#32683
Andraneros
Participant

Pour en revenir au sujet initial posé par @aneveil, il semble qu’en plus de la satisfaction profonde, bien supérieure à celle que procure le plaisir de l’orgasme obtenu à la force du pénis, le plaisir prostatique, vécu par ceux qui s’y plongent à volonté, devient une barrière à des ébats partagés voire à de simples échanges sur la sensualité de chacun des partenaires. Ce sont deux causes qui conduisent à cette situation d’autarcie, dans laquelle on ne va plus chercher ailleurs au risque d’être rejeté ce dont on profite seul avec tant de facilité.

Le sujet est d’autant plus sensible qu’il touche ce que nous avons de plus intime et est encore couvert par l’interdit qui pèse sur le plaisir sexuel partagé ou solitaire. La solitude est une voie de confort qui permet d’éviter tant de conflits.

Bon cheminement à vous tous.