#34670
bzo
Participant

passé une bonne heure au lit,
moments délicieux de plaisir charnel, de volupté dans tout mon être,
jusqu’aux tréfonds de mon être, la félicité d’être incandescent

j’ai sorti le Vice 2, une vraie séance avec cette fois, pas juste quelques minutes,
c’était glorieux, une bonne demie heure à hurler de plaisir
tellement ce Vice 2 m’envoûtait,
il a la longueur parfaite mais il est moins épais, moins massif que mon G-Rider,
de ce fait il reste totalement maniable quand je serre les cuisses
et je ne l’utilisais bientôt plus qu’ainsi,
couché sur le dos, jambes croisées, serrant mes cuisses sur mon paquet, pressant, frottant,
tout en faisant monter et descendre le masseur
cela devenait un noeud vibrant entre mes jambes,
(pas les vibrations du masseur, mes vibrations naturelles, je tiens à le préciser)
rythmé par les va et vient de la hampe en silicone du Vice 2 en moi

se mêlaient, s’entremêlaient tout ce qu’éveillait le masseur
depuis ma prostate en passant par mon anus-pussy qu’il frottait et cognait délicieusement
jusqu’à mes génitaux pressés, frottés, malaxés par mes cuisses, les serrant, les frottant, inlassablement

ma main descendait, venait s’enfoncer là-dedans, cela se décuplait de plus belle,
quel torrent vibrant entre mes jambes, mes gémissements de plaisir redoublaient encore de volume,
tant pis pour les voisins, mes entrailles avaient besoin de cette cheminée sonore
qui lâchait gémissement après gémissement, râle après râle, cri après cri, sans discontinuité

après une demie heure ainsi,
j’ai eu envie de ressortir une vielle connaissance que je n’ai plus utilisée depuis longtemps, mon Progasm
mais il n’a pas fait long feu, il a un bon volume et une belle forme
mais il a définitivement un centimètre qui manque pour moi

j’enchaînais avec quelques minutes en aneroless
mais variante diabolique, j’utilisais le “bullet” du Vice 1,
sa tige vibrante, qu’on peut enlever du masseur,
je le coinçais entre ma cuisse droite et mes couilles, le moteur en route, ronronnant et vibrant,
je commençais à bouger ainsi en aneroless, il restait très bien en place malgré tous mes mouvements
et bon dieu qu’est-ce que c’était bon,
autant pour l’instant je n’aime pas les masseurs vibrants car je ne sens plus mes vibrations naturelles,
celles-ci sont noyées,
autant ici avec la tige vibrante du Vice 1, coincée entre mes cuisses et mes parties,
cela contribuait grandement à provoquer des sensations toutes spéciales,
tellement, tellement délicieuses,
moments divins, moments de plaisir unique

après sur ma lancée, j’ai voulu tester le Wand chinois en acier,
je me suis dit que peut-être ce gros bazar en métal absorberait les vibrations de la tige du Vice1
et il e n résulterait quelque chose de spécial,
l’idée semblait aguichante mais le résultat n’a pas été au rendez-vous,
j’enlevais la tige et continuais un peu avec le Wand,
je parviens vraiment à bien le bouger
mais cela ne provoque toujours rien chez moi,
bah patience, on verra bien, peut-être un jour cela va démarrer

puis enfin encore un petit tour de piste avec le Vice2,
j’ai là aussi coincé la tige vibrante avec ma cuisse
mais j’ai rapidement renoncé car je sentais que c’était trop,
que je filais directement vers l’éjaculation ainsi,
j’ai eu la tentation de laisser faire, de me lâcher
puis je me suis ravisé, cela n’en vaut pas la peine,
pour ces quelques secondes d’orgasme violent accompagné de quelques jets de sperme,
après il me faudrait au moins 10 jours
pour retrouver la même puissance, la même réactivité, dans ma pratique

je continuais encore un peu avec le Vice 2 mais sans la tige vibrante
puis encore un peu en aneroless mais avec la tige vibrante pour compléter cette bonne heure de bonheur

la nuit va être longue, j’ai prévu de la passer dans la luxure la plus débridée dont je sois capable
je vais aller laver tout ce petit matériel
puis vais continuer en aneroless
cependant je vais tester la tige vibrante sur mon coin de table ,
le dos contre mon meuble ondulant,
curieux de voir ce que cela va donner

dorénavant cette tige va rester toujours à portée de main, à portée de cuisse,
plus rester à dormir dans la boîte à joujoux,
en plus j’ai des tonnes de piles,
toutes celles que je recevais avec les divers masseurs que j’ai achetés
et que j’ai simplement jetées dans une boîte sans enlever le plastique,
votre temps est venu, mes chéries,
je vais avoir besoin de l’énergie contenue entre vos minces parois de métal,
dans vos ventres de plomb