#35259
Devi_X19
Participant

Bonjour,

Je vous remercie beaucoup pour votre réponse rapide, toujours aussi consistante et intéressante à lire. Concernant la première partie, je n’émettais aucun jugement sur votre perception de la pratique bien au contraire, je ne faisais que livrer ce que je ressens dans le moi profond. Ce n’est que le sentiment que j’ai au fond de mon âme qui je le sais et le lis ne correspond pas au ressentis de la grande majorité ici. Je n’aurais peut-être pas dû me dévoiler aussi vite. Enfin, j’avoue que le tableau que j’ai brossé est assez noir et sans nuances, mais je vous rassure, ce n’est qu’un constat et mon quotidien n’est pas si noir, j’essayai juste de comprendre mes mécanismes internes à voix haute. Enfin, je m’étale encore sur ma psychologie :)! Parlons du sujet.

La pratique en soit m’apporte beaucoup de bonheur que je n’ose me l’avouer, c’est d’ailleurs une des raisons qui me pousse à écrire ici, dans le but de me prouver qu’il n’y a rien de mal à cela. (Mais la notion de plaisir “coupable” a quelque chose d’excitant tout de même).
Pour répondre à votre question, les contractions montent en intensité pendant la pratique. Et effectivement je pense que je compare deux choses incomparables. ça m’apprendra à écrire sans réfléchir ^^.

La perception au quotidien de la zone s’est déclenchée après ma première utilisation du vibromasseur. C’était avant cet été lorsque j’avais envie d’arrêter. Pourtant c’est je pense là où l’excitation a atteint des paroxismes. Mon corps ne voulais jouir que par ce biais là. Le rewiring avait fonctionné à la perfection, et je reconnais de fait son existance. Il faut prendre des mécanismes, accepter les vagues et centrer son bonheur dans la zone. Concernant les sensations, je sentais effectivement des étincelles se générer, avec l’impression que l’aneros etait toujours en place. Lorsque je me baignais au lac, l’eau m’éléctrisais toute la région.

Trouvant cela extrêmement étrange, j’ai fait une pause de 2 mois où j’ai lutté constamment pour recentrer mon plaisir sur le pénis. ça a été fastidieux. J’avais en permanence envie de soulager la zone en insérant l’aneros. Le temps aidant la zone ne m’appelait plus. Mais bien sûr un beau jour l’envie est revenue. Maintenant je m’en veux car je suis redescendu du sommet et lutte pour m’isser à nouveau. En tout cas la zone recommence à m’appeler de temps en temps et c’est déjà un bon début.

J’ajouterais enfin que l’écoute des musique “free hand orgasm” sur youtube est sensationnel pour l’éveil prostatique. Je suis toujours surpris de voir mes contractions se caler sur la musique et osciller au rythme du tempo. Jouissif.