#42304
bzo
Participant

je fais désormais à tout bout de champ, des contractions fortes, voire, très fortes
tout en gardant les cuisses bien serrées,
jusqu’ici j’avais plutôt tendance à dissocier les sollicitations appuyées de ma prostate
créer la sensation de pénétration, les sensations de va et vient
et les ondes génitales
mais là, j’ai découvert que c’est, en fait, ainsi, un mix absolument assez irrésistible

cela forme des sortes d’ogives d’ondes prostatiques à tête explosive
qui montent, qui montent, rien ne résiste sur leur passage,
tout fond le long de ma colonne vertébrale,
arrivées dans ma tête, elles explosent délicieusement,
les parois de ma boîte crânienne sont réduites à néant,
mes cellules grises partent dans tous les sens,
se disperse aux quatre coints de l’horizon, un instant
puis se regroupent à nouveau

dans ces ogives, les ondes prostatiques sont très majoritaires,
du fait de la puissance de la contraction,
cependant il y a tout de même, grâce à la pression des cuisses sur les génitaux,
un pourcentage non négligeable d’ondes génitales, aussi,
celles-ci sont parfaitement amalgamées, fusionnées, aux premières,
ainsi cette mixture a vraiment des caractéristiques très très intéressantes,
empruntées aux deux types d’ondes,
la puissance de la prostate, sa capacité à me faire décoller,
leur accélération verticale obstinée, leur potentiel orgasmique
et puis la richesse des nuances, la volupté soyeuse, des ondes génitales,
tout cela parfaitement combiné

autre avantage non négligeable,
j’ai pu constater à quel point, malgré la force de la pression et des frottements
sur mes bijoux de famille,
à aucun moment, cela ne se transforme en plaisir pénien,
grâce à la génération aussi, en parfaite synchronisation, des ondes prostatiques,
cela se traduit par un sexe, qui reste totalement au repos
malgré des contacts très appuyés dessus

toute la dynamique générale, s’en trouve modifiée
car ces ogives me font rester beaucoup plus immobile, pour pouvoir parfaitement les goûter,
déguster jusqu’à la dernière goutte, toutes les nuances relâchées durant leur montée
et puis savourer comme il faut, leur explosion dans ma tête,
plus que jamais je me sens comme une fusée s’arrachant de l’atmosphère,
je me retrouve, en un clin d’oeil, en apesanteur,
flottant, dérivant, quelque part, dans un espace lointain, très intime, à moi