#29467
bzo
Participant

ouah, @epicture , tu n’y vas par quatre chemins, il faut s’accrocher,
pas avoir peur du vertige

une belle séance de près de deux heures,
commencée comme séance d’entraînement, je me sentais trop fatigué
pour me lancer sérieusement, pour chercher les étoiles en moi,
donc juste comme cela à se chipoter, à expérimenter, à bidouiller

mais peu à peu cela a pris une toute autre tournure
et j’ai commencé à me faire l’amour lentement, passionnément,
gardant presque constamment les yeux ouverts

cela devait me manquer le plaisir les yeux ouverts
ou plutôt c’est dont j’avais besoin
car il m’a entraîné pendant près d’une heure ainsi
à me caresser à me rouler dans tous les sens,
pressant entre mes cuisses mes parties génitales, les malaxant, les pétrissant,
jouant à l’entrée mon anus-pussy,
comme j’aime le chiffonner celui-là,
dès que le bout de mes doigts commencent leur petit manège là-dedans,
j’aurai envie de pleurer tellement c’est bon,
tellement je suis empli de frissons

je laissais beaucoup aller mon bassin vers la gauche, vers la droite,
serrant mes couilles entre mes cuisses et ainsi glissant onctueusement,
chemin de miel, je me sentais m’ouvrir,
je n’avais qu’une envie, c’être pris,
sentir un dard s’enfoncer en moi,
mes jambes toujours serrées autour de mes couilles et de ma petite queue bien docile,
je faisais remonter une contraction,
en même temps qu’elle faisait vibrer ma prostate, en même temps je sentais les ondes mâles
venir emplir mon pussy,
quel délice, mon cerveau fondait comme du beurre
et mes caresses fiévreuses n’arrêtaient pas de frotter mes seins, de descendre vers mon pubis,
j’adore toucher la base de la verge , un peu frotter là
tandis qu’une autre contraction bien insistante,
s’enfonce entre mes jambes, s’enfonce dans mes entrailles

j’avais le rythme c’est certain, j’étais hors de moi de plus en plus,
au bout d’une heure, un orgasme est arrivé, si irrésistible, si lentement,
une accélération des particules, mes cellules semblaient tournoyer dans ma chair,
semblaient se mettre à couler de plus en plus vite dans toutes les directions,
je serrai mes couilles entre mes cuisses bien fort
et me caressais frénétiquement,
hurlant de plus en pluss fort,
un torrent dans mon bassin, un torrent de lave qui montait dans tout mon corps

les yeux ouverts, toute cette douceur incroyable des derniers jours,
s’est encanaillé, plaisir plus crû, plus vif, plus violent,
je vais continuer ainsi pour l’instant,
cela me va