#33076
bzo
Participant

malgré tout le potentiel de plaisir,
je me rends compte que chaque fois que je pense pratiquer,
je ne pense jamais spontanément séance avec masseur

il faut que je me force à chaque fois,
un peu comme à la piscine, quand on est au bord de l’eau plus froide que la température du corps,
il y a toujours une résistance à surmonter

le fait est qu’avant la séance, je ressens instinctivement le masseur comme un intrus,
et la pensée de l’insérer d’abord comme à un acte intrusif,
après une fois qu’il est en place, que les muscles se sont bien détendus,
se sont bien habitués à l’intrus en silicone
il fait peu à peu comme partie de moi
et à la fin de la séance, quand je l’enlève,
j’ai l’impression d’arracher de ma chair quelque chose
d’arracher quelque chose qui a fait corps avec ma chair