#33581
Ch313
Participant

Bonjour
Ce matin, je me réveille de façon inhabituelle
Je suis déjà en transe, des spasmes m´ agitent, je suis en érection.
Suis-je au sortir d’un rêve sexuel ou sont-ce les spasmes qui me réveillent ?
Mais le désir est bien présent, j’ai envie de m’offrir du plaisir.
Je ne veux pas réveiller ma compagne. Il faut que j’apaise ce spasmes.
Alors je me mets à me palper à pleine mains ce que je ne fais jamais.
Les seins, les cuisses, les parties génitales comme pour étouffer les débordements d’énergie mais cela ne fait que les disperser dans tout le corps.
Je pense à la pratique que Bzo nous raconte (salut à toi, je suis toujours régulièrement tes récits), je ne croyais pas que je le ferai un jour, je n’en ressentais pas le besoin et n’en éprouvais pas de plaisirs . Mais je pense aujourd’hui partager tes sensations.
La chaleur montant dans mon corps et les spasmes revenant, je décide de me lever.
Je déjeune, mais cela ne me détourne pas de mes désirs alors je m’installe dans mon fauteuil. Je malaxe mes seins, je sens mes joues rougir : Pierrette est bien chaude.
J’ai envie de me sentir pénétrée, alors sans réfléchir j’introduis le Progams.
Les tremblements me surprennent, les contractions vont et viennent au point que au point que le Progams ressorte plusieurs fois, il faut que je le retienne avec mes doigts pour ne pas le perdre. Mais c’est peine perdue, il s’éjecte violemment. Je suis en pleine extase orgasmique pendant plusieurs minutes, incapable de contrôler quoi que soit.
Mais je veux encore me sentir pénétrée c’est tellement bon. Alors je prends un gode plus conséquent que le Progams, je suis tellement mouillée que je l’introduit sans difficulté même sans lubrifiant. L’orgasme étouffe à nouveau ma conscience, je suis complètement disjonctée, disconnctée, en proie aux vagues orgasmiques successives.
Lasse de devoir tenir le gode pour qu’il ne s’échappe pas, je reprends le Progams et je l’introduit en plus du gode sans difficulté tellement je suis mouillée.
Je me cale encore plus dans mon fauteuil, je n’ai plus besoin de tenir mes accessoires.
Je m’abandonne avec délices à cette double pénétration. Pierrot est bien là.
Je prends son (physiquement mon) sexe dans mes mains. Je l’accompagne dans ses mouvements. Je tempère sa fougue, ses mouvements deviennent plus lents. Il sort, il rentre langoureusement de plus en plus profondément. Mon bassin ondule à sa rencontre.
De temps en temps en je glisse son sexe sur mon ventre jusqu’entre mes seins puis je caresse mes lèvres avec pour me l’introduire à nouveau, il se masturbe entre mes mains et mon vagin, c’est lui qui accompagne mes poussées jusqu’au plus profond de moi pour orgasmer à nouveau. Je le, me, tripote en tous endroits, nous nous serrons jusqu’à ne plus savoir ce que nous serrons. Je suis lui, je suis elle et pourtant je suis un, moi unique.
Jusqu’à ce que je retombe dans la langueur océanique d’une tendre béatitude.
Après quelque minutes je range mes accessoires juste à temps car ma compagne s’est réveillée et vient déjeuner, une heure plus tôt que d’habitude. Quelle chance de ne pas m’être fait surprendre, elle ne sait rien de mon parcours.
La matinée est passée et j’ai encore des sensations qui vont de mes cuisses jusqu’à ma bouche, mes lèvres comme si un canal les reliait avec un désir lancinant qui me fait monter des larmes.
Salut à tous