j’ai commandé le nexus G force pour essayer
je suppose que tu as eu cette idée en lisant ce que j’en écrivais,
il a été mon masseur d’élection, celui qui m’a tant de fois fait grimper au plafond
mais tu dois savoir qu’il est gros, encore bien plus massif que le Progasm,
il emplit, il empli splendidement, on se sent pénétré, frotté, trituré
et il masse, il cogne, il frotte, tout sur son passage, prostate, intérieur de l’anus,
cependant il est capable de mouvements très subtils et d’une finesse étonnante,
si on apprend à s’en servir
mais cependant, encore une fois, avec les problèmes que tu as,
j’ai peur que ce soit un choix risqué, très risqué
m’ouvrir suffisamment pour ressentir ce plaisir dont tu parles, je crois que j’en suis encore fort loin.
cela prend du temps, c’est très progressif, arriver à faire monter le féminin,
apprendre avec son corps à déchiffrer le féminin en soi,
à lui laisser les commandes de notre corps
car il ne s’agit pas juste de caricaturer, de “faire” la femme,
non, c’est réellement de vivre son plaisir au féminin
et de laisser s’exprimer notre corps au féminin
Juste une question : tu dis que tu as vécu des super O et que le plaisir prostatique est bien différent du plaisir aless mais tu ne veux plus du tout vivre de plaisir prostatique tellement le plaisir sans rien te plait mieux ? Ou est ce les contraintes de la préparation qui te bloquent ?
ce n’est pas le plaisir Aless en tant que tel qui est différent,
il reste un plaisir prostatique à 100% si tu t’y adonnes d’une certaine manière
c’st la façon de faire , qui fait la différence
qui fait que tu vas basculer vers un plaisir au féminin, en mode yin
ou pas et rester plutôt dans le champ d’un plaisir prostatique
dans un plaisir aneroless qui va aller vers des orgasmes prostatiques,
les hanches vont peu bouger alors qu’en mode yin, on les laisse aller, on les laisse bouger, s’exprimer,
elles peuvent commencer à chalouper, à danser,
les cuisses s’écartent, se resserrent
les mains aussi, vont et viennent sur tout le corps, sauf la zone des génitaux,
alors que lors d’un massage prostatique,
elles vont rester plutôt statiques, soit posées quelque part sur le corps,
soit alors en mouvement sur le bout des seins,, titillant les tétons, les frottant
massage prostatique, même aneroless, on essaie avant tout, de dialoguer avec sa prostate,
alors qu’avec le mode yin, c’est avec tout son corps qu’on essaie de dialoguer,
on essaie d’arriver à ce que tout le corps génère des ondes,
en bougeant, avec tous les mouvements, toutes les positions, tous les changements de position,
les caresses, n’importe où, partout,
les doigts peuvent aussi aller s’égarer dans l’anus,
les cuisses peuvent frotter les génitaux
mais en essayant d’équilibrer, avec des contractions qui sollicitent la prostate
amalgamer les ondes des génitaux et de la prostate,
pour avoir un flux puissant, formé des deux types d’ondes
qui vont permettre au féminin de prendre possession, de s’incarner ,
de nous faire vibrer de plus en plus
tellement le plaisir sans rien te plait mieux
à partir d’un certain stade de mon évolution,
j’ai commencé à être très sensible à la complicité, à la communion, avec mon corps
et cela s’exprime le mieux
quand il n’y a aucun mais strictement, aucun intermédiaire
à s’enfoncer quelque chose dans le séant, alors j’utilise mon doigt
et c’est tellement explosif et délicieux, en même temps,
j’ai l’impression de me masturber inlassablement,
je sens mes lèvres qui s’écartent, pour laisser le passage aux bouts de doigt curieux,
je fouille ma petite caverne, avec
je n’ai jamais ce genre de sensations, si j’y vais avec un bout de plastique ou de silicone
et sans doute, je ne les aurai pas si c’était le doigt de quelqu’un d’autre
car cette personne ne me fouillerai pas de la même façon,
mon doigt, il est empli de ma masculinité, de ma féminité, de mon instinct, de mon désir,
de mon rythme, de ma langueur, de ma lascivité
et il va frotter là où il faut frotter, au moment où il faut frotter, au rythme où il faut frotter
enfin, il y a sans doute moyen d’obtenir les mêmes résultats avec quelqu’un d’autre,
même sans doute bien mieux
mais alors il faudrait que ce soit une personne avec qui on a une complicité très spéciale
et qui nous connaisse bien, nous accepte au masculin, comme au féminin,
prenne son plaisir, sans doute, aussi au masculin comme au féminin, avec nous