les courbes de ton corps,
dansent devant mes yeux,
caressent inlassablement mes sens,
ton harmonie féline,
au moindre de tes mouvement, languides à souhait,
m’enflamme, affole mon désir,
toujours plus
et puis il y a ton bassin,
ah ton bassin,
tes hanches larges et en même temps, tellement fines, mélodieuses
qui semblent te faire esquisser un pas de danse,
au moindre de tes mouvements
ton sexe, ton merveilleux sexe,
cette ouverture sur la terre la plus fertile qui soit, ici bas,
comme j’aime toute la faune et la flore
qui semblent s’en échapper, se ruer à l’air libre,
accourir vers moi de toute leur luxuriance lascive
tes baisers sont comme des roses humides au goût de caramel sucré
et puis ta langue qui bouge sans cesse, au grain tellement râpeux
comme j’aime la sentir parcourir ma peau, la lécher,
tu mordilles avec tes petites dents, coquine,
partout, partout,
de toute ta sauvage douceur
ton sexe sur ma bouche,
nos chairs dialoguent, s’entendent, se parlent,
se murmurent des secrets,
je prends tes globes blancs d’en bas, entre mes mains,
comme j’aime les écarter, les presser, les pincer, les fesser un peu,
passer deux, trois doigts soudainement dans ta raie,
les plonger bien profond, touiller, remuer, sans ménagement
entendre ta voix gémissante,
qui me supplie de te prendre, là maintenant,
que tu veux sentir ma pine dure,
entre tes muqueuses humides, aller et venir