#34376
bzo
Participant

cela s’est encore passé,
les retrouvailles,
les retrouvailles après une journée loin du trésor dans ma chair

comme nous nous sommes retrouvés, mon joli coquelicot géant, vibrant,
des vagues chaudes et douces, onctueuses,
immédiatement partout dans ma chair, à la première caresse,
faut dire que je sais y faire, que je sais vraiment comment y faire,
une certaine façon de tourner la tête langoureusement
tout en mettant la main devant la bouche, emprisonnant légèrement mon souffle,
le sentant contre ma paume, chaud, léger, chargé déjà de l’ardeur frissonnant dans mes entrailles,
du feu se répandant dans mon sang
tandis que l’autre main caresse mon ventre, descend légèrement, effleure éventuellement mon sexe,
remonte, papillonne à gauche, à droite,
que mes cuisses déjà, eh bien mes cuisses,
elles font leur travail de cuisses, elles se sont collées contre mes couilles,
quel couple elles forment, celles-là, dansant si lascivement collées les unes contre les autres,
quel fabrique à nectar, garanti 100 % pur jus de volupté, dense, onctueuse, chaude,
à consommer dans l’instant, sans modération,
guérit de tous les vagues à l’âme instantanément