20 sujets de 21 à 40 (sur un total de 81)
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  • #30955
    SophiAir
    Participant

    Bonjour à tous,
    ça fait un petit bout de temps que je commente sur d’autres forums, et je m’aperçois que je n’ai pas décrit mes dernières évolutions.
    J’ai retenté quelques séances avec Aneros, qui ont été agréables, mais pas aussi forte que celles aneroless.
    Je travaille beaucoup sur mes sensations féminines, sur ce vagin imaginaire et pourtant tellement présent.
    J’avais posé une question :

    Une petite question concernant ces sessions féminines, il y a toujours deux phénomènes liés :
    – la sensation d’avoir deux flux électriques entre d’une part, mon pénis et mes testicules, et mes cuisses d’autre part, un peu dans la pliure entre pubis et cuisses, en gros ;
    – la sensation d’avoir (j’ai un peu de mal à les situer) des muscles de chaque côté de mon pubis, près de mon bassin, qui m’ouvrent…

    mais malheureusement je n’ai pas eu de retour. Peut-être que personne ne ressent la même chose ?
    En tout cas, histoire de profiter de mes belles sensations le plus possible, je travaille en ce moment à être “indétectable”. Je m’explique : je profite aujourd’hui du moindre petit moment pour me laisser envahir, au bureau, dans le métro, debout à un arrêt de bus… sauf que je ne peux pas me lâcher comme à la maison. J’essaye donc de réguler ma respiration, de maîtriser les vibrations de mon corps, de garder un visage impassible et surtout de ne pas gémir quand je me sens pénétré(e) !
    C’est sûr que je n’atteins pas un degrés de jouissance paroxystique. Mais c’est quand même très, très bon. Et surtout inépuisable.
    Voilà !
    Au plaisir de vous lire. Des bises.

    #30957
    bzo
    Participant

    mais malheureusement je n’ai pas eu de retour. Peut-être que personne ne ressent la même chose ?

    si, si, moi totalement,
    mon plaisir est au féminin, entièrement au féminin, j’ai un pussy entre les jambes
    et puis tout le reste,
    j’ondule comme une liane lascive durant mes séances,
    mon bassin est empli d’une houle langoureuse
    et puis quand j’écarte les jambes, c’est tellement excitant,
    je me sens ouvert, je me sens en chaleur
    et puis de sentir monter en moi la contraction comme un sexe bien dur et bien dressé,
    c’est ineffablement bon, du nectar onctueux partout en moi

    etc,
    enfin je parle que de cela à longueur de messages dans mon fil

    #31038
    SophiAir
    Participant

    Bonjour à tous les prostatophiles,
    un petit point sur mes avancées constantes en A-less.
    Depuis quelques jours, j’ai vraiment l’impression d’avoir trouvé le bouton on/off. A peine installé, je peux déclencher le début du processus. Et le démarrage est beaucoup plus fort. Il n’y a plus les prémices de fourmillements ou de flux qui se dispersent lentement. Aujourd’hui, dès que je commence, c’est comme une implosion dans le bas de l’abdomen, la sensation du dos d’âne ou du manège, mais en beaucoup plus puissant et soudain. Je tombe en moi. Puis, la respiration et mon imagination gèrent la session.
    Le gland du pénis de mon amant imaginaire vient se placer au contact des lèvres de mon vagin. Celui-ci s’humidifie et s’ouvre lentement sur ce gland lisse et chaud. Mes lèvres l’enveloppent. Il s’introduit en moi, lentement. Le pénis est large et écarte mon vagin au fur et à mesure qu’il le pénètre. Simultanément, un bien être se diffuse et enveloppe mon corps, le bien être “velouteux” de bzo (merci bzo pour ce néologisme parfait). Velouteux mais puissant ! Je me sens envahi(e), de plus en plus ouvert(e) et bouleversé(e) de plaisirs.
    Jusqu’à il y a peu, à ce stade, ma respiration accélérait et donnait le rythme de la pénétration de mon être, de plus en plus rapide, et de plus en plus forte et profonde. Lorsque j’y pense aujourd’hui, même si je devenais femme, même si je ressentais de multiples vagues de plaisirs durant ces sessions, celles-ci se déroulaient en fait au masculin. Je veux dire que, certes il y avait des vagues multiples, des aller-retours de plaisir, mais les sessions pointaient toujours vers un but ultime de jouissance.
    Depuis quelques jours, je maîtrise de mieux en mieux ma respiration. Je garde le contrôle du rythme de mon amant imaginaire. Et Dieu que c’est puissant ! Le plaisir se répand, presque palpable, solide. Je vais utiliser des images, peut-être un peu lieu commun, mais je ne sais comment faire autrement :
    Implosion et pulvérisation de mon être, lave se déversant dans mes veines, explosions d’étoiles dans les yeux (l’image du vaisseau spatial passant à la vitesse lumière dans Star Wars), lévitation, perte de soi…
    Et ces diverses sensations se succèdent, recommencent, tournent autour de moi et foncent en moi. Ce n’est plus des vagues de plaisirs, mais des vagues d’orgasmes.
    Malgré l’énergie que ces sessions dégagent et que j’emmagasine, il arrive un moment où je suis épuisé(e), rompu(e), écartelé(e). Je redescends en reprenant une respiration moins profonde. Mon corps s’étire, les sensations reviennent au stade bien être, volupté, douceur, caresses sur ma peau électrique, un bonheur ineffable, avant de plonger dans le sommeil. Les réveils sont ensuite plus doux, et des “répliques” se font sentir pendant plusieurs heures.
    Cela fait maintenant plusieurs sessions où je n’ai plus ce réflexe de caresses puissantes sur mon périnée, plus d’éjaculation. J’ai vraiment l’impression d’avoir passé une nouvelle étape.
    Et à côté de cela, je continue mon travail d'”indétectabilité” pour profiter des sensations de début de session dès que j’ai 30 secondes, à l’extérieur. Très agréable et très satisfaisant. Des minutes d’évasion et d’école buissonnière au milieu de la foule morne…
    J’aimerais tellement que tous les hommes connaissent les bienfaits que peut nous prodiguer notre prostate. Au delà de la partie plaisir, je sens que cela change également mon état d’esprit. En tant qu’homme, j’ai été élevé pour toujours tendre vers un but, un objectif, tout mettre en œuvre pour arriver à atteindre quelque chose. Attitude éjaculatoire. Aujourd’hui, je ressens le besoin de profiter du chemin, de faire des tours et des détours pour tout explorer. Le but reste en tête, mais n’est plus l’objectif. C’est encore un peu vague, mais bien présent.
    A bientôt et au plaisir de vous lire

    #31041
    bzo
    Participant

    au boulot discrètement, plusieurs fois j’ai relu ton message
    et à chaque fois à certains passages, j’avais plein de frissons, j’étais gagné par l’émotion,
    lire que dans une expérience si singulière, si extrême, si intime,
    d’autres personnes puissent éprouver à peu près les mêmes sensations,
    puissent vivre à peu près la même expérience,
    c’est très émouvant, je trouve

    certes , il y a des différences mais somme toute, très minimes
    si on tient compte de la vastitude de l’ensemble

    certes moi cela m’a pris un an et demie,
    alors que toi, tu fais partie de cette catégorie de chanceux
    qui sont tombés dans la marmite de potion magique
    et que ton parcours jusqu’à ce point, n’aura duré que quelques semaines

    Velouteux mais puissant !Je me sens envahi(e), de plus en plus ouvert(e) et bouleversé(e) de plaisirs.

    hé, hé, il faut l’avoir vécu, n’est-ce pas…
    cette sensation en même temps de puissance et de douceur incroyables,
    nectar, onctuosité, baume dans ma chair, d’autres termes et d’autres expressions que j’aime utiliser
    pour essayer de la qualifier
    mais il faut l’avoir vécu, sans cela on peut pas se rendre compte à quel point c’est ineffablement bon.

    Et puis se sentir ouvert comme cela,
    comme si le monde entier entrait en nous, pénétrait en nous, était en communication avec nous
    on n’oppose plus aucune résistance, toutes les défenses sont levées, toutes les portes de notre être, béantes,
    on est béant de chez béant, béant sur l’univers,en phase totalement avec le monde animal ,
    toute notre chair est un sexe béant pénétré,
    pénétré par l’univers tout entier

    Implosion et pulvérisation de mon être, lave se déversant dans mes veines, explosions d’étoiles dans les yeux (l’image du vaisseau spatial passant à la vitesse lumière dans Star Wars), lévitation, perte de soi…

    tu n’es plus loin du pont suspendu dans la lumière,
    c’est l’image la plus saisissante que j’ai eu jusqu’ici durant ces longs moments extatiques ces derniers temps,
    je me cite:

    et puis cette sensation de pont dans la lumière,
    un pont toute en longueur, aérien, me traversant, semblant suspendu à rien,
    passant par le centre d’une immense ouverture ronde,
    dans le lointain au-delà de l’ouverture, le pont semble disparaître dans un halo de lumière frissonnant

    mais des vagues d’orgasmes

    tout à fait, c’est un état orgasmique permanent pour reprendre l’expression d’ @andraneros

    Au delà de la partie plaisir, je sens que cela change également mon état d’esprit. En tant qu’homme, j’ai été élevé pour toujours tendre vers un but, un objectif, tout mettre en œuvre pour arriver à atteindre quelque chose. Attitude éjaculatoire. Aujourd’hui, je ressens le besoin de profiter du chemin, de faire des tours et des détours pour tout explorer. Le but reste en tête, mais n’est plus l’objectif. C’est encore un peu vague, mais bien présent.

    moi aussi, j’ai beaucoup changé, c’est une expérience radicale, elle nous transforme,
    ce féminin vit dans nos profondeurs,
    d’être capable durant les séances
    ou ce que j’appelle, les micro-séances,
    les petites séances de quelques minutes, voire quelques secondes,
    de l’invoquer, de le faire monter,
    ce féminin,
    de le laisser jouer avec notre corps,
    cela transforme de fond en comble
    et fait renaître quelque part, je trouve
    on n’a plus le même rapport au monde, à soi-même,
    on se bonifie,
    un spectre plus large en des tas de domaines

    aussi,
    je ne vois plus les femmes de la même façon,
    je me sens une complicité avec leur nature profonde, avec leur intimité
    qui est tout à fait étonnante, troublante et assez extraordinaire en fait,
    à côté de certaines, je ressens des vertiges, cela éveille des gouffres en moi,
    une incroyable sensation de complicité que je ressens dans mes entrailles très loin

    #31044
    SophiAir
    Participant

    Merci merci @bzo pour ton message. Merci de cette connexion qui nous est commune, connexion avec le monde et l’univers. Se sentir autant ouvert(e) et offert(e) a quelque chose d’universel effectivement. On est au-delà de l’orgasme physique. C’est merveilleux. Et cette communauté de changement, d’évolution, de renaissance au féminin est tellement émouvante. J’aimerais tant que nous soyons plus nombreux(ses) à partager cet état physique et psychique. Je t’embrasse @bzo et je partage notre enthousiasme et notre joie avec toute notre communauté prostatophile.

    #31069
    SophiAir
    Participant

    Aujourd’hui, après 1/2 h d’A-less décoiffante, une petite envie de reprendre mon fidèle Eupho. Déjà bien chaud(e), j’ai réagi au quart de tour. Et j’ai allié mes sensations A-less de mon petit vagin de femme et mes sensations Eupho d’anus d’homme pénétré. Bon, 2 h après, je ne m’en remets pas. Les contractions de mon abdomen n’arrêtent pas. J’ai du mal à me concentrer sur une conversation, et des vagues de chaleur circulent dans et sur tout mon corps, au moment où je vous écrit. A refaire donc ! Bises à tous

    #31070
    bzo
    Participant

    Bon, 2 h après, je ne m’en remets pas. Les contractions de mon abdomen n’arrêtent pas. J’ai du mal à me concentrer sur une conversation, et des vagues de chaleur circulent dans et sur tout mon corps, au moment où je vous écrit.

    jamais eu ce genre de phénomène tout de même

    des sensations de bien-être extrême comme quand on a fait délicieusement l’amour, ça oui , très souvent,
    on se sent le corps souple, léger, rassasié,
    on est bien dans sa peau, dans sa tête

    eu aussi quelques fois de légers picotements au niveau du bassin ,
    ma foi, fort agréables,
    pendant des heures après,
    je me souviens, la dernière fois c’était à la Noel l’année passée
    et j’ai souri comme un bienheureux toute la matinée en me promenant en ville comme cela

    mais c’est après tout

    tant que cela ne déborde pas, qu’on ne perd pas le contrôle, je serais partant en tout cas

    j’ai l’impression que tu es assis sur un baril de poudre, sur un volcan en activité 24h sur 24
    bienheureux comme un @pcommep

    #31071
    SophiAir
    Participant

    Salut @bzo, oui heureusement que je ne travaille pas aujourd’hui… C’est très agréable, mais je me concentre pour me contrôler.
    Un petit détail oublié de ma séance avec l’Eupho, à un moment j’ai commencé à titiller le frein de mon gland, façon clitoris, c’était très bon. Mon pénis a commencé à se rétracter, jusqu’à entrer sous ma peau. J’ai presser avec mon majeur, et j’ai eu l’impression de doigter mon vagin. Je massais mon périnée “de l’intérieur”. La stimulation de mon clito et de mon vagin m’a fait grimper aux rideau. A la fin de ma séance, je me suis aperçu que du sperme s’était écoulé sans que je m’en rende compte. Whouf, rien que de le raconter me secoue… Dommage que je n’ai pas le temps d’y retourner.

    #31073
    bzo
    Participant

    J’ai presser avec mon majeur, et j’ai eu l’impression de doigter mon vagin. Je massais mon périnée « de l’intérieur ». La stimulation de mon clito et de mon vagin m’a fait grimper aux rideau. A la fin de ma séance, je me suis aperçu que du sperme s’était écoulé sans que je m’en rende compte. Whouf, rien que de le raconter me secoue… Dommage que je n’ai pas le temps d’y retourner.

    oui je constate aussi ce genre de choses,
    en fait nos organes sexuels, même nos organes tout court,
    ne sont pas chevillés à un type de sensations possible,
    quelque part c’est juste une question de programmation interne, je crois

    avec notre sexe de mâle et les alentours,
    on peut arriver à ressentir des sensations totalement autres
    que celles qui habituellement passent par là,
    on a le féminin en nous, ce féminin peut passer par nos organes
    et nous faire ressentir ce qu’on peut qualifier, enfin que moi je qualifie en tout cas,
    de sensations féminines, de plaisir féminin

    même cela va plus loin, j’ai cela aussi constamment,
    durant la séance, je sens des seins, je sens un bassin large, je sens un sexe de femme
    et toutes les ondes mâles éveillées en chipotant la zone,
    cela fait belle lurette que c’est tout à fait autre chose que je ressens
    on ressent en fait ce que cela éveille chez une femme,
    ces organes quand ils sont en action

    on a cette capacité en nous, c’est magique,
    on a cette capacité parce qu’on est en même temps masculin et féminin,
    comme un iceberg avec la partie à l’air qui est mâle
    et l’autre, enfouie, qui est féminine

    tout est possible, c’est une question de reprogrammation, de redirection,
    toutes les sensations, tous les plaisirs, nous sont communs,
    il suffit d’aller les chercher en nous,
    là où elles sont enfouies, et les rediriger vers nos organes

    communier, fusionner, être entier, deux qui s’unissent en un

    #31088
    SophiAir
    Participant

    Bonjour à tout(e)s et tous,

    @bzo
    a bien raison quand il dit :

    tout est possible, c’est une question de reprogrammation, de redirection,
    toutes les sensations, tous les plaisirs, nous sont communs,
    il suffit d’aller les chercher en nous,
    là où elles sont enfouies, et les rediriger vers nos organes

    Partant de ce principe que je pratique constamment, j’ai testé quelque chose de nouveau.
    A la base, je suis fan des anulingus que mon compagnon me prodigue. Ca me met en ébullition pour des ébats plus “profonds”. Du coup, je me suis dit que la femme en moi pourrait certainement apprécier un cunnilingus…
    Et bien oui, elle apprécie beaucoup. J’ai donc gentiment dirigé le visage de mon amant imaginaire entre mes jambes. Et là, sa bouche, ses lèvres et sa langue ont pratiqué une dégustation en règle de ma vulve. D’abord un souffle chaud, puis des baisers légers, et enfin la langue qui vient écarter mes lèvres, lécher et pénétrer légèrement mon vagin. Ses lèvres qui pincent mon clitoris, et sa langue qui l’entoure par des tours et détours… Un cunnilingus en règle qui m’a fait vivre des vagues de plaisirs tout en douceur. Sans être pénétré(e), tout en surface. Mes muscles et ma prostate ont réagi de façon bien différente que lorsque je m’imagine pénétré(e). La force incroyable de l’auto-suggestion et de l’imagination !
    Dans des posts précédents, j’avais parlé de mon travail sur “l’indétectabilité”. Du coup, ce plaisir plus léger, en surface, même si très puissant, est encore plus facilement praticable partout.
    Bonne recherche à tout(e)s et tous, et bons plaisirs

    #31650
    SophiAir
    Participant

    Bonjour tout le monde,
    ah les soucis de la vie ! Depuis quelques semaines, mon activité prostatique anero-less était un peu en veille, l’esprit étant préoccupé. L’imagination y trouvant son siège et étant le moteur principal de mes voyages orgasmiques : ceinture !
    Bon ce week-end, je décide de faire une séance avec mon fidèle Eupho, histoire de relancer la machine. Une belle séance de deux heures, magnifique, avec ses vagues de plaisir qui me submergent. Dans l’élan, je décide de réessayer le Progasm que je trouvais jusque là gênant. Cette fois-ci, il a été goulument et soudainement englouti, et est venu se placer, tout seul, pile sur ma prostate. Plus de gêne ou de douleur. Comme si il était vivant et impatient, il a commencé ses mouvements immédiatement. C’était certes moins subtile qu’avec l’Eupho, mais très puissant. Pilonnage et labourage assurés, comme un amant surpuissant. J’ai pensé à @bzo (a posteriori) tellement je me tortillais dans mon lit. C’était très bon.
    Une petite réserve, comme d’hab’, cela ressemblait beaucoup à une pénétration anale telle que pratiquée par mon compagnon, et ce qui devait arriver arriva, j’ai éjaculé, ce qui a stoppé ma séance.
    Avec Aneros, je suis un homme, jouissant de ma prostate par mon anus. Anero-less, je suis une femme jouissant de tout mon corps par mon vagin. Toujours aussi troublant cette différence.
    A bientôt

    #31733
    bzo
    Participant

    Avec Aneros, je suis un homme, jouissant de ma prostate par mon anus. Anero-less, je suis une femme jouissant de tout mon corps par mon vagin. Toujours aussi troublant cette différence.

    cela, je crois, t’est spécifique, est du à ton orientation sexuelle,

    personnellement avec masseur comme sans,
    c’est avec le féminin en moi que je vis la séance
    et le masseur comme les contractions, est ressenti comme la présence d’un sexe masculin dans mon anus-pussy,
    me procurant du plaisir comme si j’étais une femme

    je crois que tu pourrais très bien aussi avec masseur
    arriver à vivre ta séance au féminin,
    tu es habitué à vivre ton plaisir au masculin quand tu sens la présence d’un sexe masculin en toi,
    le masseur provoque chez toi les mêmes mécanismes de plaisir, de sensations, de réactions
    mais avec le temps, si tu te fais un effort sur toi-même,
    tu pourrais très bien vivre ta séance au féminin aussi avec masseur,
    j’en suis persuadé

    c’est excellent aussi, moins fin, moins riche qu’en aneroless
    mais très puissant, comme je l’ai déjà écrit plusieurs fois,
    une impression de plus grande quantité de sensations, un flux massif,
    mais de moindre qualité, moins riche, moins varié,
    on est plus limité aussi au niveau des mouvements et des gestes
    du fait que le masseur pour garder toute son efficacité, on ne peut pas bouger comme on veut

    pour l’instant je n’alterne plus, parce que je suis un gros paresseux
    et j’ai la flemme de sortir mon alèse imperméable avec laquelle je recouvre le lit,
    de me lubrifier, enfin tout ce petit rituel nécessaire
    alors qu’en aneroless, je me mets simplement au lit et c’est parti,
    je peux sortir du lit, pratiquer un peu debout, assis, par terre, dans le fauteuil, revenir vers le lit
    alors qu’avec le masseur, on est beaucoup plus limité là aussi

    mais une fois par semaine, il faudrait que je sorte le masseur
    car c’est très puissant et cela en vaut vraiment la peine

    #31898
    SophiAir
    Participant

    Bonjour,
    Ca faisait un bail que je n’avais pas participer au forum. @bzo, je reviens sur ton dernier post où tu disais :

    je crois que tu pourrais très bien aussi avec masseur arriver à vivre ta séance au féminin,

    En fait, ça m’est déjà arrivé de vivre une double expérience, grâce à l’Eupho, comme je l’expliquais le 13 octobre dernier.

    Aujourd’hui, après 1/2 h d’A-less décoiffante, une petite envie de reprendre mon fidèle Eupho. Déjà bien chaud(e), j’ai réagi au quart de tour. Et j’ai allié mes sensations A-less de mon petit vagin de femme et mes sensations Eupho d’anus d’homme pénétré. Bon, 2 h après, je ne m’en remets pas. Les contractions de mon abdomen n’arrêtent pas. J’ai du mal à me concentrer sur une conversation, et des vagues de chaleur circulent dans et sur tout mon corps, au moment où je vous écrit. A refaire donc ! Bises à tous

    Je pense que cela n’a pas été possible avec le Progasm du fait de sa taille et de la puissance ressentie du pilonnage.

    Sinon, je continue mes voyages A-less, plus ou moins puissants, selon la situation : dans mon lit ou dehors.
    Ce matin, pendant mon petit-déjeuner, mon amant imaginaire m’a pris(e) sur le canapé, assis(e), tête rejetée en arrière, cuisses écartées. Je l’ai senti me pénétrer en douceur et puissance, écartant les lèvres de ma vulve et les chaires de mon vagin de son gland. Ses va-et-vient m’ont envoyé(e) rejoindre les étoiles. Comme je l’expliquais dans un post précédent, je maîtrise maintenant ma respiration, sur laquelle est calé le rythme de mon amant. Du coup, je peux faire durer la séance, en accélérant ce rythme ou le ralentissant. Mon amant peut ainsi me pénétrer profondément, me faisant ressentir l’entièreté de son pénis en moi ou faire jouer son gland par de petits aller-retour entre mes lèvres, sensation plus légère mais très excitante, qui m’emmène vers une faim de pénétration ; il peut me pilonner avec force ou ralentir ses mouvements et me faire gémir d’attente. Jusqu’au paroxysme où je perd totalement pied.
    Depuis ce matin, et encore à l’heure où j’écris, j’ai ressenti et je ressens les répliques de cette séance. Assis(e), jambes croisées, à mon bureau ou debout dans le métro. J’adore ces répliques, cette contrainte de la discrétion, même si cela ne m’amène pas à la jouissance et à la puissance d’un orgasme. Ces petites contractions que je sens dans mon abdomen, ces fourmillements si mouvant, ces frottements de cuisses (humm la sensation que ce doit être de porter des collants et sentir leur crissement, tellement plus subtiles que les frottements d’un jean, je pense à toi Naomi et à toi aussi Armandine).
    Voilà, juste pour dire que, même si je participe peu, je continue mes voyages au pays de ma féminité et de mes plaisirs. Je vous lis, et je continue à apprécier les progressions des un(e)s et des autres.
    Bises à tou(tes)s les prostatonautes

    #31900
    Andraneros
    Participant

    Bonjour @pcommep.
    Ton message vient à point apporter l’éclat de ton plaisir à un jour de décembre bien gris par ailleurs en région parisienne.
    Bon cheminement @pcommep.

    #31904
    SophiAir
    Participant

    Merci @andraneros. C’est bon de savoir que l’on va pouvoir affronter l’hiver avec cette chaleur intense au fond de soi, et des étoiles plein la tête…

    #31985
    SophiAir
    Participant

    Bonjour toutes et tous,
    hier soir, grâce à @Libellule78, j’ai enchaîné des pics orgasmiques enivrants, explosifs. Libellule encourageait les femmes, dans son post, à ne plus se contracter lors de l’approche du plaisir. Dont acte, moi qui suis tellement femme pendant mes voyages, j’ai suivi son conseil. Car oui, il m’arrivait parfois de me contracter. Ce qui n’empêchait pas le plaisir, mais qui, je l’ai découvert hier soir, en amenuisait sa puissance.
    Hier soir, donc, dans mon lit, je me détends et tout de suite les vagues commencent à déferler. Le plaisir monte. Mon bassin s’ouvre, les fourmillements envahissent mes reins. Mon amant imaginaire caresse ma vulve, je suis de plus en plus humide, ses doigts jouent en douceur avec mon clitoris, écartent mes lèvres, se glissent en moi. Puis son pénis prend le relais, m’ouvre. Mon souffle s’accélère, les fourmillements tournoient dans toute la région de mon bassin, remontent sur mes reins, et lorsqu’ils se projettent le long de mon dos, vers ma tête, je prends soin d’éviter toute contraction des muscles derrière mon pubis.
    L’explosion est encore plus forte que d’habitude. Je suis pulvérisée, atomisée, je ne suis plus matière, mais un énorme courant électrique, une onde mouvante.
    Mon corps se reforme, mes cellules se retrouvent. Pour encore mieux imploser, me renvoyer dans l’espace. Encore et encore, jusqu’à épuisement. Une fois “revenu” entre mes draps, Je me suis effondré dans le sommeil.
    Merci @Libellule78

    #33410
    Envole
    Participant

    Hello @pcommep ,
    comment ça va ?
    C’est marrant, je venais ici pour te poser un question sur le témoignage de @libellule78 , et je tombe pile sur le message où tu en parles 🙂
    Merci merci !!
    Beaucoup de plaisir 🙂
    Naomi

    #33413
    SophiAir
    Participant

    Bonjour @envole,
    toujours un plaisir de te lire, même brièvement.
    J’ai lu ton autre post, où tu décris le “réveil” de ta prostate. je te souhaite beaucoup de plaisirs.
    Je m’aperçois que cela fait bien longtemps que je n’ai rien posté moi-même.
    Je n’ai pas eu de bouleversements majeurs ces derniers temps. J’ai la chance de toujours profiter, de plus en plus, et sans cesse, partout, de cette source inépuisable de plaisir(s), en Aneroless.
    En fait, j’approfondis, si je puis dire, ma pratique : déclenchement à volonté, absence de contraction quand je suis chez moi pour atteindre des niveaux de plaisir énorme (comme expliqué au-dessus), ressenti toujours plus présent et “réel” de mon “clitoris”, de mon “vagin”, de mes “lèvres”, prise de plaisir n’importe où en restant discret… Depuis peu, je développe aussi des mouvements de bassin intérieur. C’est à dire que, sans bouger, le mouvement de mes muscles dans toute la partie basse de mon bassin, simule un mouvement de bassin lors d’une relation sexuelle. Et par ailleurs, j’ai réussi à décorréler ma respiration du rythme de la pénétration de mon amant imaginaire. C’est à dire que je peux le sentir me pénétrer à différents rythmes, rapide ou lent, profond ou léger, en gardant une respiration constante. C’est quand même plus confortable…
    Pas une journée sans orgasmeS. Pas un moment inoccupé. Cette femme en moi m’accompagne constamment, profitant de chaque seconde libre pour s’éveiller, jouir, ressentir un plaisir diffus ou intense selon les circonstances et l’environnement, pas un réveil sans jouissance…
    Ah, j’oubliais, lorsque je suis au lit, je joue souvent avec mon clitoris. Mon pénis se rétracte, et je pénètre cette cavité de deux doigts qui jouent avec mon gland. Si je suis sur le ventre, je sens mes propres testicules contre mes doigts, et la double sensation de jouer avec mon clitoris et de sentir les couilles de mon amant, c’est… whouf en l’écrivant j’en suis émue.
    Je t’embrasse, à bientôt

    #33414
    bzo
    Participant

    hé hé, du pain béni tout cela, n’est-ce pas…

    superbe, j’en suis tout chose rien que de te lire
    mais j’ai des courses à faire, j’ai pratiquement rien foutu de ma journée de congé jusqu’ici

    ce sera pour ce soir, je vais lâcher les chevaux dans ma chair ce soir,
    c’est bien de se retenir parfois (pas trop longtemps quand même, hein!)

    cette volupté comme une crème chaude, frissonnante, soyeuse,
    m’envahir tout le corps, m’envahir toute l’âme
    me frotter langoureusement tout l’intérieur, ces milliers de caresses de partout en moi

    ces mouvements tellement lascifs,
    comme j’aime sentir mon corps bouger ainsi
    comme enveloppé dans un océan de langueur, de sensualité,
    je suis une nasse emplie d’anguilles sexuelles se tordant lentement partout en moi

    mon sexe participe avec des tas d’ondes positives
    et puis j’ai cet autre sexe comme toi durant la séance,
    comme j’aime y mettre les doigts, le fouiller, le farfouiller,
    le sentir envahi par une raideur qui remonte lentement en frottant, en raclant,
    quelles sensations divines dans le bassin
    et qui se répandent dans tout le corps

    quelle fête, le ciel c’est ici et c’est maintenant

    #33415
    SophiAir
    Participant

    @envole, au fait, quelle était ta question au sujet de @libellule78 ?


    @bzo
    , toujours aussi fougueux ;)) J’adore ton enthousiasme et tes descriptions très… organiques.
    Comme nos pratiques sont différentes, et pourtant quel plaisirs nous en obtenons !!!
    Même si je décris ce qui m’arrive de façon assez rationnelle, tout cela me reste pourtant mystérieux. Ce sexe féminin si réel et présent m’étonne toujours. Lorsque je sens les lèvres de mon amant sucer et pincer gentiment mon clitoris, que je sens sa bouche et sa langue déguster ma vulve et son pénis en écarter les lèvres et avancer en moi, c’est tellement vrai.
    Je ne me touche pas comme toi, je suis presque immobile. En revanche, lorsque je suis dans mon lit, que l’orgasme arrive, je me cambre à en déchirer les draps. Mes seins pointent. Je relâche le plus possible les muscles au cœur de mon bassin, et le plaisir m’envahit et me submerge, se calme et revient, encore plus fort, plus haut. Je suis femme dans ces moments là, sans aucun doute. Mais quels questionnements cela provoque…

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