#34649
bzo
Participant

bravo, bravo, rocketman,
tu t’échappes là, tout est monté de plusieurs crans chez toi,
dommage que tu doives de retenir de gémir,
il faut absolument que tu fasses aussi des séances où tu peux te lâcher vocalement,
tu verras cela apporte énormément

J’ai alors décidé de consacrer une petite volonté pour arrêter ces tremblements. Pas simple mais j’y arrive. Je sens que le corps me supplie de le laisser vibrer, il en a besoin pour gérer ca. Je refuse. Le plaisir continue alors à monter jusqu’à dépasser le stade ou normalement je « convulse » complètement. Il continue sa route puis à fini par arriver au bout de ma volonté, mon corps se contracte brutalement, envoyant le masseur au fond de mon corps. Le plaisir irradie dans mes hanches, et se propage en partie dans le reste de mon corps.

étonnant, je commence à voir un peu ce qui arrive,
je dois dire que moi, cela ne m’a jamais causé de problème de trembler par exemple des pieds à la tête,
j’accueillais cela avec avidité , les sensations changeaient grâce à ce genre de manifestations physiques,
avaient toutes sortes de nuances spécifiques

je me rappelle, il m’est arrivé d’avoir des manifestations de désordre physique très impressionnants
comme si j’avais une crise d’épilepsie
mais j’accueillais cela sans aucune appréhension, même je les recherchais
car je savais que cela changeait les sensations, leur conférer des couleurs spéciales,
l’expression que j’aimais bien utiliser à l’époque, c’était:
comme si toutes mes cellules étaient embarquées dans un tam-tam sauvage et débridé
mais je m’en servais pour décoller en plus

je crois que c’est plutôt un problème de savoir accueillir cela sans appréhension complètement
mais tu as trouvé pour l’instant une façon de gérer ces situations qui semble te convenir,
c’est le plus important

En plein dans ce orgasme cosmique, mes mains ont commencé à caresser naturellement l’ensemble de mon corps qui ondulait délicatement, au lieu de trembler. J’ai été littéralement propulser en orbite. Il a duré une bonne minute de plaisir pur.

on est bien, n’est-ce pas, quand la chair atteint des stades ultimes de délire, d’exultation,
tu t’envoles, tu sais voler, bravo encore une fois

continue toujours d’être curieux, d’explorer,
ne t’endors jamais sur tes lauriers