Vous demandez @aros :
Vous nous disiez que votre déclic s’est produit en dormant avec votre masseur. Pouvez vous m’en dire plus, car hier soir j’ai testé à nouveau le fait de porter le masseur toute la nuit, mais rien n’y fait.
En ce qui me concerne le mot « déclic » est à la fois vrai et trompeur. En lisant les messages où je parle de mon expérience vous constaterez que ma progression a été très lente. Seule la persévérance et la confiance m’ont permis de vivre ce que je vis maintenant. De ce point de vue la lenteur vient effacer la notion d’instantanéité associé à la significationde déclic.
D’un autre point de vue si le mot déclic est synonyme de déclencheur c’est bien en portant mon Aneros la nuit que j’ai peu à peu fait naître des sensations qui au fil des mois sont devenues des vagues de plaisir puis des orgasmes.
Mes premières réactions ont été des formes de crampes légères le long du dos de l’arrière des cuisses à la nuque qui ne m’apportaient aucune sensation de plaisir. Ayant soigneusement lu les forums spécialisés et le Wiki Aneros, ayant essayé en vain bien des années auparavant de développer mes capacités orgasmiques selon l’enseignement donné par Mantak Chia dans « L’homme multi-orgasmique L’énergie sexuelle masculine », je ne me suis pas inquiété en considérant que ce devait être une manifestation de mon énergie sexuelle.
N’en subissant pas de conséquences négatives, à part quelques manques de sommeil que je gérais, j’ai accueilli ces manifestations avec satisfaction. Au fil des mois elles sont devenues régulières plus fortes et de plus en plus associées à une forme de plaisir qui n’avait encore rien d’orgasmique. J’ai retrouvé ces mêmes manifestations dans mes sessions diurnes. A ce point il y a eu une accélération de mes progrès jusqu’au moment où j’ai pu témoigner sur ce forum de mon premier orgasme prostatique.
Mon itinéraire est très personnel, atypique mais il m’a conduit là où je voulais aller malgré une culture « rationnelle » et un état d’esprit « analytique » qui me plaçaient en dehors du chemin royal vers le plaisir prostatique. J’ai obtenu ce résultat parce que j’ai su persévérer comme je l’ai écrit au début de ce message. Rien ne s’est fait pour moi en une session ni en une semaine ni en un mois. Ma chance a été d’accepter que mes progrès soient lents, d’accepter de ne rien ressentir pendant de longues sessions, d’accepter de ne pas progresser pendant des semaines, d’accepter de faire partie des « débutants laborieux ».
Mes masseurs sont moins lubrifiés le matin mais ils restent encore bien gras. Est-ce que vous faites la double lubrification interne par suppositoire ou seringue et externe sur le masseur ?
Bon cheminement @aros.