#29295
bzo
Participant

je sors d’une séance d’une heure et demie environ,
comme je l’ai écris récemment,
les ressources de plaisir de cette vieille carcasse m’étonneront toujours,
pas besoin de viagra,
mon masseur en silicone, la panne, il ne connait pas,
mes doigts non plus, mes contractions non plus,
des problèmes d’érection, moi jamais,
je me baise et me rebaise avec la vigueur d’un jeune de 20 ans
et cela tous les jours

les meilleurs moments ont été avec le masseur
en conjonction avec la main par devant,
tantôt juste effleurant une couille ou un doigt juste posé dessus nonchalamment,
tantôt la main aggrippant toute ma grappe et la tirant vers le haut,
jusqu’à bien distendre mes bourses,
là j’effectue mes lents va et vient, comme c’est délicieux,
cela me fait gémir tellement fort

je parviens avec le masseur à rester une demie heure ainsi,
jouant avec mes couilles , mon sexe,
éveillant des sensations tellement intenses
mais à aucun moment malgré toutes ces manipulations,
il ne s’épaissit, il ne se durcit,
il joue le jeu avec moi,
toutes ces sensations péniennes sont incorporées au flux des sensations prostatiques,
les renforçant, leur donnant d’autres tonalités, d’autres colorations,
c’est absolument irrésisible
car il y a aussi constamment à partir d’un niveau d’excitation
la sensation tellement forte , tellement puissante
de se faire l’amour avec son propre sexe

j’ai mon pussy entre les jambes
et dans celui-ci, j’ai la sensation de sentir mon propre sexe aller et venir dedans,
c’est tellement réaliste comme sensation,
je suppose qu’il faut l’avoir vécu pour vraiment y croire
ou du moins se rendre compte à quel point c’est puissant, excitant à vivre,
je suppose que ce sont les sensations péniennes éveillées qui font cela,
elles viennent de mon sexe après tout

comme c’est bon tout cela, on ne s’en lasse pas,
je vais aussi me mettre lentement à ces extases tantriques dont parlent le dernier article d’Adam,
ça m’a vraiment marqué cet article,
je veux cela aussi, je vais m’y mettre,
j’y suis arrivé avec masseur, j’y suis arrivé sans,
alors il n’y a pas de raison que je n’y arrive pas aussi de cette manière