en tout cas je te remercie,
ta phrase aura été un déclic pour moi,
je comprends désormais que je m’agitais beaucoup trop
ce que tu appelles “interrupteurs”,
que je qualifierais comme des postures, des gestes, des mouvements, des attitudes
sur lesquels, je m’appuies pour me propulser dans un autre moi
entre deux moments “interrupteurs”, appelons-les comme cela,
je m’agitais inutilement,
ces moments qui servaient d’appui,
qui me servait à me propulser,
étaient beaucoup moins efficace ainsi
car entourés de parasitage inutile
mais grâce à ton texte,
j’ai perçu avec une acuité forte,
à que point il suffisait que je me mette en mouvement
uniquement pour passer d’un moment “interrupteur” à un autre,
varier les vibrations, leur intensité,leurs nuances
et que tout le reste autour,
était comme de l’agitation vaine et superflue, une façon de se disperser,
une bonne partie de mes caresses,
même mes ondulations en mode liane lascive,
ma danse avec le bassin,
mes frottements et pressions avec les cuisses