#43666
bzo
Participant

les courbes de ton corps,

dansent devant mes yeux,

caressent inlassablement mes sens,

ton harmonie féline,

au moindre de tes mouvement, languides à souhait,

m’enflamme,  affole mon désir,

toujours plus

 

et puis il y a ton bassin,

ah ton bassin,

tes hanches larges et en même temps, tellement fines, mélodieuses

qui semblent te faire esquisser un pas de danse,

au moindre de tes mouvements

 

ton sexe, ton merveilleux sexe,

cette ouverture sur la terre la plus fertile qui soit, ici bas,

comme j’aime toute la faune et la flore

qui semblent s’en échapper, se ruer à l’air libre,

accourir vers moi de toute leur luxuriance lascive

 

tes baisers sont comme des roses humides au goût de caramel sucré

et puis ta langue qui bouge sans cesse, au grain tellement râpeux

comme j’aime la sentir parcourir ma peau, la lécher,

tu mordilles avec tes petites dents, coquine,

partout, partout,

de toute ta sauvage douceur

 

ton sexe sur ma bouche,

nos chairs dialoguent, s’entendent, se parlent,

se murmurent des secrets,

je prends tes globes blancs d’en bas, entre mes mains,

comme j’aime les écarter, les presser, les pincer, les fesser un peu,

passer deux, trois doigts soudainement dans ta raie,

les plonger bien profond, touiller, remuer, sans ménagement

entendre ta voix gémissante,

qui me supplie de te prendre, là maintenant,

que tu veux sentir ma pine dure,

entre tes muqueuses humides, aller et venir