#37226
Arousal
Participant

Après une phase un peu creuse, le plaisir prostatique reprend ses droits, des séances particulièrement gratifiantes ces derniers jours.
Nouveauté ces derniers temps, je fais rentrer mon pénis dans le jeu. Au début un peu comme un dérivatif quand la séance prostatique était un peu décevante. Mais je me suis aperçu que maintenant m’occuper de mon sexe pouvait relancer la séance au niveau prostatique.
Et lors de mes dernières séances j’ai en quelque sorte fusionné les deux univers.
Je débute les séances comme d’habitude c’est-à-dire sans m’occuper du tout de mon pénis. Le plaisir prostatique arrive vite, je gémis longtemps et à plusieurs reprises.
Je m’occupe alors de mon sexe tendu. C’est je trouve la pression du gland qui est en quelque sorte « reliée » au plaisir prostatique. Je le malaxe entre pouce et index et majeur (lubrifiés ou pas).
J’obtiens d’abord un plaisir prostatique inhabituel, peut-être pas aussi intense que certains sommets, mais fort agréable quand même.
Et progressivement, de plus en plus de plaisir, que je ressens comme prostatique mais ressenti au niveau pénien. Et ce plaisir devient aussi pénien sans cesser d’être prostatique, plaisir pénien qui s’intensifie jusqu’à atteindre ce maximum qu’on ressent une seconde avant que l’éjaculation se déclenche… Et reste à ce niveau alors que je continue mes massages du gland, jouissant en gémissant pendant plusieurs dizaines de secondes de cet orgasme mélangé. Au bout d’un moment quand même je sens l’éjaculation se profiler, je suspens un peu la stimulation, pour mieux la reprendre plus tard.
Fatigué, je rends les armes à près de 2h du matin en laissant s’écouler le flot de semence qui attendait son heure avec impatience.