#45757
bzo
Participant

j’ai commandé le nexus G force pour essayer

je suppose que tu as eu cette idée en lisant ce que j’en écrivais,

il a été mon masseur d’élection, celui qui m’a tant de fois fait grimper au plafond

mais tu dois savoir qu’il est gros, encore bien plus massif que le Progasm,

il emplit, il empli splendidement, on se sent pénétré, frotté, trituré

et il masse, il cogne, il frotte, tout sur son passage, prostate, intérieur de l’anus,

cependant il est capable de mouvements très subtils et d’une finesse étonnante,

si on apprend à s’en servir

 

mais cependant, encore une fois, avec les problèmes que tu as,

j’ai peur que ce soit un choix risqué, très risqué

 

 

m’ouvrir suffisamment pour ressentir ce plaisir dont tu parles, je crois que j’en suis encore fort loin.

cela prend du temps, c’est très progressif, arriver à faire monter le féminin,

apprendre avec son corps à déchiffrer le féminin en soi,

à lui laisser les commandes de notre corps

car il ne s’agit pas juste de caricaturer, de “faire” la femme,

non, c’est réellement de vivre son plaisir au féminin

et de laisser s’exprimer notre corps au féminin

 

Juste une question : tu dis que tu as vécu des super O et que le plaisir prostatique est bien différent du plaisir aless mais tu ne veux plus du tout vivre de plaisir prostatique tellement le plaisir sans rien te plait mieux ? Ou est ce les contraintes de la préparation qui te bloquent ?

ce n’est pas le plaisir Aless en tant que tel qui est différent,

il reste un plaisir prostatique à 100% si tu t’y adonnes d’une certaine manière

 

c’st la façon de faire , qui fait la différence

qui fait que tu vas basculer vers un plaisir au féminin, en mode yin

ou pas et rester plutôt dans le champ d’un plaisir prostatique

 

dans un plaisir aneroless qui va aller vers des orgasmes prostatiques,

les hanches vont peu bouger alors qu’en mode yin, on les laisse aller, on les laisse bouger, s’exprimer,

elles peuvent commencer à chalouper, à danser,

les cuisses s’écartent, se resserrent

 

les mains aussi, vont et viennent sur tout le corps, sauf la zone des génitaux,

alors que  lors d’un massage prostatique,

elles vont rester plutôt statiques, soit posées quelque part sur le corps,

soit alors en mouvement sur le bout des seins,, titillant les tétons, les frottant

 

massage prostatique, même aneroless, on essaie avant tout, de dialoguer avec sa prostate,

alors qu’avec le mode yin, c’est avec tout son corps qu’on essaie de dialoguer,

on essaie d’arriver à ce que tout le corps génère des ondes,

en bougeant, avec tous les mouvements, toutes les positions, tous les changements de position,

les caresses, n’importe où, partout,

les doigts peuvent aussi aller s’égarer dans l’anus,

les cuisses peuvent frotter les génitaux

mais en essayant d’équilibrer, avec des contractions qui sollicitent la prostate

amalgamer les ondes des génitaux et de la prostate,

pour avoir un flux puissant, formé des deux types d’ondes

qui vont permettre au féminin de prendre possession, de s’incarner ,

de nous faire vibrer de plus en plus

 

 tellement le plaisir sans rien te plait mieux

à partir d’un certain stade de mon évolution,

j’ai commencé à être très sensible à la complicité, à la communion, avec mon corps

et cela s’exprime le mieux

quand il n’y a aucun mais strictement, aucun intermédiaire

 

à s’enfoncer quelque chose dans le séant, alors j’utilise mon doigt

et c’est tellement explosif et délicieux, en même temps,

j’ai l’impression de me masturber inlassablement,

je sens mes lèvres qui s’écartent, pour laisser le passage aux bouts de doigt curieux,

je fouille ma petite caverne, avec

 

je n’ai jamais ce genre de sensations, si j’y vais avec  un bout de plastique ou de silicone

et sans doute, je ne les aurai pas si c’était le doigt de quelqu’un d’autre

car cette personne ne me fouillerai pas de la même façon,

mon doigt, il est empli de ma masculinité, de ma féminité, de mon instinct, de mon désir,

de mon rythme, de ma langueur, de ma lascivité

et il va frotter là où il faut frotter, au moment où il faut frotter, au rythme où il faut frotter

 

enfin, il y a sans doute moyen d’obtenir les mêmes résultats avec quelqu’un d’autre,

même sans doute bien mieux

mais alors il faudrait que ce soit une personne avec qui on a une complicité très spéciale

et qui nous connaisse bien, nous accepte au masculin, comme au féminin,

prenne son plaisir, sans doute, aussi au masculin comme au féminin, avec nous