#25702
eveilletajoie
Participant

Merci Jieffe pour ce partage.
J’arrive à prendre ces séances « sans » de manière de plus en plus positive: c’est simplement un signe, un reflet d’un état de stress trop important chez moi… et je ne peux qu’accueillir mon besoin de me détendre et de prendre du temps pour moi.
Mieux, je réalise que la fatigue n’impacte pas autant mes sessions que mon état d’esprit général – et tout ça m’incite à faire attention à ce ras le bol global que je peux ressentir régulièrement en ce moment.
Le corps ne ment pas, et c’est un excellent indicateur quand il faut changer les choses !
Pour revenir sur les peridise, je réalise que l’expression que j’ai utilisée, « faire monter le plaisir » est à double sens et mérite explication:
Je ne parlais pas d’une montée en intensité mais plutôt d’une diffusion des vagues de plaisir vers le haut du corps (nombril, poitrine, cœur, gorge) montée que je peux ressentir avec le plaisir prostatique, sans doute plus intérieur, mais pas avec le plaisir purement anal que procure le peridise, plaisir qui reste coincé dans la zone stimulée.
Je m’exerce beaucoup à visualiser le plaisir qui pour moi monte depuis la prostate et le périnée comme de petits éclairs à l’interieur de mon corps (comme ces globes qui font des éclairs quand on approche la main…) et ça m’aide à ressentir mieux les choses.
Enfin, pour répondre à cette jolie phrase d’encouragement « nous y arriverons » je dirais même « nous y sommes » ! Le plaisir est dans le désir, comme le dit joliment Jacques Ferber, et pas dans la satisfaction de ce dernier 🙂
Je serai peut être un jour un pilote de chasse aguerri comme bzo… ou pas… mais aujourd’hui j’adore ces expérimentations, ces séances qui diffèrent complètement d’une fois à l’autre, ces questions, témoignages et échanges 🙂
J’ai hâte d’avoir fini mes premiers articles pour mettre en ligne mon blog, et vous partager plus en détail comment ces expériences et recherches autour du plaisir font pour moi partie intégrante d’un chemin de vie !