#27988
Ch313
Participant

Du nouveau . . .
Je viens de faire un petit compte rendu de ma session d’hier, je le poste sur le fil de Naomi. Je retourne me coucher.
C’est elle qui prend ma main et la pose sur son genou mais comme d’habitude je sens qu’elle ne veut pas plus. Je me détend, me relaxe, je me mets en ‘veille’ je recherche ma ‘place’ (je retrouve maintenant les mots pour décrire mon état).
Elle pose sa main sur mon torse. Les frissons me parcourent. Je m’abandonne.
Elle caresse ma poitrine, je frémis encore plus.
Je ne suis plus à penser à lui faire l’amour, je suis femme à l’attendre je commence à gémir. Elle s’occupe de mes tétons, je m’abandonne à ses doigts je gémis au rythme de mes spasmes. Je jouis déjà.
Elle descend ma main sur mon pubis. Elle masse le pourtour de mon sexe je me cambre. Ses doigts m’explosent, elle me ‘fiste’ complètement. Ses doigts m’irradient du plexus au fond de mes cuisses. Je hurle, du moins presque je me limite quand même.
Je ne sais plus, c’est un ‘blanc ‘ dans ma mémoire.
Je me retrouve dans un ‘calme’ elle me dit « tu ne mouilles pas les draps » ; je mets un préservatif.
Puis elle tripote mon gland à travers mon short (de pyjama), en fait je ne sais pas ce qu’elle fait. Je jouis. Mon sexe s’abandonne à ses doigts. Et pourtant je le sens en moi je ne comprends plus rien. Il me fait l’amour et il fait l’amour à sa main. Je disjoncte, je sais plus. Est-ce que je ‘perds connaissance’ non mais ma conscience est déconnectée, je suis incapable de décrire ce qui s’est passé ensuite.
Je reconnecte, hyper décontractée, comme en lévitation.
Pratiquement deux heures de jouissance ponctuée d’orgasmes comme jamais elle m’en avait procuré.

J’ai envie de lui dire mais je n’ose pas

Je voudrais lui faire un texto comme :
Chérie
Je suis trop émue pour pouvoir te le dire, alors je te l’écris
Tu m’as fait l’amour comme une vraie lesbienne
Je me suis sentie tellement femme sous la tendresse de tes doigts
C’était merveilleux fabuleux de m’abandonner à tes caresses
Recommences, encore plus, Vite
. . .