#10554
Hyménée
Participant

Vous voyez : les séances du Vice se suivent et ne se ressemblent pas. Cela reste toujours d’une intensité incroyable, un éternel renouvellement. Et des orgasmes différents au fur et à mesure de la chauffe du four (mon bassin).

Car c’est l’impression que cela donne de l’intérieur : au début, peu de sensations. On pourrait même douter que cela puisse s’enflammer. A la fin, le four devient fournaise et s’embrase sur lui-même. C’est en fait assez difficile à vivre psychologiquement, au point où l’ego tout entier doit lâche prise à un moment ou à un autre.

Pour ma part, la virevolte (attendue et hautement désirée désormais) survient lorsque je ne peux faire autrement que de me ressentir femme.

C’est-à-dire que pour que ma psyché d’homme arrive à comprendre et accepter ce qui se passe, il me faut me visualiser femme, impudique, totalement offerte, grande ouverte. C’est splendide. D’abord les femmes que je visualise sont splendides 🙂 et puis les orgasmes sans fin qui parcourent le corps …. Aaah !

Ce soir, j’ai eu l’impression de sentir ma prostate frotter sur le Vice comme jamais. Mais bon, je crois que ça me fait le coup à chaque fois ! 😀

Pour que vous ayez des repères temporels : trois à cinq minutes de chauffe en vibration faible et continue. Là, premier effondrement de la résistance du corps et de l’esprit et intériorisation des sensations. Vingt minutes de plaisir qui progresse jusqu’au super O.

Juste après, vibration en position moyenne et continue pour encore quinze à vingt minutes d’extases, jusqu’à n’avoir envie que de monter à la puissance maxi histoire d’en finir. Mais non : arrêt des vibrations, pause pipi, puis reprise à puissance faible. Régulièrement, relubrifier quand on sent que c’est nécessaire.

Mais c’est vraiment au deuxième tour quand le Vice est chaud bouillant et abondemment lubrifié, que les sensations tactiles sont irrésistibles. Et là, je sais pas bien : pour arriver jusqu’au bout de la puissance maxi, quarante minutes peut-être ?

Ah … il serait dommage de se priver de l’éjac’ de fin de parcours déclenchée de l’intérieur. Erection au top de la forme. Gland prêt à exploser. Bassin ne sachant plus s’il continue les orgasmes en dedans ou s’abandonne au dehors. Tout le corps au diapason. Et ces vagues de plaisir qui balaient, qui balaient, qui balaient … tout.

Pour finir, j’utilise le lubrifiant Toko Aqua, que je trouve très bien contrairement au Pjur Aqua. Et il est pas cher :
https://www.concorde.fr/img/lubrifiant-shunga-toko-aqua-165-ml-816200.jpg

Bonne nuit