Pas d’addiction à l’Aneros, dont j’ai depuis totalement arrêté l’usage. J’ai peur de retrouver le problème, et du coup je m’abstiens de tout plaisir prostatique.
Personnellement à chaque fois que j’arrêtais l’exploration prostatique, les problèmes d’érection disparaissaient et l’inverse était aussi malheureusement vrai…
En début d’année, quand de nombreux orgasmes en A-Less sont apparus avec parfois des états proches de la transe, la dysfonction érectile est alors devenue beaucoup plus persistante, mon identité sexuelle s’en est trouvée alors extrêmement bousculée, ce qui m’a fait sombrer dans une assez grosse déprime et m’a poussé à consulter rapidement une thérapeute (sexologue et psychothérapeute) J’ai alors fait une assez long travail sur mes systèmes de croyances, les émotions, etc…
Du coup, je me demande si je dois poursuivre mon abstinence, ou si, en alternant les deux formes de plaisir (avec ou sans viagra), j’arriverais à garder les érections, tout en jouissant de temps en temps avec l’Aneros.
Le viagra comme le Cialis offrent un filet de secours en cas de “rechute”, cela permets de vraiment dédramatiser et de pouvoir se détendre tout en observant sereinement ses réactions (la détente totale est nécessaire pour l’érection comme pour le plaisir prostatique).
L’implication de votre partenaire lors de vos expériences prostatiques peut grandement contribuer à vous sentir plus détendu et serein pour aborder ces deux formes de plaisir.
Entretemps je prendrais soin de dédramatiser la situation (pas de stress comme dit @aneveil). Bon cheminement @fredd.
En effet, on peut toujours décider de “dédramatiser” mais quand l’égo (qui déteste tout changement) organise un véritable travail de sape qui vous submerge de critiques intérieures et d’émotions négatives, il est difficile d’y résister par une simple décision car il faut d’abord comprendre ou dissoudre les émotions qui nous submergent.
L’avantage d’une thérapie, au delà de régler un problème ponctuel (ici d’érection) permets de “faire du nettoyage” en se libérant de mémoires toujours agissantes depuis l’enfance et de savoir mieux accueillir et dissoudre ses émotions (il y a beaucoup à dire là dessus et le lien avec “l’énergie” et la Kundalini…)
Sinon pour gérer et transformer les émotions, j’ai découvert récemment une méthode sur laquelle j’avais beaucoup d’aprioris tant cette méthode peut paraître simple, voir simpliste. Il s’agit de l’EFT que l’on peut apprendre et pratiquer en à peine une ou deux heures, j’ai expérimenté et cela semble fonctionner assez efficacement.
Bon cheminement @fredd