Mots-clés : masseurs, vibrations
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12 février 2014 à 11 h 36 min #10426AndranerosParticipant
Les conseils raisonnables que nous pouvons lire sur ce site et sur ce forum prescrivent d’éviter les masseurs à vibration pour l’apprentissage de l’orgasme de la prostate.
Le principal argument est que les vibrations ont deux inconvénients dont le premier est de couvrir les très subtiles sensations et pulsations internes qui sont le point de départ de la montée vers l’orgasme, et dont le second est que ces vibrations peuvent rendre la prostate provisoirement insensible sous l’effet de stimuli trop forts.
Au contraire certains intervenants disent que les vibrations leur ont permis de franchir un seuil vers une jouissance plus intense ou même d’accéder de façon presque automatique à la jouissance suprême.
Est-ce que nos amis qui utilisent un masseur prostatique vibrant peuvent nous dire quand, comment et avec quels résultats ils ont utilisé les vibrations ?
12 février 2014 à 17 h 02 min #10429helix47Participantj ai en projet l achat du vice , a utiliser sans vibreur pour des séances uniques a orgasme prostatique en complément a l anéros hélix , pour une sensation différente , et insérer le vibreur pour finir en orgasme traditionnel .est ce une bonne idée NXPL ?
13 février 2014 à 1 h 10 min #10439HyménéeParticipantJe m’invite dans cette discussion. Merci de l’avoir ouverte 🙂
D’abord, c’est du robuste : je suis enchanté par la qualité de fabrication de l’Aneros. Je sens qu’il va durer longtemps. Et si c’est pas le cas, je lui pardonnerai et en achèterai un autre.
J’avais testé le Rocks Off Rude Boy, il y a quelques années, à l’époque où j’étais en pleine errance. Il me semble qu’il n’y avait pas d’autres vibrants à l’époque. Il m’avait fait entrevoir de nouveaux plaisirs ( 😉 ) mais … bon … finalement, je préférai l’Aneros Helix, ou des orgasmes sur chaise en regardant du porno, sans masturbation, mais en laissant monter les orgasmes tous seuls, rien qu’en laissant l’intensité libidinale des scènes jouer sur mon corps.
Un premier déclic est venu à la sortie de l’Aneros Progasm. Quand j’ai vu la forme de l’engin, j’ai tout de suite compris qu’il me conviendrait. Et c’est vrai. J’ai suivi les conseils de NXPL concernant la double lubrification (intériorité avec un gel à base d’eau, aneros avec un gel à base de silicone). C’est là, où j’ai vraiment commencé à décoller. Merci NXPL 🙂
L’Aneros Vice a tout changé. D’abord, j’ai mis du temps à l’acheter, car il est vraiment pas donné et effectivement généralement déconseillé.
Mais je me suis souvenu des jeux que je pratiquai quand j’étais ado avec un vibro … qui avait eu la malice de passer par là ( lol ).
Petit aparté : quand j’ai eu mon premier Super Orgasme avec le Vice, je me suis souvenu de cette période ado, où je cherchai un truc, mais je savais pas quoi. Y’avait un plaisir qui m’attirait, que je ne pouvais nier sinon je reniai une grande partie de moi-même, mais que je ne pouvais pas non plus assumer ni vivre pleinement. Le SuperO a résolu cette contradiction : en le vivant, ça m’a libéré. Je me souviens m’être exclamé : “je le savais ! je l’ai toujours su que c’était ça !” lol
Aujourd’hui, j’ai la certitude que le superO vient de loin, que nos entrailles le préparent depuis longtemps. Certains s’en souviennent, et sont “appelés”. D’autres non. Fin de l’aparté
Le souvenir de ces petits plaisirs vibrants solitaires, m’ont décidé a acheté le Vice … qui ressemble fortement au Progasm, mais avec … les vibrations.
Les vibrations sont extras. Je recharge l’unique pile AAA à chaque fois. C’est pas parce que c’est nécessaire, mais une fois, je me suis retrouvé sans jus en pleine séance. Très désagréable. lol. Maintenant, plus de questions à se poser. C’est le contexte idéal.
Trois puissances, et ça c’est génial.
Pour chacune des trois puissances, trois modes vibratoires :
– un continu (mon préféré en fait)
– le suivant sans vibration au départ, avec une grande montée en puissance puis descente. Tout ça en deux ou trois secondes.
– le dernier, des toutes petites saccades vibratoires, comme si vous aviez un mini marteau piqueur dans les fesses.Même si vous serez très fort les sphincters, les vibrations conservent leur puissance. Et ça, c’est absolument génial. C’est du robuste, on peut avoir confiance.
Pour ceux qui connaissent Fucking Machines, c’est un peu l’esprit : vous avez entre les fesses une machine faite pour vous faire l’amour, increvable, imperturbable, et dont vous dirigez l’intensité au doigt et à l’oeil. Précision : contrairement à la majorité des gadgets Fucking Machines, il n’y a pas de va-et-vient, bien sûr.
Mais … véritablement, je crois (sans l’avoir testé), que la vibration continue du Vice en intensité maximale est équivalente de celle du Symbian : irrésistible de puissance.
Attention : comme le dit fort justement NXPL, si on commence par la puissance maximale, c’est contre-productif : les nerfs se désensibilisent. Trop agressif. On se retrouve à attendre quelque chose qui ne viendra pas.
Par contre, après être passé par les deux puissances inférieures, je dois bien dire … que je ne connais rien de meilleur. 🙂
…
Enfin si, car une fois le superO atteint à pleine vitesse, rien n’empêche de faire une pause (aller se soulager la vessie par exemple). Juste reprendre ses esprits. Se dire qu’on a vécu quelque chose d’incroyable.
Ce qui est génial, c’est qu’on peut recommencer un cycle en démarrant avec la puissance minimale. Et le superO émerge déjà, si on veut bien le laisser émerger. Et il est tout aussi bon. Voir meilleur, car sans doute plus subtil. Enfin bon, je sais pas. Pourquoi comparer ?
Et puis, on peut alterner les autres modes. Il y a quelques semaines, c’est ce que j’aimais bien faire : avoir un orgasme par mode.
Ce qui est génial, c’est qu’ils sont tous différents. Enfin même avec la vibration continue, j’ai des superO qui sont très diversifiés.
Mon préféré reste quand même celui imagé ainsi :
Prenez votre star du porno préférée. Visionnez la scène où elle se fait prendre par une virilité, dont elle ne peut faire autrement qu’écarter large et être écartée large. 😉
Ce long moment où sa jouissance la déborde à plusieurs reprises, sans qu’elle ne puisse rien y faire, sans qu’elle ne veuille rien y faire, sans qu’elle n’ait prise. Ce long moment, où sa beauté reflète l’authenticité de son expérience intérieure, cette vivacité qui l’étreint, qui l’embrase, qui la spasme, où l’on voit que son intimité n’est qu’offrande, c’est mon orgasme préféré avec le Vice.
Voilà 🙂
19 février 2014 à 18 h 57 min #10494AndranerosParticipantCompte-tenu de l’apprentissage nécessaire, au moins pour ceux qui comme moi ont besoin de plusieurs mois, pour ouvrir une nouvelle voie du plaisir orgasmique (“rewiring”) comment se fait l’accès au Super O’ avec le Vice ?
Est-ce qu’il faut progresser normalement et ajouter les vibrations quand on a déjà ouvert la voie ou peut-on faire la découverte du Super O’ directement avec les vibrations ?
Y a-t-il un apprentissage du plaisir vibratoire ou bien est-ce automatique ?
Commencez-vous la séance vibrations ouvertes ou faites-vous un échauffement sans les vibrations avant de les mettre pour aller au paradis?21 février 2014 à 0 h 21 min #10503HyménéeParticipantBonsoir Adraneros,
Bon, déjà : toujours commencer par les vibrations au minimum. Ne pas hésiter à arrêter les vibrations un long moment, puis repartir.
Ne pas hésiter à laisser l’anus se contracter très fort, quand c’est ce qu’il veut. C’est un réflexe naturel au contact de la vibration. Et puis, quand il n’en peut plus de serrer, accompagner “par l’esprit” la détente du sphincter, qui appréciera d’autant plus les vibrations qu’il est détendu … et vibrations qui le feront repartir à la contraction, pour tenter de maîtriser la vibration.
Mais la maîtrise est impossible. Le Vice est le plus fort. Il faut juste attendre que l’anus rende les armes et s’ouvre à son amant. Et là, c’est le début de l’extase, car d’autres muscles se mettent en éveil. Et gorgés de plaisirs et de désirs, vont tenter l’impossible pour maîtriser l’assaut fougueux du Vice infatigable, imperturbable.
On en sort terrassé.
Et pour répondre à vos questions :
Je crois que l’apprentissage est rapide, car il y a plusieurs modes vibratoires (continu, long, très rapide). C’est très varié et ludique. On peut expérimenter plein de subtilités.
L’apprentissage du plaisir vibratoire est automatique, je crois : il n’y a qu’à titiller son gland avec un vibro, pour réaliser que la chair est vibratile. 😀
Les séances peuvent commencer avec ou sans vibrations. Ces derniers temps, c’était avec, car j’ai très envie de perdre immédiatement les pédales.
Mon quotidien me pousse à maîtriser chaque détail et à définir du sens et de l’ordre en toute chose.
Le Vice me tire à l’opposé
Bonne nuit
1 mars 2014 à 3 h 32 min #10554HyménéeParticipantVous voyez : les séances du Vice se suivent et ne se ressemblent pas. Cela reste toujours d’une intensité incroyable, un éternel renouvellement. Et des orgasmes différents au fur et à mesure de la chauffe du four (mon bassin).
Car c’est l’impression que cela donne de l’intérieur : au début, peu de sensations. On pourrait même douter que cela puisse s’enflammer. A la fin, le four devient fournaise et s’embrase sur lui-même. C’est en fait assez difficile à vivre psychologiquement, au point où l’ego tout entier doit lâche prise à un moment ou à un autre.
Pour ma part, la virevolte (attendue et hautement désirée désormais) survient lorsque je ne peux faire autrement que de me ressentir femme.
C’est-à-dire que pour que ma psyché d’homme arrive à comprendre et accepter ce qui se passe, il me faut me visualiser femme, impudique, totalement offerte, grande ouverte. C’est splendide. D’abord les femmes que je visualise sont splendides 🙂 et puis les orgasmes sans fin qui parcourent le corps …. Aaah !
Ce soir, j’ai eu l’impression de sentir ma prostate frotter sur le Vice comme jamais. Mais bon, je crois que ça me fait le coup à chaque fois ! 😀
Pour que vous ayez des repères temporels : trois à cinq minutes de chauffe en vibration faible et continue. Là, premier effondrement de la résistance du corps et de l’esprit et intériorisation des sensations. Vingt minutes de plaisir qui progresse jusqu’au super O.
Juste après, vibration en position moyenne et continue pour encore quinze à vingt minutes d’extases, jusqu’à n’avoir envie que de monter à la puissance maxi histoire d’en finir. Mais non : arrêt des vibrations, pause pipi, puis reprise à puissance faible. Régulièrement, relubrifier quand on sent que c’est nécessaire.
Mais c’est vraiment au deuxième tour quand le Vice est chaud bouillant et abondemment lubrifié, que les sensations tactiles sont irrésistibles. Et là, je sais pas bien : pour arriver jusqu’au bout de la puissance maxi, quarante minutes peut-être ?
Ah … il serait dommage de se priver de l’éjac’ de fin de parcours déclenchée de l’intérieur. Erection au top de la forme. Gland prêt à exploser. Bassin ne sachant plus s’il continue les orgasmes en dedans ou s’abandonne au dehors. Tout le corps au diapason. Et ces vagues de plaisir qui balaient, qui balaient, qui balaient … tout.
Pour finir, j’utilise le lubrifiant Toko Aqua, que je trouve très bien contrairement au Pjur Aqua. Et il est pas cher :
https://www.concorde.fr/img/lubrifiant-shunga-toko-aqua-165-ml-816200.jpgBonne nuit
2 mars 2014 à 15 h 10 min #10574helix47Participantvoila mon aneros vice est arrivé a la maison , je n ai pu résister a l essayer le plus rapidement .il est plus difficile a insérer mais il est confortable une fois en place et une impression de remplissage plutôt agréable invite a essayer toutes les vibrations . j ai fait quelques contractions légères qui m ont donné vite quelques mini o très agréables , l envie de commencer les vibrations a été plus forte , les mini o ont rapidement remplacé des super o , quel pied ! .en a peine 10mn mon nouvel ami vice m a fait décollé , j ai eu plusieurs orgasmes , et avec chaque mode de vibrations . ma session a durée une heure .pour une première ce fut formidable d enchainer une dizaine d orgasmes assez facilement . le plaisir est diffèrent de celui procuré par l’hélix qui est tout aussi délicieux . je conseille l aneros vice pour accéder a des orgasmes prostatiques par vibrations une fois que l on maitrise le plaisir donné par l helix.
3 mars 2014 à 1 h 28 min #10582HyménéeParticipant😀
3 mars 2014 à 9 h 45 min #10587AndranerosParticipantFormidable @helix47
Tu nous dis quele plaisir est différent de celui procuré par l’Helix
. Peux tu nous dire comment tu ressens cette différence ?
3 mars 2014 à 17 h 10 min #10593helix47Participantle plaisir procuré par le vice est plus diffus , moins localisable sur la prostate , il irradie prostate et toute la région de l’ anus , le plaisir monte sans que l on localise un point particulier comme le fait l ‘hélix .
12 mars 2014 à 2 h 06 min #10700HyménéeParticipantBonsoir, je suis tombé sur ce stimulateur prostatique vibrant, et par curiosité bien placée, je me demandais si l’un d’entre vous le pratiquait et le conseillait :
https://www.rocks-off.com/products/details/butt-quiver/
Je trouve la forme intéressante, bien qu’il soit à mon goût trop large : 3,5 cm contre 3 cm pour le Vice.
Merci
6 avril 2014 à 8 h 29 min #11058TheghosssstParticipantBonjour, je pense être dans le bon forum pour vous parler de ma dernière expérience. En ce vendredi soir, mon temps était trop court pour me lancer dans ma 4ème session avec l’Aneros. J’ai donc sorti le Naughty Boy que je n’avais utilisé qu’une seule fois. Son problème majeur est le maintien en position qui nécessite de faire la séance assis. J’ai donc démarré une session, assis confortablement dans mon fauteuil, détendu, sans toucher à mon sexe. Je tentais de ressentir les sensations internes du Naughty boy réglé sur la vibration constante la plus faible. Au bout de 10 minutes environ, en remuant légèrement mon corps sur le fauteuil, j’ai senti de petites vibrations internes. j’avais du mal à savoir réellement si ces sensations venaient de l’intérieur de mon ventre, de mon anus ou de mon périné. Puis cela s’est transformé en plaisir ascendant, le même plaisir ressenti lors d’une masturbation. Mais j’ai perdu le contrôle et le plaisir s’est effacé. Cela s’est produit 4 à 5 fois, puis, ne tenant plus, j’ai terminé par une masturbation légère me provoquant un orgasme impressionnant. Je pense avoir ressenti mes premiers “chatouillis” sur la prostate.
6 avril 2014 à 16 h 30 min #11059AndranerosParticipantJe partage votre conclusion.Tel que vous présentez ce que vous avez ressenti, @Theghosssst, vous semblez avoir eu soit des mini O’s, soit des départs d’orgasmes.
Vous nous dites avoir perdu le contrôle et le plaisir naissant. Lors de votre prochaine sortie avec le Naughty Boy, si vous retrouvrez les mêmes sensations, essayez à ce moment, comme vous le feriez pour une session avec votre Aneros, d’approfondir votre relaxation en isolant ces « vibrations internes », en vous concentrant sur cette sensation et en relâchant encore plus les muscles où ces vibrations peuvent générer des tensions.
L’utilisation des vibrations peut offrir l’avantage des faire apparaître des ondes de plaisir sans effort volontaire, mais ne supprime pas pour autant l’intérêt d’un travail de concentration et de relâchement musculaire pour les amplifier comme avec votre Aneros.
L’intérêt de cette expérience par contrtre est d’élargir la gamme des sensations que votre corps associe au plaisir anal et en conséquence de vous permettre de progresser un peu plus vite avec l’Aneros.
A bientôt pour vos prochains progrès.7 avril 2014 à 1 h 13 min #11065HyménéeParticipantBonsoir,
Je n’ai pas de souvenir fabuleux du Naughty Boy. Enfin si : c’était mon premier masseur prostatique vibrant. On en garde toujours un souvenir ému. 😀 Mais, il est à cent lieues du Vice
Une fois assis et l’amant introduit, vous pourriez tenter de visionner le porno ou spectacle érotique qui vous excite le plus, mais sans rien faire de plus.
C’est mécanique : quand on regarde un spectacle sexuellement excitant, le bassin se gorge de sang sans même le vouloir. C’est automatique. Au début, c’est le sexe qui se dresse, mais l’engorgement peut prendre tout le bassin.
C’est un exercice que j’ai longtemps pratiqué, sans les vibrations. Ca marche aussi avec les vibrations 🙂 : plutôt que de chercher la résolution de vos pulsions par l’éjaculation, laissez vos tensions travailler votre bassin, jusqu’à ce qu’elles trouvent terrain d’expression ailleurs. En ce qui me concerne, c’était l’anus qui palpitait jusqu’à l’orgasme … qui se poursuivait ensuite par une éjac’. C’est une jouissance extrêmement puissante.
Vous verrez : ces orgasmes retournent littéralement la tête, car le porno vous met sous le nez l’objet du désir, et vous ne pouvez trouver satisfaction, ni en l’embrochant, ni en vous masturbant. Il faut trouver autre chose.
C’est en fait comme cela, que j’ai réussi à intérioriser ces femmes absolument délicieuses, à oser désirer et accepter qu’un amant en plastique me déclenche des orgasmes à répétition.
Tiens, en écrivant cela, je me souviens du choc émotionnel à la découverte des femmes fontaines. Cela m’a poursuivi longtemps. Ces femmes sont tellement libérées, totalement impudiques, avides d’orgasmes sans chichi. C’est sublime et elles montrent la voie 🙂
Je ne sais si vous êtes déjà tombé sur un porno montrant une femme se faire sodomiser et éjaculer sans même se toucher le sexe. Son visage, son regard, son bassin qui part au contact, son corps glorieux totalement pris par une autre jouissance, et qui veut son orgasme anal initiateur de la fontaine … sublime !
Déjà, c’est une “preuve” visuelle que l’orgasme anal existe pour peu qu’on y soit sensible et qu’on ose le chercher. Et quand on y est sensible, quelle fête !
Et puis, c’est aussi l’indication que cet orgasme peut emporter le reste du corps et ne pas se restreindre au sphincter.
Il y a peu, j’ai refait une séance au lit avec un Aneros Vice tout en regardant mon stock de porno sur une tablette. Se projeter dans ces femmes, alors que le Vice fait son oeuvre et déclenche des contractions involontaires, incontrôlées est absolument délicieux, car il y a une connexion intime qui se créé au plus profond de l’expérience. Le visuel nourrit les convulsions
C’est terriblement excitant et sublime. Terrassé par la tension d’une série multi-orgasmique qui s’est finie par une éjac’ foudroyante, je me suis endormi, le Vice encore en action. J’ai dû me réveiller une heure ou deux après, le Vice encore vibrant, et les chairs qui me tiraient à nouveau vers l’extase. Je suis reparti pour un tour. Une nuit qui compte peu d’heures de sommeil.
Ces moments-là sont particulièrement délicieux, mais ! Cela reste une expérience de l’ordre de la projection.
Or, pour ma part, les moments de pure envolée, se produisent quand je suis seul avec mon anima, non perturbé par la présence féminine extérieure, qu’elle soit physique ou par écran interposé.
24 avril 2014 à 9 h 25 min #11295TheghosssstParticipantJ’ai profité d’une promotion pour acquérir l’Aneros Vice.
Hier soir, je me suis confortablement installé sur mon lit. L’Aneros Vice, bien lubrifié, s’insère très facilement. Comme à chaque session, il faut être très détendu. J’ai sélectionné la première vitesse de vibration, la vitesse constante la plus douce. Les vibrations étaient très agréables. J’ai pris conscience des “chatouillis” que provoquait l’Aneros au fond de moi. Et puis, tout à coup, une vague a traversé mon corps. j’ai tremblé des jambes et crispé mes bras pendant 2 ou 3 secondes. Impossible de vous expliquer la nature de cette vague. C’était bon, mais sans aucune ressemblance avec le plaisir de la masturbation. C’était plus quelque chose d’incontrôlable. ET puis, de nouveau une vague puis une autre et encore une autre qui me secouaient les jambes, le corps, les bras, me faisait me redresser assis sur mon lit ou me tourner sur le coté tous muscles tendus. Et puis plus rien, juste cette sensation de “chatouillis” tout au fond de moi. Alors j’ai pensé à respirer et à me relaxer car ces quelques contractions m’avaient déjà fatigués. D’un coup, les vagues ont repris, toujours courtes mais assez violentes. Ma session a duré 15 minutes et j’ai terminé, épuisé, par une masturbation qui m’a envoyé au 7ème ciel. Je pense avoir découvert les premiers mini O. Cette expérience confirme que mon apprentissage passera par l’Aneros Vice avant de découvrir les sensations plus affutées que génère l’Aneros Helix. Qu’en pensez vous ?24 avril 2014 à 11 h 55 min #11297AndranerosParticipant@Theghosssst votre question est courte, la réponse sera plus longue.
La jouissance que génère vos orgasmes est au départ une réaction instinctive lancée par le cerveau sous l’influence de certains stimuli. Selon votre état physiologique (âge, santé, sexe), votre profil psychologique (analytique, émotionnel, extraverti ou non, bien dans votre corps ou non…) et votre environnement culturel votre réaction et les stimuli efficaces pour la déclencher peuvent varier.
Les masseurs Aneros sont des supports de l’apprentissage de l’orgasme prostatique. Ils sont très efficaces mais ils ne sont pas les seuls. L’orgasme prostatique est une porte d’entrée du paradis des orgasmes qui embrassent toute la personnalité (le physique, le mental et le social) mais elle n’est pas la seule.
Chacun est différent. Il est donc tout à fait possible que votre apprentissage passe par le Vice et ses vibrations. Nous avons des amis qui ont beaucoup de difficultés à se mettre à l’écoute de leur corps (ce fut mon cas), à reconnaître et accompagner les premières sensations jusqu’aux pulsations orgasmiques. C’est peut-être votre cas. La pression accentuée du Vice due à son grand diamètre et les réactions de votre corps aux vibrations peuvent très bien vous aider à atteindre ces fabuleuses pulsations internes plus facilement et plus rapidement.
En particulier le Vice peut vous aider à prendre conscience de ce qui se passe en vous lors de la montée du plaisir. Si vous restez très concentré et attentif à toutes les micro sensations, contractions ou pulsations qui précèdent les vagues de plaisir intense, vous serez en mesure de les reconnaître, de les accompagner et de les laisser prendre de l’ampleur pendant vos séances engagées avec votre Helix.
L’inconvénient du Vice par rapport à l’apprentissage sans les vibrations est triple :
-1) Le plaisir obtenu sans contrôle conscient pour le déclencher risque d’être instable et moins régulier. (A vérifier auprès des utilisateurs réguliers du Vice, ce qui n’est pas mon cas)
-2) L’utilisation des vibrations induit un nouveau stimulus orgasmique instinctif qui risque de devenir exclusif au détriment de tous les autres.
-3) Les vibrations sont un stimulus exclusivement mécanique qui peut conduire l’organisme à s’adapter et à devenir de moins en moins sensible et donc à vous obliger à augmenter progressivement l’intensité de la stimulation avec les risques que cette évolution comporte.
Votre expérience peut donc être très positive si vous faites en sorte que les progrès rapides obtenus avec le Vice soient très régulièrement réinvestis dans vos séances avec l’Helix. Cette discipline vous permettra d’avoir le meilleur des deux mondes. En outre les progrès que vous ferez avec votre Helix vous seront très utiles pour approfondir l’expérience orgasmique apportée par le Vice.
Mes propres difficultés à atteindre l’orgasme de la prostate m’ont conduit à privilégier l’apprentissage laborieux qui me permettait de me mettre à l’écoute de mon corps et de découvrir de l’intérieur ma voie vers la jouissance. Ce fut long (1 an), frustrant parfois mais au bout du compte profondément enrichissant. Votre propre voie vers la jouissance sera différente et à ce titre très intéressante. J’espère que vous aurez de nombreuses autres réponses à votre question.
En attendant, que votre cheminement vers les orgasmes prostatiques soit couronné de succès!
24 avril 2014 à 14 h 24 min #11298helix47Participantles sensations engendrées par l anéros vice en mode vibratoire sont très agréables et procurent des orgasmes extraordinaires , mais je ne pense pas que l apprentissage puisse se faire uniquement avec lui , pour moi , c est un complément que j’utilise de temps en temps après une séance faites avec l hélix pour obtenir un orgasme éjaculatoire .par contre on peut faire des sessions sans vibrations pour un apprentissage traditionnel . pour ma part je continu en majorité mes sessions avec l hélix ,je suis sur que je peut allez encore plus loin dans la quête au super O .
24 avril 2014 à 14 h 52 min #11299TheghosssstParticipantMerci pour vos réponses.
Mon problème majeur, encore aujourd’hui, est de reconnaître les sensations que peuvent générer un Helix. Les seules vraies sensations découvertes proviennent de ma session avec un Naughty boy et, hier, avec un Aneros Vice. Ce sont de nouvelles sensations que je ne n’arrive pas à qualifier ou à quantifier. Elles me font convulser plus ou moins fort, me font contracter tout mon corps, me font gémir, mais sans pouvoir qualifier cela de plaisir. Mais c’est très agréable. Je pense que le premier travail est de découvrir un nouveau plaisir que l’on ne connait pas du tout, que notre cerveau n’identifie pas. A savoir si ce que je ressens correspond à ce que vous appelez mes mini O ? Si je suis sur la voie, je vais mettre de coté mon Vice pour reprendre mon Helix et découvrir ses mêmes sensations pendant ma session. Sensations que je connais maintenant, me montrant que je suis sur le bon chemin.24 avril 2014 à 16 h 58 min #11301AndranerosParticipantJe pense que le premier travail est de découvrir un nouveau plaisir que l’on ne connait pas du tout, que notre cerveau n’identifie pas.
@Theghosssst vous êtes au cœur du processus d’apprentissage. Vous avez parfaitement décrit la nature de cet apprentissage.
Vous pouvez appliquer, lors de vos expériences avec le Vice, la méthode d’approfondissement de votre relaxation chaque fois que vous commencez à ressentir une tension. Cela permet de repousser la limite où la tension musculaire finit par tuer la vague de plaisir ou bloquer son développement. Mes progrès se sont accélérés quand j’ai réussi à effectuer ce travail de contrôle de mon état de relaxation.
Pendant ma phase d’apprentissage, j’ai utilisé principalement l’Helix selon les conseils lus entre autre sur ce site. Mais j’ai aussi utilsé le Prograsm ponctuellement qui en me donnant des sensations différentes (et un peu moins confortables) me permettait de redécouvrir les mêmes sensations d’un point de vue différent.
Vous êtes sur le bon chemin, votre chemin. Continuez et bientôt vous nous décrirez vous aussi, avec beaucoup d’émotion, votre premier Super O’.
24 avril 2014 à 18 h 38 min #11304HyménéeParticipant@Theghosssst, lors de votre prochaine session avec le Vice, je vous conseille d’augmenter progressivement la puissance plutôt que de vous finir en vous masturbant :
Une éjac’ déclenchée intérieurement est un délice indescriptible. Il faut savoir la faire monter. Prendre le temps d’aller la chercher :
Ma dernière séance s’est déroulée ainsi : une bonne heure (je crois, mais on s’en fiche) en position puissance faible, qui m’a amené à un pic orgasmique intérieur, qui m’a totalement mis à terre : le dernier orgasme a tenté de se frayer un chemin vers la sortie heureuse et éjaculatoire. Mais les muscles anaux et PC le maintenaient fermement. Lutte intérieur, tension indescriptible. Qui allait lacher ? Où ? Vers où ?
Et puis, finalement, une espèce d’effondrement généralisé, où l’orgasme m’a fait lacher prise sur tout le corps, mais sans me répandre.
Post coïtum animal triste. Tout comme lors d’une ejac’, plus besoin de rien. Plus de plaisir, plus de désir. On est satisfait, et non stimulable. On arrête. Je me suis touché
J’ai attendu vingt minutes (je sais pas bien) que l’envie revienne, comme lorsqu’on souhaite recommencer à faire l’amour après une bonne éjac’.
J’ai attendu d’avoir à nouveau vraiment envie de me faire prendre, de désirer l’amant.
Pour être plus précis, j’essaie de trouver cet état d’être où l’alpha et l’omega s’embrassent : avant même de commencer, on s’est déjà projeté dans l’aboutissement du plaisir. On est déjà dans l’orgasme. Il est déjà bien présent, en germe. L’aneros n’est que souffle sur un feu qui a déjà pris.
Voilà, c’est ça ! Il faut déjà avoir allumé son corps, l’aneros n’étant que caresses stimulantes et bienfaisantes. 🙂
Position puissance faible à l’identique pendant un peu moins d’une heure. Et puis, à un moment, le corps est mûr pour monter en puissance. On le sent. Ce n’est pas la volonté qui exige, c’est le corps qui dicte la montée en puissance. Extase incroyable, car l’intimité réagit différemment à ces nouvelles vibrations. Le corps est pris autrement. Les jambes se lèvent pour accueillir. Le bassin est large ouvert.
A chaque fois, des muscles intérieurs qui refusent de se laisser faire, résistent, résistent, résistent, ne veulent pas, résistent, … et finissent par lâcher, constatant leur impuissance face à la constance de l’amant de plastique.
Et c’est à ce moment-là ù il faut avoir un esprit fort : rester ouvert, ne penser à rien, laisser les vibrations reprendre le dessus et prendre possession des muscles qui précédemment étaient en résistance.
Orgasmes encore plus profonds : nos chairs sont en tension sans même le savoir et ne peuvent s’envoler avec l’orgasme, réduisant ce dernier à une simple génitalité.
Petit à petit, l’intériorité s’ouvre totalement, sous la puissance du foret imperturbable.
Tout au fond de ce processus, l’orgasme éjaculatoire incontrolable.
C’est terrible, car à chaque nouvel émergence d’un orgasme, on ne sait pas si on va éjaculer ou pas. La situation est dramatique, totalement instable.
J’aime
25 avril 2014 à 9 h 30 min #11307TheghosssstParticipantMerci une fois de plus pour vos réponses. Andraneros, vous écrivez “Vous pouvez appliquer, lors de vos expériences avec le Vice, la méthode d’approfondissement de votre relaxation chaque fois que vous commencez à ressentir une tension. Cela permet de repousser la limite où la tension musculaire finit par tuer la vague de plaisir ou bloquer son développement”. Ceci est une information extrêmement importante à mes yeux. Je me posais la question “Pourquoi ces vagues ne s’amplifient elles pas ?”. Merci Andraneros. Hyménée, vous décrivez une session comme une aventure magique avec son corps, une rencontre avec certaines sensations générées contrôlables ou incontrôlables. J’avoue avoir des difficultés à expliquer ce qu’il m’arrive lors de mes sessions avec vagues de “quelque chose de nouveau”. Je découvre cela comme une quête qui va bien plus loin que la simple aventure. Pour moi, c’est un voyage à la découverte de mon corps que je ne connaissais pas. Je m’aperçois peu à peu, grâce aux sessions Aneros et à la lecture des forums NXPL que notre corps recèle bien des secrets; des secrets merveilleux mais si bien cachés !
26 avril 2014 à 22 h 16 min #11335HyménéeParticipantTheghosssst, vous avez très bien résumé ce que je voulais dire, merci 🙂
Vous décrivez une session comme une aventure magique avec son corps. Pour moi, c’est un voyage à la découverte de mon corps que je ne connaissais pas. Je m’aperçois peu à peu, grâce aux sessions Aneros et à la lecture des forums NXPL que notre corps recèle bien des secrets; des secrets merveilleux mais si bien cachés !
Il faut écarter tous les voiles, les uns après les autres. Ne pas brûler les étapes, sous peine de se faire brûler sur place. Ne pas se violenter, se pardonner, rester exigeant, déterminé, follement désirant. Apprécier le plaisir que procure chaque étape. Oui : c’est de la pure folie. Mais quelle folie ! La folie d’être là, présent à soi, pour de vrai. Sans manque ni besoin. Sans appui extérieur. Sans culpabilité.
Il est peut-être un dernier hymen à détendre, une fois les voiles écartés.
Je vous dirai
10 janvier 2015 à 20 h 21 min #14668AndranerosParticipantBonne Annéros 2015 et bon retour sur notre forum @Hyménée.
Je suis heureux de lire que vous poursuivez votre cheminement toujours plus haut, toujours plus intense. Il y a donc encore beaucoup à découvrir après les premiers Super O’.
Votre dernier commentaire sur le duke de Fun Factory (ici) alimente ma réflexion sur les nouvelles découvertes que je pourrais faire avec les masseurs vibrants et me conduit à réactiver ce sujet sur les vibrations. Vous semblez dire si je comprends bien que le Duke apporte une forme de jouissance qui va au delà de ce que vous apporte le Vice.
Je sais bien à quel point le vécu des orgasmes prostatiques est profondément (sans jeu de mots) personnel. Cependant pour m’aider à me faire une idée claire de votre expérience et à basculer à mon tour dans la jouissance vibratoire, pourriez vous nous dire comment se situent les uns par rapport aux autres les orgasmes sans vibration, les orgasmes procurés par le Vice et ceux procurés par le Duke ?
J’ai hâte de retrouver votre approche poétique rafraîchissante et enthousiasmante.
18 janvier 2015 à 12 h 52 min #14737HyménéeParticipantBonjour Andraneros et très bonne année également !
Après réflexion, il me semble que il s’agit du même processus d’apprentissage que l’écriture : on apprend le crayon à la main, on s’éclate avec le clavier. Mais sans l’apprentissage au crayon, impossible de s’éclater au clavier.
Il faut se donner le temps d’intérioriser la pratique prostatique, comme on s’accorde des années pour apprendre à écrire. Cela se fait minutieusement, avec beaucoup de tatonnements et de fautes. La recherche de son propre style se fait sans l’apport technologique.
Et puis, on oublie tout cela, et on se concentre sur ce qui est écrit.
Pour les orgasmes prostatiques, la pratique sans vibrations me parait indispensable. C’est fastidieux, long, par moments décourageant. Et puis, la conscience du corps finit par émerger.
On “sait” ce qu’on cherche, tout simplement parce qu’on l’a vu s’épanouir mille fois dans le corps des femmes. Et puis, on finit par intérioriser l’orgasme féminin, celui qui laboure le corps en son entier. Et c’est l’éclate ! Une libération absolument radicale ! Le plus étonnant est l’évolution de la relation avec ma femme, ma fille et les femmes : il n’y a plus de résistance. Il n’y a plus de jalousie, plus de projection, plus d’attente de solutions. On est à égalité. On se sent connecté.
Le plus agréable est l’évolution de la relation avec les hommes : on s’en fout ! 😀
Pour répondre à votre question Andraneros, je ne pourrais plus vous dire la différence entre orgasmes avec ou sans vibrations. J’ai oublié les sensations sans vibrations. Je n’utilise plus mon Progasm, même s’il est toujours à portée de main. Ah si ! Je regrette les sensations que procuraient les gels à base de silicone (incompatibles avec le Vice ou le Duke). Un vrai délice !
Par contre, après un orgasme profond, j’éprouve un grand plaisir à couper les vibrations pour me retrouver en état de béatitude totale, sans stimulation, avec la certitude que je peux/vais y retourner et que donc j’ai le temps. J’aime bien me toucher à ce moment-là, et laisser les chairs se reposer, retrouver une nouvelle vigueur. C’est en fait très physique. L’orgasme dure, et prend tout le corps.
Pendant ces moments-là, c’est un vagin que je touche et rien d’autre. Une exploration totale. Et puis, l’envie renait et j’y retourne. C’est très très intense. Je ne connais rien de meilleur.
Et c’est là où le Duke est magique, car il permet d’aller explorer plus profondément son intimité. C’est assez génial, car je commençais à tourner en rond avec le Vice. Il me manquait quelque chose, que j’arrive maintenant à nommer :
l’envie de se sentir totalement rempli. Je pense que les femmes à la recherche de sexes de gros calibres ou de pénétrations multiples en simultané, doivent comprendre cela. Je serai d’ailleurs ravi de les entendre à ce sujet. La sensation est vertigineuse. Un vrai jeu d’équilibrisme, pour oser s’abandonner à autant de puissance. Un vrai régal quand on ose se laisser submerger.
Fiou ! Rien que d’écrire cela remet le désir en mouvement. J’ai envie.
18 janvier 2015 à 20 h 52 min #14743AndranerosParticipantMerci @Hyménée pour votre réponse qui montre au delà de ma question que notre cheminement ne s’arrête pas au premier Super O’ mais continue bien après et surtout bien au delà.
J’encourage nos amis qui commencent leur cheminement à réfléchir sur ces remarques :
Il faut se donner le temps d’intérioriser la pratique prostatique, comme on s’accorde des années pour apprendre à écrire. Cela se fait minutieusement, avec beaucoup de tâtonnements et de fautes. La recherche de son propre style se fait sans l’apport technologique… Pour les orgasmes prostatiques, la pratique sans vibrations me parait indispensable. C’est fastidieux, long, par moments décourageant. Et puis, la conscience du corps finit par émerger.
Elles résument parfaitement l’état d’esprit qui me paraît nécessaire pour atteindre le paradis prostatique.
4 février 2015 à 23 h 15 min #15053luckyParticipantBonsoir tous,
C’est quand même étrange ! Si je me force à ne rien faire, alors les contractions ont lieu sans que j’en sache quelque chose sinon que l’aneros bouge, et qu’au final mon muscle est bien contracté quand j’en prends conscience. Mais il est contracté depuis quand ? Ben, j’sais pas ! C’est pas moi ! Non, non !
Mais pour arriver à ceci que mon corps contracte sans moi, on dirait qu’il faut lui apprendre d’abord. Et l’on dirait qu’il faut se perdre dans tout plein d’expériences qui n’ont pour seul but que de faire admettre au corps que la prostate est un organe de jouissance.
On dirait que lorsque l’on atteint ce point, il est primordial de ne rien faire. Ou plus précisément faire Rien et surtout pas fourrer son nez où il faut pas, c’est à dire se polariser sur ce que le corps fait !
Juste ressentir et laisser aller. Je crois que je viens de comprendre quelque chose à vous lire. Il ne faut pas se laisser pénétrer par l’aneros, il faut se laisser pénétrer par tout et même les pensées ne doivent pas être dirigées. Juste sensations, ouverture et basta !Anerosement votre
Lucky5 février 2015 à 9 h 17 min #15054HyménéeParticipantVoilà !
On aimerait être aux commandes, se dire qu’on est source de cette joie qui submerge. Il n’en est rien : elle vient d’ailleurs. Plus on s’agrippe, plus on s’éloigne.
Quand j’attends le point dont vous parlez, c’est comme si j’étais à la porte d’un temple sacré. J’attends patiemment qu’on vienne m’ouvrir.
Impossible de forcer la porte : elle est inviolable. La violence n’a pas prise dans ce temple. Tout n’est que souffle.
Se faire accepter n’est pas aisé. Il faut montrer patte blanche, être prêt à tout. Les fois suivantes sont plus évidentes, car Julie vous reconnait désormais. Elle sait que c’est vous. 🙂
Tiens, ça me rappelle le retour d’Ulysse après son long voyage. La fidèle Pénélope attend Ulysse depuis fort longtemps, et vous connaissez la suite : elle n’est assurée de l’identité de son mari que … lorsque …
Le soir, Ulysse rejoint Pénélope qui doute encore. En accord avec Télémaque, il retarde l’annonce de la nouvelle de la mort des prétendants. Pénélope met Ulysse à l’épreuve en lui mentant sur leur lit. Ce dernier, en révélant les caractéristiques du lit en bois, se fait enfin reconnaître. Ils se tombent dans les bras et se racontent les souffrances qu’ils ont subies durant toutes ces longues années.
Inspirant … 😉
Relisez Homère. C’est bien mieux écrit qu’une fiche Wikipedia !
Bonne journée13 février 2015 à 13 h 59 min #15225AndranerosParticipantJe cite ici la réflexion qu’@hector nous a faite le 12/02/2015 dans le magnifique récit de son parcours anerosien :
Je repasse vous faire part de mon dernier achat, un Vice.
Je ne suis pas convaincu par cet aneros, non pas à cause des sensation qui pourrait être très agréables si il était un peut plus petit Pourtant j’ai pas trop de problème avec le passage des B Balls, mais pour le coups la partie du vice restant entre les sphincters est un poil grosse et cela fini par être gênant…
20 minutes plus tard…
Alors en fait à partir du moment ou ils vous emmène, le coté gênant part.
En fait il est plutôt efficace et mérite que je l’apprivoise plus.
Je ne sais pas si c’est les vibrations ou la taille, mais il me semble plus facile à positionner que l’helix.Le principe de fonctionnement d’un masseur vibrant est de transmettre les vibrations qu’il génère à certains tissus de notre corps (la peau ou des muqueuses et à travers elles certains organes internes). Cette transmission ne peut se faire que s’il est maintenu fermement contre les tissus visés avec avec une pression adaptée. Si le module vibreur est flottant, principe de base des masseurs Aneros fins, il transmet très peu les vibrations et dissipe leur énergie en vibrant lui même dans le vide. D’autre part la mécanique qui est à l’origine des vibrations prend de la place, sans parler de la place nécessaire au stockage de l’énergie d’un produit sans fil.
Seul un masseur conçu avec un volume rigide creux enfermant une petite bille lourde pourrait répondre à votre souhait et apporter une forme de vibrations en complément de la pression du massage. Mais à lire le paragraphe complémentaire de votre intervention, @hector, il semble que le volume du masseur ne soit plus un problème dès que les orgasmes surviennent. Comment classeriez-vous le plaisir que vous apporte le Vice en comparaison avec ce que vous connaissez avec votre Helix, vos Peridise et vos B-Balls,
15 février 2015 à 1 h 06 min #15229hectorParticipantJe sais pas trop comment le décrire, je sais que les vibrations travail les sphincters et cette zone ce qui est assez agréable (et encore une fois, vue la taille du module vibrant je pense qu’on peut mettre un peut moins de silicone autour et garder une pression suffisante).
Il y a aussi une sensation sympa quand on le positionne bien, la tête légèrement posée sur la prostate et les vibrations se propageant à elle. C’est assez explosif, c’est plus rapide aussi, cela monte assez fort mais, pour le moment (2 utilisations et la première n’a rien donnée) ce n’est pas au niveau des plus fortes sensations que j’ai eu avec les B Bals (dont j’aimerais que la tige qui reste entre les sphincters soit plus longue).
Je pense que le corps lutte moins contre, ou en tout cas que les vibrations facilite la victoire du masseur, et après c’est parti. Cependant depuis ma dernière super séance B Balls ou j’ai eu une crampe à la jambe (pas terrible), il se trouve que je passe pas loin d’en faire de nouvelles assez régulièrement lorsque j’atteins les spasmes orgasmiques et ça gâche un peut les sensations.
Pour le moment je l’ai utilisé dans un préservatif avec double lubrification base eau et silicone et après un lavement. -
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