#29998
bzo
Participant

je me déshabille en triple vitesse, balançant mes vêtements n’importe comment,
il fait un peu froid depuis deux jours, j’ai du me rhabiller
mais là cela me démange,
cela me démange dans le fondement,
cela me démange dans les mains qui ont envie de caresser ma peau,
cela me démange dans les seins qui ont envie d’être caressés,
cela me démange dans les cuisses,
cela me démange dans les parties génitales qui ont envie de rayonner du miel

bref, cela me démange partout,
j’ai failli m’arracher les vêtements tellement j’étais pressé,
je cours vers le lit, je m’arrête brusquement, c’est trop tard, c’est parti,
deux doigts s’enfoncent lentement dans mon anus-pussy,
comme c’est bon, ce touillage,
c’est divin de sentir ces plis de chair se mouvoir au rythme de mes doigts,
je les enfonce bien à fond, cela me fait crier,
j’ai le bassin qui se met à bouger , rythme chaloupé, langueur,
divine lascivité de mes reins

je me sens me faire l’amour, je me caresse, je m’offre,
entre mes reins, une contraction comme une pine bien dure remonte en moi,
fait frissonner mes entrailles

il faut que je bouge,
debout ma position devient de plus en plus instable,
je vais tomber à la renverse si cela continue tellement je suis étourdi par le plaisir

je vais jusqu’à mon lit,
deux doigts toujours taquinant l’entrée et l’autre main sur mon sein,
je me couche,
ça y est, cela peut partir, toute la machinerie peut se mettre en route

je bouge lentement la cuisse, je la ramène un peu vers moi et je la dépose sur l’autre,
cela me fait plein de frottement à l’entrejambe,
associé à une lente contraction, c’est du miel qui se répand dans mon bas-ventre,
je saisis mes deux seins à pleine main, je les regarde être malaxés, être frottés,
je vois plus bas mon bassin en mode liane langoureuse,
sans gêne et sans frein, je me laisse aller à la houle de mes hanches,
j’ondule, je sens toutes ces courbes en moi qui fleurissent,
qui s’élancent vers le ciel

c’est un grand sourire, ma chair, mon sang,
un grand sourire vers le ciel,
tout mon amour est là sur le pont, à la manoeuvre,
nous nous éloignons des côtes, le grand large nous attend

je continue à frotter lentement une cuisse contre l’autre,
toujours ce miel, cette onctuosité en vagues lentes
qui parcourent tout mon corps,
de temps à autre je fais remonter une contraction,
mouvement de pine qui remonte divinement en moi,
tous ces frottements, ah tous ces frottements!
cela ferait jouir un mort, de pareils frottements dans ses entrailles

je continue de bouger façon liane amoureuse, façon liane en chaleur
et j’adore tendre ma croupe, ouvrir mes cuisses,
les sentir s’écarter,s’ouvrir, offrir ce chemin dans ma chair ,
ce chemin vers le bonheur à deux
je lève ma croupe, j’écarte les fesses, quand je me sens prêt, bien sans défense,
bien entrouvert,
je lance une contraction bien tranquillement, elle n’a plus qu’à s’enfoncer,
elle n’a rien d’autre à faire, je lui ai mâché le travail,
elle n’a plus qu’à faire acte de présence massive,
déambuler tranquillement sur le chemin entre mes fesses, dans mes entrailles,
elle monte, comme elle monte, un lent piston,
elle éjecte plein de gémissement de moi en remontant comme cela,
cela sort en rangs serrés par ma bouche,
il va plus rien me rester en moi si elle continue à monter comme cela,
toutes mes entrailles seront sorties par ma bouche,
restera un grand creux
mais non, petit farceur, tout est bien là
qui attend déjà la prochaine hampe bien dure,bien longue, bien rugueuse, entre tes reins