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bzo, le il y a 3 années et 1 mois.
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- 24 mai 2020 à 12 h 24 min #37441
bzo
Participantenfin, ce que j’écris juste au-dessus, sous-entend tout de même une condition essentielle,
accepter de se laisser entraîner en mode yin,
accepter le féminin en nous, de laisser monter celui-ci dans notre chaircela ne veut pas dire forcément, bouger comme une “folle”, bouger efféminé,
oui il peut y avoir des gestes, des mouvements, des postures
mais c’est avant tout une question d’attitude intérieure,
se laisser entraîner, s’offrir, s’ouvrir, céder, s’offrir sans réserve,
se laisser envahir par tout ce qui monte en nous,
se laisser imbiber, pénétrer, par tout ce qui monte en nouscomme c’est bon de s’ouvrir, de s’offrir, de se laisser envahir, pénétrer, sans réserves,
tout le plaisir quasiment est dans ce geste intérieur,
dans cette façon de totalement céder, tout relâcher et tout laisser imbiber
jusqu’à la moindre micro-parcelle de notre être28 mai 2020 à 23 h 35 min #37478bzo
Participantchaque geste, chaque mouvement, chaque partie du corps,
peut devenir tellement puissant momentanément, tellement porteur de plaisir,
il se charge d’énergie puis se décharge,
c’est durant cette seconde phase que nous percevons une sensationnotre action est donc en deux temps,
phase un: nous pompons de l’énergie dans certaines parties du corps,
dans la seconde: nous la convertissons en sensations,
dans chacune de ces phases, il y a tout un passionnant apprentissage sans fin,
tout un extraordinaire savoir à acquériron peut être ultra-précis
et ne pomper de l’énergie vraiment que dans une partie bien limitée du corps,
après la sensation va se diffuser de là et se répandre aux alentours,
comme on peut être plus englobant, plus général,
pomper en même temps de l’énergie dans plusieurs endroits différents du corps
ou bien encore, une nettement plus grande surface,
toutes les combinaisons possibles sont làc’est pour cela qu’il est intéressant
de faire intervenir plusieurs acteurs de notre plaisir en même temps ou en léger décalage,
les énergies vont être diffusés en différents endroits plus ou moins en même temps
et pourront se décharger aussi plus ou moins en même temps, à partir de ces différents emplacements,
les sensations en naissant ainsi, vont courir, se rejoindre,
former un réseau quasi instantanément,
un tissu plus ou moins dense, plus ou moins riche,
plus ou moins persistant, selon l’état de notre excitationc’est bien tout cela qui forme l’art de se donner du plaisir en mode yin
où tout le corps intervient, une fois qu’on a cela bien en main,
où tout le corps peut devenir acteur s’imprégnant de vibrations,
et les restituant sous forme de sensations aux possibilités infinies de nuances et d’intensitéla musique, l’instrument, le musicien, le public,
une seule personne, tout un monde,
un cercle parfait possible4 juin 2020 à 0 h 52 min #37547bzo
Participantje suis plus statique ce soir que d’habitude,
en fait je prends une pose, je mets mon corps dans une certaine position
puis je laisse le féminin de l’intérieur venir se coller partout en moi,
emplir ce moule que forme pour l’instant ma chairpuis je fais monter une contraction,
c’est là que les vibrations commencent à se diffuser,
depuis le bassin ils montent le long de la colonne vertébrale,
se répandant tout le long à gauche et à droite
mais montant aussi de plus en plus au fur et à mesure,
très vite atteignant la tête,
formant comme des feux d’artifice derrière mes yeux qui se referment,
mes paupières sont devenues lourdes, lourdes, plus aucune volonté ne leur dicte de rester ouvertesje maintiens la contraction, joue un peu avec, la relâche légèrement puis je presse à nouveau,
variant ainsi le débit du flux des énergies montant maintenant sans discontinuité,
comme un robinet qu’on referme un peu et puis qu’on rouvre,
les vibrations en ralentissant et en accélérant,
offrent toutes sortes de nouvelles nuances de sensations dans ma chair au passageje continue ainsi de longues secondes, le nectar désormais a totalement envahi mon être,
une sensation de plénitude, de félicité, constantes,
de plus en plus omniprésente,
ce n’est pas un orgasme, une sorte d’état de jouissance permanente
qui semble s’installer dans mon corps,
sans aucun heurt, sans aucun soubresaut, quelque chose d’incroyablement cristallin, de lumineux,
comme si un soleil intérieur dardait ses rayons de plus en plus intensément,
jusqu’à m’assimiler à lui, me fondre à lui,
je deviens l’astre luisant, consumant le flux d’énergie montant des abysses
et le rejetant aux alentours sous forme d’un ineffable nectar qui semble former l’univers entier désormaisc’est l’effet aquarium,
comme si j’étais plongé dans un aquarium où la densité semble arrêter le temps,
seul existe une sensation d’incandescence et d’unité7 juin 2020 à 17 h 32 min #37579bzo
Participantil y a une façon de se laisser embarquer par son désir,
au plus près, ne se laissant pas lâcher d’une semelle,
avec comme une sensation d’improvisation totale, de non-intervention de notre part,
cela devient rapidement ainsi comme une cour des miracles là-dedans,
il y a de tels effets de surprise,
de tels changements constants de nuances de sensationj’expérimente à nouveau cela depuis hier,
peut-être que désormais je suis prêt pour cela, pour vivre cela au long cours
la dernière que j’avais essayé, pas encore, je ne sais pas exactement pourquoi,
peut-être parce que je n’avais pas encore autant un accès libre à mes énergies,
que je n’étais pas encore capable d’en faire monter autant, aussi facilementle corps semble parler au corps ainsi, nous, ne servant vraiment plus que d’intermédiaire,
on n’est plus guidé par la quête de la sensation directement,
on privilégie avant tout la perception du flux du désir dans la conduite de l’action,
faisant confiance à celui-ci pour éveiller toutes sortes de délicescela n’a l’air de rien mais c’est un changement complet de paradigme,
je ne parle donc pas d’une improvisation complète où l’on se laisse aller à bouger n’importe comment,
le désir, plus que jamais, guide l’action,
on est à l’écoute, connecté au corps mais on ne recherche même plus les sensations,
on laisse juste tout venir, on se laisse aveuglément guider par le désir,
effet chapeau de prestidigitateur garanti,
de plus en plus de bestioles de toutes sortes, en sortant, se répandant dans ma chair7 juin 2020 à 21 h 59 min #37580bzo
Participantc’est avec ce que je décris juste au-dessus, que je vais pouvoir passer au niveau suivant,
je parviens déjà à faire des choses dont jusqu’ici je n’étais pas capable,
juste avec tout mon corps, sans les génitaux, sans la prostate,
obtenir des sensations tout aussi puissantes et riches,
qu’avec ces véhicules privilégiés d’ondes sexuellesj’écrivais, il y a quelque temps, que mes deux moteurs essentiels, étaient dans mon bassin,
la prostate et les organes sexuels,
que leurs ondes amalgamées était ma source principale de plaisir
mais désormais tout mon corps semble prêt à générer tout aussi puissamment,
cela devient de plus en plus intéressant cette histoire9 juin 2020 à 0 h 50 min #37584bzo
Participantl’important pour moi pour l’instant,
c’est d’essayer de libérer encore plus le désir,
sur des voies toujours nouvelles, en constante évolution en tout cas,
il m’a semblé percevoir que pour cela,
il ne faut pas rechercher les sensations de plaisir directement
mais par la bande, en quelque sorte, comme au billard,
en étant toujours à la chasse de la sensation comme obnubilé,
on pourrait se restreindre ainsi comme si l’on portait des oeillères quelque partle désir est en moi comme un élan, c’est un torrent puissant mais extraordinairement fragile,
je le perçois réellement physiquement en moi,
j’essaie de continuer de maintenir son cours durant l’action coûte que coûte,
cela exige une quasi spontanéité totale,
quitte à laisser les sensations diminuer par moments
en effectuant des gestes et des mouvements éloignés des zones habituellement “travaillées”,
mais ainsi j’ai déjà réussi à obtenir des résultats étonnants,
tout le corps par moments, générant des sensations aussi puissantes, aussi riches, aussi variées
que la prostate ou les organes génitaux,
des sensations étonnantes comme j’en ai jamais eues jusqu’ici,
des nuances tout à fait nouvelles, continuellement changeantes,
tellement “exotiques”, générées tellement puissamment
par des zones qui habituellement contribuent plus “modestement”
bref c’est très encourageant,
je continue d’expérimenter, je vais voir ce que cela donne,
où cela me mène9 juin 2020 à 1 h 57 min #37585bzo
Participantlibérer donc encore plus le désir en moi,
il semble, passe par l’accentuation drastique de sa spontanéité dans ma chair,
avec ce que je décris au-dessus, ne plus rechercher les sensations directement,
suivre juste cet élan en moi que je qualifie d’élan du désir,
qui semble tout proche constamment d’une spontanéité totale du geste et du mouvement,
comme coulant au flanc d’une montagnej’accepte les moments creux qui viennent régulièrement, cela semble tellement réaliste,
encore tellement plus réel ainsi,
et puis je sens tellement qu’ils préparent quelque chose d’inattendu,
de tellement inattendu,
je suis de plus en plus totalement dans l’inattendu
grâce à ce travail sur la spontanéité du désirje sens aussi beaucoup plus la puissance dans les profondeurs, au travail,
une puissance à la fois tellement somptueuse et tellement calme au travail dans mes profondeurs,
générant toute cette danse joyeuse et changeante à fleur de ma chair,
de ma chair de plus en plus en fleurmon âme chante aussi, je le sens, dans tout ce délire sexuel,
mon âme a une voix de sirène,
de sirène qui l’amour avec les vagues, avec les cieux10 juin 2020 à 1 h 49 min #37591bzo
Participantcomme c’est bon juste de se sentir bouger, empli de désir,
ne plus rien vouloir, ne plus rien chercher,
faire totalement confiance à ce corps,
se laisser totalement aller, se laisser totalement déconnecté,
juste sentir, sentir ce corps,
juste sentir ce corps tranquillement s’apprêter à s’aimer,
juste sentir le désir s’enflammer de plus en pluscomme un fleuve ardent de vie, comme un fleuve frissonnant de vie,
dans mes membres, dans mon bassin, partout,
comme si la sève-même des arbres, comme si la lumière-même du ciel,
coulaient en moiil va arriver massivement, rythmiquement, le plaisir charnel,
mais comme j’aime désormais aussi ces calmes entre deux tempêtes que le désir me réserve,
comme un massif fleuve de vie dans mes entrailles
qui reprend son élan,
comme un grand calme souriant dans mes veines,
entre deux éclats de rire dans ma chairjuste improviser et se laisser surprendre,
juste improviser et se laisser surprendre désormais10 juin 2020 à 23 h 20 min #37611bzo
Participantje suis tellement habitué dans le bassin
à avoir cette fusion d’ondes prostatiques et d’ondes génitales
que dès que l’une des deux composantes n’est plus là pour plus de quelques secondes,
je sens un vide, comme si l’un des deux carburants nécessaires à mon moteur pour tourner, manquaitje l’accepte pour l’instant, je ne cherche à changer cela
aneroless, j’ai de 60 à 70% d’ondes génitales et de 30 à 40% de prostatiques, selon les moments,
alors qu’avec masseur, c’est l’inverse,
60 à 70% d’ondes prostatiques et 30 à 40% de génitalesça n’a l’air de rien mais ça fait un monde de différence au niveau des sensations
et puis je ne bouge pas du tout de la même façon du fait du masseur,
aneroless, mon bassin danse la plupart du temps,
alors qu’avec le masseur enfoncé, ce n’est pas le cas, il bouge beaucoup moins forcémentau niveau des orgasmes aussi, c’est différent,
aneroless, il y en a beaucoup moins,
c’est plutôt une volupté qui s’intensifie au point que cela devient de la jouissance en continu,
avec cependant tous les trois, quatre jours l’éjaculation qui arrive,
accompagnée d’un orgasme qui dure longtemps, une minute en moyenne
et qui a l’intensité à chaque fois d’un super O
mais j’ai encore du mal avec à me lâcher complètement, tellement cette intensité est surprenante
même pour un vieux routier de l’orgasme en solitaire comme moiavec le masseur, les orgasmes prostatiques devraient revenir,
j’en ai déjà eu quelques uns, légers
mais je dois me réhabituer au masseur, je n’ai plus pratiqué sérieusement avec depuis longtemps
et puis avec qu’une séance en moyenne toutes les deux semaines,
ce n’est pas assez pour l’instant,
même si j’éprouve déjà un plaisir tellement intense, merveilleusement intense en faitje vais me forcer à faire au moins une ou deux séances par semaine
et puis aussi des séances un peu plus longues,
aneroless , je suis habitué à des séances de un quart d’heure à une demie heure,
rarement plus en une fois,
avec masseur, il faudrait des séances d’au moins une demie heure
pour bien prendre son envol et avoir des orgasmes prostatiques en mode yin12 juin 2020 à 8 h 31 min #37644bzo
Participantje raconte vraiment n’importe quoi par moment, tout le temps peut-être même,
une seule chose est sûre, j’arrive à avoir beaucoup beaucoup de plaisirpour le reste, je brode, je m’inspire de quelques théories entrevues à gauche et à droite
et puis je cherche à restituer, ce que je crois être, le plus fidèlement possible,
ce que je ressens, ce que je perçois, ce que je vis durant l’actioncar je suis en action, ça aussi c’est une chose qui est sûre,
il y a beaucoup d’action en moi,
je déplace des montagnes quelque part en fait, je chamboule tout,
je suis tombé sur cela, cela semble être une sorte de loi intime au plus profond de mes entrailles,
qu’au plus je chamboule tout d’une certaine façon, au plus j’éprouve du plaisir,
un plaisir inconnu, enfin qui semble inconnu
par rapport à ce qui était programmé initialement dans ma chaircela me va, j’ai l’âme d’un explorateur, d’un expérimentateur,
j’adore cela, m’enfoncer dans l’inconnu, passer des frontières, briser des tabous,
j’ai découvert cela,
j’étais quelqu’un de bien sage, enfin pas tout à fait tout de même,
juste que j’ai transporté ma folie, la folie inhérente qui m’a accompagné toute ma vie,
aussi sur le plan sexuel,
je ne savais pas qu’on pouvait faire cela
car me fouetter, pas mon truc, toutes sortes d’accessoires , de fantasmes, pas non plus,
par contre juste moi et ma chair, en duo, à la limite un masseur,
se déstabiliser, se mettre en roue libre et provoquer toutes sortes de réactions,
de réactions nouvelles,
ça c’est mon trucalors j’emprunte des tas de chemins, certains sont des cul de sac,
d’autres vraiment n’importe quoi,
d’autres sont splendides, des voies royales
et cela se reflète dans ce que j’écris ici,
parce que j’essaie de restituer tous mes délires érotico-mystico-tout-ce-que-vous-voulez
sans rien retenir13 juin 2020 à 11 h 59 min #37653bzo
Participantje dois me méfier de mes “découvertes”
une fois que je suis resté au moins un bon quart d’heure en action
car après un tel laps de temps le niveau d’excitation en moi est devenu tel
que je peux faire à peu près n’importe quoi,
je continue à générer des tombereaux de sensationsfaire le poirier sur une main et me caressant avec l’autre,
effectuant des contractions, frottant mes testicules, mon sexe, avec mes cuisses
et ainsi jouissant et encore jouissant
en admettant que je sois capable de ce genre de prouesse physique,
cela ferait un beau numéro de cirque sexuel,
enfin tout cela pour dire, qu’une fois que je suis lancé au moins un quart d’heure,
je devrais me méfier de mes “découvertes”ainsi ce que je relatais au-dessus, concernant la spontanéité du désir,
changement de paradigme , suivre l’élan et non pas les sensations directement,
c’est un peu n’importe quoi, il: faut l’avouer,
cependant j’ai exploré la piste pendant quelques jours
mais elle ne m’a pas mené beaucoup plus loincependant cela n’a pas été de la pure perte de temps,
cet élan dans une quasi spontanéité, je le sens vraiment
mais le suivre systématiquement, n’est pas une voie intéressante,
laisser l’action se construire toute seule,
c’est un mélange de cet élan et d’une façon aussi d’imaginer l’action,
pas la penser, j’insiste là-dessus,
le moi pensant doit être couché dans son coin autant que possible
mais il y a une autre part de notre cerveau, l’imagination,
qui a beaucoup d’importance chez moi durant l’action,
elle semble descendre dans tout mon corps, se dissoudre dedans
et en association étroite avec le corps par moments,
chorégraphier les gestes, les mouvements en train de se faireil y a donc des moments d’élan pure, où cela semble être en roue libre totale,
sans autre pilote que le désir dans ma chair
et puis d’autres moments où l’imagination mais étroitement associé, amalgamé, au corps,
semble chorégraphier dans l’instant les gestes, les mouvements en train de se les faire,
c’est un mécanisme très fluide
où la tête semble emplie uniquement de sensations
et les pensées, le moi pensant, totalement éteints momentanément17 juin 2020 à 1 h 40 min #37758bzo
Participantvivre son corps en mode yin,
tout s’inverse,
la prostate qui avant, en mode yang, nous donnait accès aux ondes féminines,
découplait notre plaisir d’homme ainsi,
nous approvisionne à présent en sensations de pénétration,
allume le feu dans nos entrailles comme si un pénis y allait et y venaitnos génitaux, leurs contacts divers et variés, leurs frottements, en mode yang,
éveillent en nous un plaisir mâle,
fait se gorger de sang l’attribut viril, le fait se dresser irrésistiblement
désormais en mode yin,
ils nous abreuvent d’une volupté ineffable, douce, chaude, soyeuse à volonté,
des vagues de langueur que l’on peut qualifier de féminine, sans une hésitationà noter cependant, à condition de respecter une règle de base, une règle fondamentale,
en mode yin, les contacts de nos génitaux se font toujours avec les cuisses,
celles-ci sont leurs interlocutrices uniques,
alors qu’en mode yang, ce sont les mains qui vont chipoter le pénis et les boules17 juin 2020 à 10 h 15 min #37760bzo
Participanthé hé, votre serviteur ne se repose jamais,
sa vie sexuelle est comme une belle plante verte en pleine floraison,
se déployant à la lumière, se gavant de soleil,
s’épanouissant dans ma chairje parviens désormais à injecter dans ma pratique aneroless en mode yin
beaucoup plus, beaucoup beaucoup plus, de prostate,
j’avais écrit déjà plusieurs fois que les proportions jusqu’ici,
étaient nettement en faveur des génitaux
mais désormais, la balance penche du côté de la prostate,
j’ai isolé des contractions puissantes, riches, faciles à effectuer en pleine action,
générant ponctuellement des doses massives de vibrations
qui enrichissent la sensation de pénétration de manière spectaculairequel délice, assis dans mon siège, cuisses serrées, bougeant peu,
je parviens à faire de ces choses, de ces choses…
ah mes amis, rien que de les évoquer, je sens ma chair prête à s’enflammer, affamée d’ivresse,
oh comme j’ai envie, comme j’ai envie,
envie de sentir en moi la chaleur dense, ondulante, frémissante, circuler,
envie de sentir en moi le nectar qui se répand comme un poulpe de soie,
envie de sentir ma chair s’enflammer encore et encore, de sentir les cieux se rapprocher,
comme c’est bon d’avoir ce corps tellement complice
cette source d’énergie qui semble intarissable, au fond de moi17 juin 2020 à 10 h 38 min #37761bzo
Participantréinjecter ainsi massivement de la prostate en moi durant l’action,
a des effets immédiats merveilleux,
elle n’était plus assez présente dans ma pratique aneroless, je me rends compte,
c’est sa toute puissance lumineuse que je perçois désormais à nouveau dans ma chairtoute la capacité des ondes prostatiques à provoquer tellement facilement des orgasmes,
à les enchaîner joyeusement dans une farandole interminable sur les crêtes de la jouissance
que je sens à présent, ressuscitée en moifull speed ahead, oh mon corps, mon cher complice adoré,
mon bac à sable aux cent mille sortilèges,
ma boîte à trésors sans cesse se divulguant sous un nouveau jour17 juin 2020 à 18 h 25 min #37774bzo
Participantj’aimerai pouvoir décrire plus précisément ces contractions,
la façon dont je les applique, en restant bien au niveau anatomique, physiologique
mais ça n’a jamais été mon fort, ce genre de description cliniqueelle commence à partir de l’anus, puis est effectuée essentiellement avec le périnée,
muscles duquel chez moi, sont devenus tellement puissants
que je peux appuyer avec, aussi fort et aussi longtemps que j’en ressens le besoin,
par moments je presse vraiment très très fort, à d’autres je recherche des effets plus délicats
mais ce qui confère toute son originalité à cette façon que j’ai de contracter
et qui libère tellement d’ondes de la prostate dans mon bassin,
c’est que je m’appuie sur mes cuisses serrées pour obtenir encore plus de puissance,
ils servent de point d’appui à la contraction , en quelque sorte
et aussi ainsi, toujours en m’appuyant sur les muscles des cuisses mis légèrement sous tension,
je peux trouver des angles inédits à la contraction, la faire très graduelle, très progressive,
mieux la diriger, mieux la contrôler et la faire varieril y a quelques semaines, après une éjaculation accidentelle
qui m’avait tellement catastrophée sur le moment,
j’ai compris que l’éjaculation n’était vraiment pas un problème en mode yin,
qu’il suffisait de laisser le corps la gérer
et qu’il n’y avait qu’à la laisser venir, l’accueillir et la déguster,
qu’elle était une extraordinaire tempête, à chaque fois, d’à peu près une minute,
égale en puissance aux super O prostatiques,
une fois que j’avais bien compris et assimilé cela,
j’ai pu libérer totalement les ondes génitales,
y aller sans rien retenir, sans aucune appréhensionavec ces contractions que j’ai essayé de décrire,
qui me permettent d’injecter massivement des ondes de la prostate dans le courant de l’action,
c’est ma prostate aussi, j’ai l’impression
que je parviens désormais à faire participer sans retenue dans ma pratique anerolesscela va déménager, rock and roll, baby, yeeeaaaahhhhh
20 juin 2020 à 10 h 42 min #37800bzo
Participantpeu à peu dans votre progression, il y a un moment
où le niveau de plaisir atteint, est un fait acquis, vous êtes à l’abri des fluctuations,
vous n’avez plus trop de hauts et de bas, vous êtes devenus consistant,
certes, certains jours, cela peut aller mieux que d’autres
mais ce ne sont plus les montagnes russes,
le sort de votre plaisir ne semble plus dépendre de la chance, du hasard,
quelque chose s’est installé en vous, s’est fait son nid en vous,
vous accompagnela fête désormais, est assurée en vous, vous êtes récompensé de tous vos efforts,
votre chair se livre à vous, vous êtes devenus complices,
tout ce qui demandait tellement d’efforts, semble devenir de plus en plus un jeu d’enfant,
votre plus grand danger à présent
car il y a toujours un plus grand danger,
comme il y a toujours un plus grand sommet,
c’est le risque d’être trop content de soi et de glisser peu peu dans une routineil n’y a pas de plaisir aussi riche, aussi intense, soit-il
qui résiste au train-train d’une routine jour après jour,
il faut toujours rester émerveillé, curieux, prêt constamment à explorer de nouvelles voies,
votre plaisir est là, il vous est acquis, il ne bougera plus,
il ne s’envolera plus du nid à cette condition
que vous soyez sans cesse prêt à y apporter de nouvelles brindilles,
pour en changer la forme, la géographie intérieureexplorer, c’est emprunter toutes sortes de voies,
de voies de garage, de voies qui ne mènent nulle part, essentiellement,
on procède par élimination, par tâtonnements
car on est aveugle là-dedans, il n’y a aucun mode d’emploi qui a été livré aveccomme c’est bon d’être de plus en plus sur le banc d’écolier
tout en ayant dans son bassin, tout un kaléidoscope de sensations qui illumine sa chair,
auquel on peut faire appel à volonté,
qui s’enrichit jour après jour, est de plus en plus puissantfinalement on se rend compte qu’il n’y a pas grand chose à savoir,
on en sait de moins en moins en fait au fur et à mesure qu’on avance,
on se met plutôt de mieux en mieux à nu,
on parvient de plus en plus à libérer des forces qui sont en nous
et à laisser faire le corps ce qu’il veut,
pas grand chose à savoir là-dedans, juste savoir être là-dedans,
juste savoir être là-dedans et laisser tout se dérégler joyeusement21 juin 2020 à 1 h 13 min #37810bzo
Participantce soir et cette nuit,
depuis deux, trois jours en fait,
je me suis concentré sur la circulation des énergiespour se faire, j’ai arrêté les bras, les mains, ils ne se déplacent plus,
ainsi je peux plus me concentrer sur les vibrations qui sillonnent mon corps,
comme un troupeau d’animaux indisciplinés, je les sens en moi dans toutes les directions,
ainsi je suis plus à même de les diriger un peu,
de les sentir resserrer leurs rangs, plus bougeant de concertles mains, tantôt juste posés en arrière de ma tête, en position de total abandon,
comme m’offrant langoureusement, comme me laissant aller au maximum,
qu’il fait bon de s’abandonner ainsi, de céder de toutes parts ainsi,
c’est comme de glisser dans de la ouate, de rouler lentement dedans,
comme la pente est douce, chaude, ce sont toutes mes cellules qui sont caressées au passage,
quel frottement divin de tout mon être, comme je roule, comme je roule langoureusement,
je me transforme en poulpe s’enroulant, se déroulant,
cela glisse, cela frotte, de tous les côtés, des arabesques, des sinuosités, des courbes,
de la langueur, de la lascivité, un océan de langueur, de lascivité,
dans lequel je suis plongé, dans lequel je roule, j’ondule,
je monte, je descends, tournoyant lentementde temps à autre, je bouge les bras, même me caresse avec passion quelques instants
mais presque directement ils s’immobilisent, souvent une main enveloppant un sein,
j’aime sentir un des globes de chair sous mes doigts, avec la pointe qui frotte légèrement
au fur et à mesure de la danse de mes hanches,
il semble grossir sous mes doigts, devenir de plus en plus rond, proéminent,les énergies circulent merveilleusement ce soir, je n’arrête pas de jouir,
c’est vraiment comme du cristal liquide par moments,
on se sent lumineux de l’intérieur, vibrant de tout son être,
entrer en communion avec le noyau de la terre22 juin 2020 à 9 h 12 min #37840bzo
Participantj’ai déjà évoqué plusieurs fois mon désir de retrouver du plaisir prostatique pur,
j’ai un peu de nostalgie à chaque fois que je lis
quelqu’un décrire ses chapelets d’orgasmes,
éventuellement un super O,
cela éveille des souvenirs en moi dans ma chairmais le fait est que je ne trouve pas la patience en moi pour l’instant,
mon plaisir a tellement changé de nature,
avec ce que j’appelle le mode yin,
c’est tellement fondamentalement différent,
j’ai eu l’intuition à un moment donné qu’il pouvait devenir ainsi
et après cela a été mon unique objectif qu’il devienne comme cela,
un plaisir que je qualifierai de “naturel”,
par là j’entends que vous vous touchez à un endroit et celui-ci immédiatement réagit, vous renvoie une réponse
et au plus vous y allez, au plus le corps en cet endroit spécifique va réagirun plaisir pouvant être perçu dans tout le corps,
chaque parcelle de celui-ci participant, autant en tant que générateur de vibrations,
qu’en tant que récepteuralors qu’avec le plaisir prostatique, c’est différent,
il faut attendre, commencer à titiller et attendre,
il n’y a pas cette immédiateté des sensations,
cette intensification , cette montée en puissance tout à fait synchronisée aux efforts déployés,
donc dès que je m’y mets en pur prostatique,
j’ai une sensation de vide dans le bassin, dans tout le corps en fait,
dont je ne parviens pas à dépasser la frustration,
presque automatiquement mon corps se remet en mode yin
où tout se remet à couler de partout, s’en va couler partoutl’intensité des orgasmes est là aussi, je le sens, très rapidement en fait dans ma pratique en mode yin
mais pas les explosions soudaines des orgasmes,
c’est totalement différent,
j’ai en fait très peu d’orgasmes, par contre je jouis à peu près tout le temps en mode yin
et puis les vagues de volupté m’emportent tellement loin, tellement puissamment,
bon mais malgré tout,
comme je l’ai écrit au début, j’ai envie de revivre ces chapelets d’explosions de temps à autre,
quelque chose de différent, quoi,
c’est cela, j’aimerai remettre cette corde du pur prostatique à mon arcau moins et cela m’a fait bien progressé,
je parviens désormais à injecter autant de prostatique que je veux, en mode yin,
cela a tout de suite donné encore plus de relief
et j’ai déjà plusieurs approché ce qui peut être considérer comme un orgasme prostatique,
donc peut-être avec du temps, je vais parvenir à obtenir le meilleur des deux mondes,
fondre ces deux pratiques en uneau moins j’en ai déjà parfaitement conscience de ce qui ne va pas, c’est un premier pas,
on verra pour la suite,
je vais refaire des essais à l’occasion en pur prostatique23 juin 2020 à 9 h 09 min #37852bzo
Participantje suis très très excité,
je suis en train d’explorer ces nouvelles façons d’injecter des doses massives d’ondes prostatiques
et les résultats sont vraiment très encourageantsd’abord, c’est du prostatique, à 90 à 75% en moyenne, selon les moments,
le reste, d’ondes génitales, assure la propagation, la diffusion,
elles servent de super-conducteur, en quelque sorte,
elles semblent voyager beaucoup plus facilement
tout en procurant aussi une constante sensation de volupté, d’emplissement du bassinje suis donc beaucoup plus statiques la plupart du temps,
plus trop de liane lascive, par contre je passe d’une posture à une autre
avec des enchaînement très brefs
où je laisse mon corps totalement exprimer ses besoins de danserje parle de posture car la sensation du yin en moi, est plus forte que jamais
et je sens vraiment qu’il commande autant mes gestes et mes mouvements
que ces moments d’immobilité,
le yin s’installe dans le statique aussi,
c’est très très délicieux, puissant et nouveau pour moi,
de le percevoir aussi ainsi, immobile la plupart du tempsdonc, jouant avec les contractions uniquement une bonne partie du temps,
j’y mets de la variété, déploie tout un arsenal de contractions,
en maintenant une pression sur le périnée, juste en changeant l’intensité
et bougeant imperceptiblement, langoureusement, mon bassin, jouant sur la posture,
donc la dynamique générale,
je parviens à obtenir un flot constant d’ondes prostatiques se déversant en moi
j’ai la sensation de me remplir comme une baignoire,
c’est assez étonnant de se sentir ainsi de plus en plus emplij’ai la sensation par moments d’être une statue lascive en train de jouir,
en train de se remplir de vibrations par le bas,
c’est cristallin et cela frotte follement de tous les côtés,
un vrai maelstrom de tournoyantes micro-caresses à l’intérieurd’autres contractions intéressantes aussi où j’ai la sensation d’isoler totalement mon anus,
cela donne l’impression que l’anus palpite , palpite de plus en plus fort,
les vibrations sont générées à partir de là, se répandent de plus en plus,
la chaleur s’installe de plus en plus dense,
très très intéressantbon temps d’aller allumer l’autre ordinateur , au travail
23 juin 2020 à 23 h 45 min #37861bzo
Participantj’expérimente, j’expérimente,
je m’offre de bonnes doses de plaisir aussi, bien sûr, l’un n’empêche pas l’autre
mais surtout je teste pour l’instant, le département RD est en pleine effervescence,
avec beaucoup plus de prostate dans l’action, j’essaie de voir où cela peut me mener,
plus statique, dans l’ensemble, comme je l’ai déjà signalé
plus de moments d’immobilité ou de quasi-immobilité,
entrecoupés malgré tout de moments où je me remets brièvement en mode liane lascive,
avec les cuisses frottant, le bassin dansantles mains caressant, allant et venant, ont leurs moments aussi,
elles ont droit aussi à quelques petits solos à gauche et à droite
mais tout seules, sans rien d’autre, j’aime à les isoler ainsi pour l’instant,
ainsi, je sens particulièrement ma peau s’enflammer sous les doigts,
je sens particulièrement mes seins comme enfler sous l’excitation,
se charger de vibrations comme des peaux de tambour tendues,
qu’on frotte, qu’on presse, qu’on caressemais pour l’instant, c’est avant tout le show de la prostate,
je veux voir ce qu’il y a moyen de faire avec tout ce nouveau potentiel,
puis-je intégrer des orgasmes prostatiques à ma pratique en mode yin?
il semblerait que c’est possible, j’ai déjà goûté à quelques moments orgasmiques,
même si ce n’était pas encore d’une puissance tellurique, qui font décoller souverainementj’aime particulièrement cette alternance de périodes brèves
où ce sont les ondes génitales qui coulent à flot dans mon corps
et d’autres où ce sont les prostatiques,
c’est tout à fait délicieux, très excitant,
j’étudie particulièrement les interactions entre ces deux types d’ondes
dans ce nouveau contexte où les ondes prostatiques prédominent,
j’ai pu constater que les ondes prostatiques et les ondes génitales
semblent ne pas avoir la même vitesse de déplacement en moi,
les premières semblent plus lourdes, plus lentes, plus puissantes, plus compactes,
d’où d’ailleurs cette irrésistible sensation de pénétration qu’elles génèrent constamment en moi,
les secondes plus légères, plus vives, plus fines, avec plus de nuances,
tendant à se diffuser, à se disperser sur de plus vastes zones, plus rapidementen jouant des deux types d’ondes, on obtient de très intéressants effets propres à chacune
mais aussi de fusion, en jouant sur les proportions, les intensités, de chaque sorte,
elles semblent s’amalgamer de façons tellement différentes suivant les moments,
offrant une palette tellement vaste de nuances, de coloration des sensationsmais je n’en suis qu’au début de mes découvertes,
je vais voir dans les jours à venir,
ce que ces ondes prostatiques ainsi, peuvent m’apporter - AuteurArticles
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