#34399
bzo
Participant

nu dans le courant croisé des ventilateurs par terre chez moi, penché sur ma librairie en cours de montage,
me relevant, me rasseyant, m’accroupissant, suant, ahanant, mesurant, perçant, vissant,
je dois dire que je suis aussi constamment excité comme une puce
et j’ai du mal à me concentrer sur mon travail
et ne pas arrêter pour me donner du plaisir

c’est du au fait que je sois nu et que mon bassin entre constamment en contact avec le bois poncé,
s’y frotte, s’y cogne, l’effleure, s’y presse,
avec en plus mes couilles qui entrent régulièrement en contact avec mes cuisses,
il n’en faut pas plus pour que votre serviteur soit dans tous ses états

mais le contact du bois massif poncé avec la peau de mon bassin, de mes parties,
c’est vraiment quelque chose de très sensuel et qui éveille toutes sortes d’envie en moi,
c’est en même temps rugueux et doux, lisse, légèrement raclant et tiède
mais surtout très doux, presque feutré, comme impression
puis cela durcit en une fraction de seconde,
c’est progressif en fait comme sensation comme si le bois avait une couche tendre en surface
et dure en-dessous

un matériau très sensuel au toucher,
au contact de mon bassin et de tout ce qui y pend, s’y balance, en tout cas