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Arousal, le il y a 6 mois.
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- 22 novembre 2019 à 16 h 39 min #35489
Arousal
ParticipantBon mes interventions se suivent et se ressemblent beaucoup finalement (donc j’écris moins souvent), mais allons-y.
Un peu comme d’habitude, des séances sympa mais sans plus, et hier…
MMMFRHHYCDESRGY !!! Super-Os à la pelle +++ grâce cette fois-ci à Progasm… et probablement à une abstinence éjaculatoire record pour moi (+ de 2 semaines).
Abstinence éjaculatoire + séances répétées → libido au taquet 🙂
Et aujourd’hui, vagues de plaisir et orgasmes en Aless.
Wow !25 novembre 2019 à 10 h 20 min #35512Andraneros
ModérateurDans un 1er temps tu nous dis @arousal :
mes interventions se suivent et se ressemblent beaucoup finalement (donc j’écris moins souvent)
C’est tout à fait naturel. A l’exception de ceux qui ont des prédispositions naturelles ou qui bénéficient dès leurs toute premières sessions des capacités qu’ils ont développées en pratiquant des exercices adaptés, nous traversons à peu près tous une phase initiale de découvertes et d’interrogations qui fait naître un besoin d’échanges.
Les progrès de notre jouissance orgasmique marquent de plus en plus régulièrement nos sessions et deviennent peu à peu l’expérience « normale » de nos masturbations et de nos ébats quand nous pouvons les partager avec notre partenaire. Nous n’avons plus rien à demander ni grand-chose de nouveau à raconter, seulement faire un petit coucou aux amis de temps en temps pour dire combien nous apprécions notre nouvelle vie ou faire un « point d’étape » pour dire que notre cheminement est sans fin.
Puis tu ajoutes :MMMFRHHYCDESRGY !!! Super-Os à la pelle +++
Faut-il comprendre que “MMMFRHHYCDESRGY !!! Super-Os à la pelle +++ ” est devenu ton quotidien et que tu nous fais le cadeau de témoigner de la routine que tu vis noyé sous des avalanches de super O’s ?
Ou bien faut-il comprendre que tu viens de faire, plongé dans ce qui ressemble à une transe orgasmique, une session qui t’a emmené encore plus loin que les meilleures de tes expériences précédentes ?
Je rappelle ce que tu nous disais en ouvrant ce fil de discussion il y a un peu plus d’un an :
Je n’ai pas encore atteint le super-O, mais honnêtement mes « mini-O » particulièrement intenses, répétés, pouvant se prolonger parfois de longues minutes qui me font me tortiller et gémir, me suffisent largement !
Tu complétais le lendemain en précisant :
Disons que pour moi super-O = submersion par le plaisir, perte totale de contrôle. Or là je ne peux pas dire que j’avais totalement perdu le contrôle…
Dans la foulée tu pensais avoir enfin fait le grand plongeon :
La séance d’hier soir : OH PU. TAIN. (pardon)
Ca y est. Allez, à la louche on va dire 3 super-O, (… ) La séance a duré 2h30, j’ai dû passer pas loin de la moitié de ce temps à orgasmer en me tortillant et en gémissant.Mais tu corrigeais 1 semaine plus tard :
Oh le super-O qui m’a pris violemment par surprise il y a quelques minutes !!! Court (15-20s ?) mais intense ! Je ne me tortillais plus en gémissant, je me tordais et me cabrais en haletant bruyamment…
Et tu nous offrais ce commentaire :
Sinon pour décrire ce que j’ai ressenti pendant ce super-O… pas évident… les mots sont difficiles à trouver… déjà je suis brutalement dans un état second, le plaisir prend d’un coup possession directement de ma région pelvienne et indirectement du reste de mon corps. Un plaisir… comment dire… brutal, violent, horrible, épouvantable. Clairement il y a moyen de tomber dans les pommes si ça se prolonge je pense ! Difficilement soutenable.
En fait si je devais décrire le plaisir prostatique je comparerais ça à l’inverse d’une forte douleur. « Tu t’es déjà écrabouillé le doigt avec un marteau ? Tu te souviens de la douleur ? La même chose en symétrique, côté plaisir ». Enfin ça c’est pour les « maxi-mini-O » ordinaires. Là en super-O on est bien au-delà !Quel commentaire peux-tu nous offrir aujourd’hui après avoir écrit « Super-Os à la pelle +++ » ?
Tes messages illustrent superbement combien toute définition du super O’ est relative et dépend de nos expériences précédentes. Ils montrent aussi comment notre cheminement est sans fin, comment la perception de notre jouissance continue à évoluer, à prendre de l’ampleur session après session. Ta progression me remplit de bonheur.
Abstinence éjaculatoire + séances répétées → libido au taquet
Ton message vient compléter ce que tu nous disais déjà il y a 2 mois :
Eh oui, abstinence au niveau pénien + séances assez rapprochées de plus en plus gratifiantes = libido qui s’envole
Ton expérience confirme ce que @epicture nous dit de cette pratique et des effets qu’elle a eu pour accélérer sa progression dans l’expérience du massage prostatique et qu’elle a toujours pour amplifier non seulement son énergie sexuelle mais aussi l’intensité de ses orgasmes.
Par “séances répétées” veux-tu dire que tu reprends le même scénario pour chaque séance consécutive pour ancrer de plus en plus profondément le reconditionnement de ta sensualité ou plutôt que tu multiplies les séances avec le minimum de repos intermédiaire pour maintenir la température de ton brasier sexuel ?
Merci @arousal de revenir régulièrement nous donner de tes nouvelles. C’est à chaque fois un message d’encouragement pour les débutants. Bon cheminement @arousal.
13 janvier 2020 à 9 h 51 min #35978Arousal
Participant“MMMFRHHYCDESRGY” : c’est quand l’orgasme est au-delà des mots, surprenant par son intensité 🙂
Oui effectivement il s’agissait d’une de ces séances où l’on est dans un état second et où les orgasmes s’enchaînent aussi naturellement qu’ils peuvent se faire désirer à d’autres moments !
Mais malheureusement non, ce n’est pas (encore ?) mon quotidien. D’ailleurs pour des raisons de santé (rien de grave !), ces dernières semaines se sont caractérisées par un petite forme prostatique.
Mais depuis une semaine, et en particulier depuis hier, les affaires reprennent 🙂Par « séances répétées » veux-tu dire que tu reprends le même scénario pour chaque séance consécutive pour ancrer de plus en plus profondément le reconditionnement de ta sensualité ou plutôt que tu multiplies les séances avec le minimum de repos intermédiaire pour maintenir la température de ton brasier sexuel ?
Je vote pour le brasier sexuel, l’appel impératif de la prostate 🙂
13 janvier 2020 à 10 h 32 min #35981Andraneros
Modérateur15 janvier 2020 à 11 h 15 min #35985Arousal
ParticipantHier, ma prostate m’avait titillé toute la journée. C’était avec gourmandise que j’avais rejoint mon lit le soir, avec cette fois le Progasm.
Dans me position favorite, sur le dos, l’introduction fut prometteuse, déclenchant déjà des frémissements de plaisir dans la zone.
Mais par la suite, les orgasmes se sont fait attendre. Le temps passait, des sensation agréables certes mais rien de plus.
Bon passons sur le ventre, à tout hasard.
Sensations un peu différentes, peut-être un peu plus présentes mais enfin guère plus.
Bon ben tant pis on ne peut pas pas toujours…
Oh mais attendez il y a un petit quelque chose qui s’enclenche on dirait…
Ca a commencé comme une petite brise orgasmique, puis un vent, puis une tempête qui s’est déchaînée dans mon corps raidi et gémissant. Difficile de savoir combien de temps ça a duré, probablement quelques minutes…
Quelques autres orgasmes ensuite, mais pas aussi intenses que celui-là.
Et ce matin, comme souvent après une session fructueuse, des montées de plaisir et des petits orgasmes en aless…5 février 2020 à 14 h 46 min #36337Arousal
ParticipantBonne séquence de séances pleinement satisfaisantes.
Décidément en ce moment c’est la position allongée sur le ventre qui est la plus favorable, bien que moins confortable.
Souvent des orgasmes plus « violents » que d’habitude : je sens là-dedans que tout se tend, se contracte, gonfle, et le masseur s’emballe en, hmmm, « défonçant » ma prostate. (Par contraste avec des orgasmes doux où je ne sens pas ou presque pas le masseur bouger)6 février 2020 à 11 h 16 min #36354Andraneros
ModérateurC’est un fait qui revient régulièrement dans les témignages. La manière dont nous vivons notre plaisir, dont se déroulent nos sessions varie sans que l’on sache très bien pourquoi. L’important est que le plaisir soit bien là, l’important est qu’il continue à progresser pour notre satisfaction.
Bon cheminement @arousal.
6 février 2020 à 13 h 48 min #36356Arousal
ParticipantOn ne saurait mieux dire @Andraneros !
Et en ce moment le plaisir est bien là, les “aless” font un joli come-back 🙂9 février 2020 à 7 h 46 min #36388Arousal
ParticipantCela fait aujourd’hui deux semaines que tous mes orgasmes ont été prostatiques.
Le plaisir prostatique en anerosless m’accompagne au quotidien, raccourcissant parfois un peu mes nuits comme ce matin 🙂
L’appel de l’orgasme pénien n’est finalement pas si fort que cela même si bien sûr mon sexe réagit aux diverses stimulations avec une intensité inhabituelle.10 février 2020 à 10 h 03 min #36393Andraneros
Modérateur@arousal En ouvrant ce fil de discussion il y a 16 mois, tu décrivais ainsi tes première sensations remontant à fin 2017 :
explorer ma sphère anale. Sans grands résultats au début, j’avais fini par connaître les orgasmes traditionnels améliorés par le massage digital de la prostate (mais que c’était inconfortable!)
Tu nous dis maintenant :
L’appel de l’orgasme pénien n’est finalement pas si fort que cela même si bien sûr mon sexe réagit aux diverses stimulations avec une intensité inhabituelle.
C’est une remarque très intéressante . Tu constates, toi aussi, ce qui paraît un paradoxe à nos amis qui commencent leur cheminement vers le plaisir prostatique, que la jouissance apportée par nos orgasmes prostatiques est si intense, si profonde que nous n’avons plus besoin de nos orgasmes péniens pour vivre notre sexualité.
Ce faisant nous entrons dans un cercle vertueux qui contribue à amplifier encore plus notre libido. Notre jouissance extrême sans éjaculation nourrit notre libido au lieu de la mettre en berne. Notre libido très élevée nourrit notre envie de jouir. Nous répondons à cette envie par de nouveaux orgasmes sans éjaculation et ainsi de suite. C’est une énorme différence avec les hommes qui, dans l’espoir de d’élever le niveau de leur libido, doivent faire un effort pour réduire la fréquence leurs éjaculations en renonçant ainsi à leur principale source de plaisir sexuel.
Pour nos amis débutants ce que tu vis est une promesse miraculeuse. Merci de témoigner que ce n’est pas qu’une promesse, qu’au contraire c’est une évolution accessible à tous ceux qui sont appliqués et constants dans leur pratique du massage prostatique.
Bon cheminement @arousal.
10 février 2020 à 16 h 03 min #36395Arousal
ParticipantMerci @Andraneros !
Une évolution qui nécessite surtout de la patience. Je suis étonné (en fait pas tant que ça 🙂 ) de la capacité du corps à trouver tout seul le fonctionnement des masseurs prostatiques, sans l’intervention de la tête.24 avril 2020 à 11 h 02 min #37226Arousal
ParticipantAprès une phase un peu creuse, le plaisir prostatique reprend ses droits, des séances particulièrement gratifiantes ces derniers jours.
Nouveauté ces derniers temps, je fais rentrer mon pénis dans le jeu. Au début un peu comme un dérivatif quand la séance prostatique était un peu décevante. Mais je me suis aperçu que maintenant m’occuper de mon sexe pouvait relancer la séance au niveau prostatique.
Et lors de mes dernières séances j’ai en quelque sorte fusionné les deux univers.
Je débute les séances comme d’habitude c’est-à-dire sans m’occuper du tout de mon pénis. Le plaisir prostatique arrive vite, je gémis longtemps et à plusieurs reprises.
Je m’occupe alors de mon sexe tendu. C’est je trouve la pression du gland qui est en quelque sorte « reliée » au plaisir prostatique. Je le malaxe entre pouce et index et majeur (lubrifiés ou pas).
J’obtiens d’abord un plaisir prostatique inhabituel, peut-être pas aussi intense que certains sommets, mais fort agréable quand même.
Et progressivement, de plus en plus de plaisir, que je ressens comme prostatique mais ressenti au niveau pénien. Et ce plaisir devient aussi pénien sans cesser d’être prostatique, plaisir pénien qui s’intensifie jusqu’à atteindre ce maximum qu’on ressent une seconde avant que l’éjaculation se déclenche… Et reste à ce niveau alors que je continue mes massages du gland, jouissant en gémissant pendant plusieurs dizaines de secondes de cet orgasme mélangé. Au bout d’un moment quand même je sens l’éjaculation se profiler, je suspens un peu la stimulation, pour mieux la reprendre plus tard.
Fatigué, je rends les armes à près de 2h du matin en laissant s’écouler le flot de semence qui attendait son heure avec impatience.24 avril 2020 à 17 h 54 min #37229Andraneros
ModérateurTu commences par la description de ton nouveau rythme de vie @arousal (pas si nouveau que ça désormais !) :
Après une phase un peu creuse, le plaisir prostatique reprend ses droits, des séances particulièrement gratifiantes ces derniers jours.
Sais-tu sur quelle planète ou étoile sont réglées tes marées prostatiques ? Puis tu passes aux choses sérieuses :
ces derniers temps, je fais rentrer mon pénis dans le jeu. (… ) m’occuper de mon sexe pouvait relancer la séance au niveau prostatique.
Et lors de mes dernières séances j’ai en quelque sorte fusionné les deux univers.Tu suis le chemin pratiqué, chacun à sa manière, par @aneveil, @epicture, @bzo, et tant d’autres (qu’ils me pardonnent de ne pas être allé rechercher les liens vers leurs témoignages).
De mon point de vue c’est un signe de maturité prostatique que de parvenir à fusionner ou à additionner les deux univers. Car maintenant il n’est plus du tout question de compenser ni même de compléter un plaisir prostatique sympathique mais ressenti comme insuffisant pour en être satisfait comme tu le faisais de temps en temps il y a quelques mois. Il est question d’atteindre un niveau supérieur de plaisir en combinant toutes les ressources que notre corps met à notre disposition. Tu es en train de passer du statut de soliste qui joue merveilleusement sa partition à celle de chef d’orchestre qui fait jouer merveilleusement leur partition à tous ses musiciens en même temps.
Tu entres dans une nouvelle étape de ton développement orgasmique, de la transformation de ta sexualité.
Attention tu vas surprendre ta femme quand sous l’effet des stimulations qu’elle va appliquer à ton pénis tu vas répondre par des cascades d’orgasmes prostatiques et qu’elle sera obligée de te supplier pour te voir éjaculer ou te sentir éjaculer en elle. As-tu pensé à la préparer à ces nouvelles expériences ?
Comme le dirait @bzo tu viens d’ouvrir un nouveau champ d’exploration orgasmique. Selon ce que j’en perçois à travers mon expérience il est immense. Tes compétences orgasmiques mettent maintenant à ta disposition deux sources qui alimentent ton énergie sexuelle entre lesquelles tu peux alterner, ou que tu peux additionner ou que tu peux fusionner. Tu peux leur attribuer une dominante particulière comme masculine ou féminine, ou les vivre comme le commencement de l’éveil progressif de toutes les sources d’énergie qui dorment depuis des générations en nous éteintes par notre culture occidentale. A suivre avec la plus grande excitation !
Bon cheminement @arousal.
24 avril 2020 à 18 h 56 min #37230Arousal
ParticipantMerci @Andraneros ! Oui j’ai l’impression de me réconcilier avec mon pénis 🙂 Nous n’étions pas en froid mais enfin j’avais tendance à le négliger. C’est quand même merveilleux d’avoir deux sources de plaisir aussi intenses et qu’ils puissent finir par se combiner !
Ahah nous verrons si ma femme remarque quelque chose 🙂 (Comme j’ai déjà dû le mentionner par le passé nos rapports ne sont plus aussi fréquents que par le passé)
J’ai déjà ressenti quelque chose d’approchant ce que j’ai décrit dans ma publication de ce matin lors d’un rapport sexuel (je pense là encore l’avoir rapporté quelque part ici), il y a quelques mois : un acmé de plaisir inhabituellement long avant l’éjaculation, m’amenant à des vocalises qui ont surpris mon épouse 🙂 C’est comme si j’avais réussi à pirater le fameux point de non-retour, le franchir sans payer le prix d’une éjaculation immédiate qui siffle la fin de la partie.
Tout cela est très gratifiant. Le plaisir prostatique est une bénédiction pour la libido, j’ai maintenant du plaisir à me sentir excité sexuellement, et à le rester. Non pas que ça me gênait avant mais d’une certaine façon cette excitation « exigeait d’être soulagée ». Un orgasme et c’en était fini pour quelques heures ou jours. Maintenant, pas forcément, je peux jouer avec cette libido élevée pendant des jours…24 avril 2020 à 20 h 02 min #37231bzo
ParticipantEt lors de mes dernières séances j’ai en quelque sorte fusionné les deux univers
….
Et progressivement, de plus en plus de plaisir, que je ressens comme prostatique mais ressenti au niveau pénien.intéressant, je vois ce que tu accomplis là comme l’exact symétrique en mode yang
de ce que j’effectue en mode yinà savoir la combinaison des ondes prostatiques et d’ondes des génitaux
mais en les éveillant foncièrement différemment,
toi, avec tes contacts de la main des organes sexuels, c’est yang
ainsi que la prostate sans doute titillée dans la manière du Traité,
moi, des contacts avec les génitaux uniquement avec les cuisses
et puis ma manière à moi de solliciter la prostate avec des contractions-pénétration,
tout cela est profondément yinmais l’important ici, c’est de vivre la fusion, le dialogue, des ondes prostatiques et des ondes des génitaux,
c’est vraiment tellement puissant, tellement riche,
comme tu as pu le constater19 avril 2021 à 18 h 01 min #40973Arousal
ParticipantUn petit coucou presque un an après : peu de changements.
Des séances prostatiques globalement moins gratifiantes ces derniers mois je dirais, probablement parce que je travaille pas mal, mais toujours fort agréables.
Le Progasm étant trop gros pour moi, j’ai acheté un Progasm Junior. Pas super concluant, j’en reste à l’Eupho qui reste mon favori.19 avril 2021 à 18 h 12 min #40975Andraneros
ModérateurBon retour parmi nous @arousal !
Tu illustres ce que je viens d’écrire sur le fil de discussion de @nousta.L’année dernière tu nous disais :
Et lors de mes dernières séances j’ai en quelque sorte fusionné les deux univers.
Comment a évolué cette nouvelle expérience que tu nous décrivais ?
19 avril 2021 à 18 h 35 min #40976Arousal
Participantmerci @Andraneros !
Là aussi mon message de l’an dernier reste d’actualité, j’ai en quelque sorte redécouvert mon pénis. Il parvient à me donner des niveaux de plaisir élevés, qui durent, en maintenant la stimulation, sans éjaculer. On doit pouvoir appeler ça de l’edging mais dans edging il y a pour moi la notion d’être tout au bord de l’éjaculation, et là pas du tout.19 avril 2021 à 23 h 01 min #40978bzo
Participantj’ai en quelque sorte redécouvert mon pénis. Il parvient à me donner des niveaux de plaisir élevés, qui durent, en maintenant la stimulation, sans éjaculer. On doit pouvoir appeler ça de l’edging mais dans edging il y a pour moi la notion d’être tout au bord de l’éjaculation, et là pas du tout.
h hé cela fait plaisir de lire que d’autres aussi découvrent les ressources cachés de leurs bijoux de famille,
eh oui, point n’est besoin même d’aller jusqu’au bord de l’éjaculation,
même le sexe peut rester complètement flasque
mais des tas de vagues délicieuses de volupté peuvent s’en échapperqu’utilises-tu comme technique?
personnellement, mon “secret”, c’est que je n’utilise que les cuisses,
en maintenant mon sexe et mes couilles entre elles, je fais aussi monter des contractions,
ainsi j’obtiens de délicieux mélanges d’ondes prostatiques et génitales,
je peux varier les proportions, selon mon envie du momentles contractions font bouger tout le petit paquet en même temps,
occasionnant des frottements et des pressions diverses dessus,
on peut faire varier tout cela à l’infini et obtenir des nuances sans cesse changeantes de volupté20 avril 2021 à 23 h 01 min #41000Arousal
Participantqu’utilises-tu comme technique?
Oh, rien de foufou, des caresses bien placées 🙂 En particulier la couronne du gland et la peau juste en-dessous, correspondant à l’intérieur du prépuce, à l’aide de doigts lubrifiés.
Mais aussi des massages de la face inférieure du pénis, et des corps caverneux. 🙂
Par le passé j’aurais eu le choix entre devoir interrompre la stimulation (et donc le plaisir) de plus en plus fréquemment, ou “tout lâcher”… maintenant, même après une semaine de contention, je peux faire durer le plaisir en continu, presque jusqu’à m’en lasser.
Vais-je résister à l’appel du sexe ce soir ? Probablement pas… - AuteurArticles
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