attention, le plaisir prostatique est quelque chose de splendide, d’inouï, aussi
et je regrette bien de l’avoir tellement délaissé, ces dernières années,
au point qu’aujourd’hui je dois tout recommencer quasi à zéro,
alors qu’à un moment donnée, j’avais une maîtrise totale
cependant, il n’y a aucun plaisir, aussi intense et riche, soit-il
dont on ne risque pas de se lasser,
ma première année, a été d’apprentissage,
la seconde, était celle de la maîtrise complète
et je pratiquais tous les jours quasiment
et parfois des séances de 4 à 5 heures,
chaque jours , des dizaines d’orgasmes ,
un ou plusieurs super O qui pouvaient parfois durer de longues, longues minutes
j’aurai du être plus malin et espacer un peu mes séances,
ainsi tout en construisant peu à peu ce nouveau plaisir que j’avais découvert en moi,
le mode yin,
je n’aurai pas complètement abandonné le plaisir prostatique
et maintenant je pourrai les alterner,
ils sont tellement complémentaires,
ce sera parfait, une fois que j’aurai retrouvé aussi le plaisir prostatique, à pleine puissance
et je l’utiliserai de manière plus “sage”, moins frénétique, moins boulimique
un conseil plus technique,
il est important pour moi, d’utiliser dès le début presque constamment ses mains aussi,
aussi bien en mode prostatique, qu’en mode yin,
et pas seulement sur les tétons comme le font la plupart,
même si c’est vrai que c’est une zone très érogène,
tout le reste du corps a aussi quelque chose à donner,
aussi bien en mode prostatique mais surtout en mode yin
cependant, j’ai appris qu’il faut équilibrer les ondes produites par le bassin
et celles produites par les mains,
en mode yin, dans le bassin, j’amalgame quasi constamment les ondes génitales avec des ondes prostatiques,
alors les mains vont partout à pleine paume,
je leur laisse libre cours de caresser, de frotter , de presser, comme elles veulent
alors que quand je passe en mode prostatique,
je ne me caresse plus qu’avec le bout des doigt ou si ce sont avec les phalanges ou même un peu avec les paumes,
ce seront des effleurements,
ainsi, j’ai pu constater que j’atteignais un équilibre constant, avec les ondes de la prostate, produites dans le bassin
en tout cas, j’ai pu constater qu’ainsi, il y avait constamment un équilibre qui s’établissait
entre les ondes produites dans le bassin et celles produites par les mains,
les sensations semblaient s’optimiser, ainsi,
au maximum, à chaque seconde,
elles dialoguent mieux, ne s’empêchent pas les unes , les autres, de s’exprimer,
sont complémentaires, prennent le relai les unes des autres,
au lieu de se bousculer et de se faire des croche-pieds,
au contraire, elles s’émulent, deviennent alliées, s’entendent à merveille
et encore une fois, dialoguent, dialoguent, dialoguent
mais tout cela, c’est peut-être que moi, encore une fois,
je ne peux donner des conseils que par rapport à des choses que je vis, que j’ai vécu