#28964
bzo
Participant

hé hé j’ai fini par réussir à mettre le moteur en route

j’ai alterné les petites séances, tantôt avec la main par devant,
tantôt par derrière

la main d’ailleurs plus explicitement enveloppant les parties génitales,
restant bien inerte,
ainsi mon sexe est resté au repos, sans la moindre trace de durcissement tout le long
et je parvenais à bien détourner toutes les sensations péniennes
vers le flux de sensations prostatiques

je bougeais tranquillement, inhabituellement calme,
c’est la fièvre qui m’amadouait, me neutralisait quelque peu
mais c’était bon, le plaisir était bien là

avec la main par derrière aussi,
mon cul un peu lubrifié, les doigts entrant dans la raie et un peu dans l’anus,
la paume épousant le globe de la fesse
et mon bassin bougeant lentement, lascivement, c’est diantrement bon,
j’ai l’impression de fouiller dans un sexe de femme avec ma main ainsi,
d’en sentir tous les plis intérieurs, ça se plie et se déplie sous mes doigts,
c’est délicieux comme jeu

après j’enfonce trois doigts bien profondément,
je m’installe sur la colonne, je monte et je descend dessus,
chaque mouvement m’arrache des gémissements et des râles,
la contraction enveloppe tellement les doigts,
leur fait comme un fourreau parfaitement uni,
cela frotte à l’intérieur, comme cela frotte délicieusement,
j’en ai des frissons dans tout le corps

pas de séances en aneroless pur (sans la main par devant, ni par derrière),
la fièvre joue trop les trouble-fête ainsi,
l’impression d’avoir les sensations perdues dans un brouillard,
pas de place pour la subtilité et la sophistication ce soir,
on fera avec ce que j’ai à ma disposition