#37861
bzo
Participant

j’expérimente, j’expérimente,
je m’offre de bonnes doses de plaisir aussi, bien sûr, l’un n’empêche pas l’autre
mais surtout je teste pour l’instant, le département RD est en pleine effervescence,
avec beaucoup plus de prostate dans l’action, j’essaie de voir où cela peut me mener,
plus statique, dans l’ensemble, comme je l’ai déjà signalé
plus de moments d’immobilité ou de quasi-immobilité,
entrecoupés malgré tout de moments où je me remets brièvement en mode liane lascive,
avec les cuisses frottant, le bassin dansant

les mains caressant, allant et venant, ont leurs moments aussi,
elles ont droit aussi à quelques petits solos à gauche et à droite
mais tout seules, sans rien d’autre, j’aime à les isoler ainsi pour l’instant,
ainsi, je sens particulièrement ma peau s’enflammer sous les doigts,
je sens particulièrement mes seins comme enfler sous l’excitation,
se charger de vibrations comme des peaux de tambour tendues,
qu’on frotte, qu’on presse, qu’on caresse

mais pour l’instant, c’est avant tout le show de la prostate,
je veux voir ce qu’il y a moyen de faire avec tout ce nouveau potentiel,
puis-je intégrer des orgasmes prostatiques à ma pratique en mode yin?
il semblerait que c’est possible, j’ai déjà goûté à quelques moments orgasmiques,
même si ce n’était pas encore d’une puissance tellurique, qui font décoller souverainement

j’aime particulièrement cette alternance de périodes brèves
où ce sont les ondes génitales qui coulent à flot dans mon corps
et d’autres où ce sont les prostatiques,
c’est tout à fait délicieux, très excitant,
j’étudie particulièrement les interactions entre ces deux types d’ondes
dans ce nouveau contexte où les ondes prostatiques prédominent,
j’ai pu constater que les ondes prostatiques et les ondes génitales
semblent ne pas avoir la même vitesse de déplacement en moi,
les premières semblent plus lourdes, plus lentes, plus puissantes, plus compactes,
d’où d’ailleurs cette irrésistible sensation de pénétration qu’elles génèrent constamment en moi,
les secondes plus légères, plus vives, plus fines, avec plus de nuances,
tendant à se diffuser, à se disperser sur de plus vastes zones, plus rapidement

en jouant des deux types d’ondes, on obtient de très intéressants effets propres à chacune
mais aussi de fusion, en jouant sur les proportions, les intensités, de chaque sorte,
elles semblent s’amalgamer de façons tellement différentes suivant les moments,
offrant une palette tellement vaste de nuances, de coloration des sensations

mais je n’en suis qu’au début de mes découvertes,
je vais voir dans les jours à venir,
ce que ces ondes prostatiques ainsi, peuvent m’apporter