#30768
bzo
Participant

Ce que tu nous dis là @bzo, c’est que la pratique du massage prostatique procede de la découverte de couches successives dans les sensations corporelles et/ou mentales

cher @epicture, très certainement aussi
mais ce que j’ai voulu dire plus haut, c’est qu’il y a plus qu’un seul type de plaisir possible avec la prostate,
il y a la voie majoritairement empruntée, majoritairement évoquée,
celle du traité d’Aneros et son pendant A-less tel que pratiquée par @nydor

je me suis progressivement éloigné de cette façon de pratiquer
parce que je ressentais en moi qu’il y avait moyen de faire autrement
pour favoriser de plus en plus ce que je percevais en moi,
ce que j’appelle le féminin enfoui, endormi quelque part au fond de moi
et que je voulais réveiller de plus en plus
et vivre ma séance, ressentir ma séance, au travers ce féminin

et cela a fonctionné merveilleusement,
le plaisir a complètement changé, les sensations ont complètement changé

Cette ressemblance peut tout simplement être le signe que cette forme de jouissance est mixte, disponible chez l’homme comme chez la femme.

mais beaucoup plus accessible à la femme,
plus immédiatement à fleur de peau, à fleur d’organes, à fleur de main, chez la femme
alors que chez nous, il est enfoui, enfoui tout au fond de nous
dès lors pourquoi je n’aurai pas le droit à partir du moment où je suis parvenu à le réveiller
il me plait à moi de l’appeler plaisir au féminin

Je me trouve dans le même état mental. Je ne perçois pas de dimension féminine dans mon plaisir prostatique.

est-ce pour cela que cela n’existe pas? qu’en pratiquant d’une certaine manière, différente de la tienne,
il n’y a pas moyen d’éveiller des sensations, un état d’être durant la séance
qui reflète cela?

ton plaisir est puissant, magnifique, tu as atteint un stade très élevé dans l’évolution de ta pratique
mais ce n’est pas forcément le seul type de plaisir, le seul type de sensations
en faisant intervenir notre prostate
qu’il y a moyen d’obtenir