#32612
Arousal
Participant

Ben vl’a aut’chose, les enfants.
Hier soir, tard, après une longue journée, j’étais bien content d’aller me coucher. Ma prostate se manifestait un peu, si j’en avais eu le temps j’aurais peut-être dégainé mon Helix, mais là la priorité, c’était le sommeil. On verrait demain.
Mais ma prostate ne l’entendait pas de cette oreille. Elle a décidé de n’en faire qu’à sa tête et de se masser toute seule. D’abord des ondes de plaisir, puis des orgasmes, puis, eh oui, ce qu’il faut bien appeler des super-O. Avec très peu de phases de répit.
Elle m’a tenu éveillé jusqu’à plus de 1h du matin, heure à laquelle j’ai fini par me résoudre à une masturbation classique dans le seul but de casser le processus (oui j’aurais pu y penser avant… bon en fait j’y ai pensé avant, mais…)
L’un de ces orgasmes était assez particulier, je vais essayer de le décrire mais ce n’est pas facile. J’ai ressenti un plaisir beaucoup plus doux que celui habituel, mais aussi moins intense, plus « pâle » en quelque sorte. Pourtant je l’ai ressenti comme beaucoup plus « fort » que les autres. Bien que plus léger, donc. Non, je ne comprends pas bien non plus. Ah voilà : je l’ai ressenti plus INTENSEMENT, bien que plus doux et léger. Tiens je me demande si ce n’étaient pas les prémices d’un “full body orgasm”…
Le chemin est parsemé de découvertes étonnantes, lancez-vous, ceux qui n’ont pas encore osé !


@andraneros
 : ah merci de l’info, c’est un ouvrage dont je vois le nom revenir souvent.