leur jeu habituel de frotti-frotta,
comme ils s’aiment ceux-là, ils sont inséparables

cette expérience aura été riche en enseignements,
même si j’ai du me priver de micro-séance pendant près de 24h,
la culotte aura suffi pour un si court lap de temps a refreiné mon désir
car cela coupait la génération d’ondes génitales, justement
et celles-ci ont une place de premier plan,
la plupart du temps, ce sont elles qui se mettent en route en premier,
elles me servent de piste de décollage,
elles facilitent le démarrage de toute la machinerie en moi

et donc, la culotte coupait cette production
et ainsi, j’ai pu rester sans aucune action,
cette nuit, j’ai aussi dormi en slip et cela a très bien fonctionné,
cependant en m’éveillant, j’ai commencé tout de même, sans m’en rendre compte,
à me mettre en mode liane lascive, à me caresser et à faire monter des contractions,
la culotte n’aurait pas pu remplir son office beaucoup plus longtemps,
je le sentais bien,
c’est comme si le tissu de mon slip était attaqué par les ondes, était dissous par eux,
tellement puissamment, elles se sont mis à circuler soudainement dans la région
et je ne sentais plus le tissu du tout

heureusement, je peux reprendre mes activités habituelles maintenant,
la prise sanguine pour le taux PSA a été effectuée,
là il y a quelques instants,
j’ai laissé mon bassin bouger un peu langoureusement
tandis que je me suis caressé un sein, que mes cuisses sont venus presser mes bijoux de famille
et enfin, une contraction s’est formée,
a commencé à monter dans mes entrailles

oh, la chaleur soyeuse qui m’a envahi, qui s’est répandue partout en moi,
comme ma chair est réactive à la moindre sollicitation,
comme elle est encline à la jouissance, à la volupté,
c’est juste divin,
encore une merveilleuse journée en perspective,
avec mon corps qui réagit comme la lampe d’Aladin au moindre contact