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  • #45687
    bzo
    Participant

    je place dans un nouvel fil, tous mes petits textes de fantasmes,

    homosexuels, bisexuels, straight, parfois, même,  ou m’imaginant femme,

    m’imaginant toutes sortes de choses,

    m’imaginant caresser une bite, en tant que femme, en tant qu’homme,

    enfin toutes les cochonneries très crues qui peuvent me passer, parfois, par la tête

    et que je couche sur le papier, pardon, à l’écran

     

    pour le plaisir d’un peu bander,

    de la sentir se redresser et d’être bien raide,

    en lisant des mots

    ou en les ayant imaginés, sans aucunes restrictions, en toute liberté,

    juste le désir jouant librement dans ma tête,

    me menant où il veut

    #45688
    bzo
    Participant

    je sentais son sexe en érection, s’approcher de ma bouche,
    il était presque là, à portée d’être gobé,
    je l’imaginais déjà, glisser entre mes lèvres,
    j’imaginais déjà ma langue râpeuse contre la peau délicate de son gland tout pourpre,
    son odeur, plein mes narines,
    j’imaginais déjà les frémissements de sa hampe bien dure, contre ma gorge,
    je m’imaginais l’explorer, millimètre par millimètre,
    la rendre brillante avec ma salive,
    jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et explose,
    me remplisse la bouche de son sperme,
    pressant fort ma tête tout contre son bas-ventre,
    comme s’il voulait la traverser de part en part,
    de son dard turgescent, lâchant jet sur jet

    #45690
    bzo
    Participant

    il y avait bien des toilettes dames et des toilettes messieurs,
    séparées comme il se le doit,
    dans ce bar où il n’y avait plus grand monde, à cette heure tardive
    mais on y accédait par une petite pièce commune
    où se trouvaient les lavabos

    elle était légèrement penchée au-dessus de l’évier,
    à se remettre du rouge à lèvre,
    elle portait une jupe très très courte,
    on ne pouvait pas, ne pas remarquer tout de suite, ses superbes jambes,
    la toile serrée sur ses hanches, à chacun de ses mouvements,
    dévoilaient spectaculairement,
    la forme capiteuse au possible, de ses fesses,
    j’en eu immédiatement une érection,
    je me rapprochai d’un autre évier pour me laver les mains

    dès que j’étais entré, tout en étant occupée, avec son maquillage,
    elle ne me quittait plus du regard, dans le miroir,
    j’en étais gêné au début, me demandant, un peu paranoïaquement
    si quelque chose dans mon attitude,
    pouvait être à ce point déplaisant, dérangeant
    qu’elle ne me quitte plus du regard, comme cela,
    mais je me rendis bientôt compte
    que celui-ci paraissait plutôt, de plus en plus invitant,
    de plus en plus chargé sexuellement

    aussi, ayant terminé de me sécher les mains,
    je me rapprochais d’elle,
    en esquissant un vague sourire, signalant mon intérêt en sa personne,
    je gardais néanmoins, un cap à mes pas
    qui tout en me rapprochant de l’évier où elle se trouvait,
    me permettrait de passer juste à côté d’elle,
    comme si je me dirigeais vers la poubelle,
    si je ne sentais pas une attitude très nette de sa part
    qui m’invitait à être plus entreprenant

    mais dès qu’elle me vit me rapprocher lentement,
    elle se retourna, appuyée contre l’évier,
    et sa posture, désormais, était sans ambiguïté
    elle me regardait avec une insistance provocante,
    s’engageant dans un déhanchement naissant
    et écartant un peu les cuisses

    je me collais à elle,
    sa langue s’engouffra aussitôt dans ma bouche
    son bassin se mis à remuer avec langueur,
    contre le petit monticule de mon sexe durci,
    ses seins se pressaient contre ma poitrine,
    je les frottais, les titillais, avec les doigts,
    comme je pouvais, depuis les côtés
    mais rapidement une de mes mains descendit plus bas,
    se glissa sous la jupette,
    s’insinua derrière la dentelle toute humide et collante,
    je sentis son sexe entrouvert, au bout de mes doigts,
    elle se mis à gémir

    je m’accroupis progressivement,
    une de mes mains, enfouie, à présent, à moitié en elle,
    je la remuais, la bougeais dans tous les sens,
    tandis que l’autre main gardait sa jupe bien relevée,
    pour que je puisse rapprocher ma bouche de son pubis
    dont le haut était rasé,
    je passais et repassais lentement la langue dessus, goûtant au grain de sa peau
    puis, après quelques secondes, je continuais de descendre,
    collant mes lèvres contre ses lèvres d’en bas,
    qui ressortaient bien, de sa toison toute humide et odorante,
    grâce à ses jambes fortement écartées, maintenant,
    offrant à ma vue, de tout près, tout son appareil à plaisir, grand ouvert

    quelques instants plus tôt, je goûtais, à ses lèvres d’en haut,
    j’en emportais, sur les miennes, dans ma descente, pliant les genoux,
    un mélange de son rouge qu’elle avait appliquée,
    juste avant qu’on se rue l’un sur l’autre comme des bêtes
    et de sa salive
    dont sa langue m’avait généreusement gratifiée

    ma bouche, maintenant était complètement collée à son sexe
    mais elle remuait tellement son bassin, d’excitation
    que j’avais du mal à rester en contact,
    ma langue en mission aux avant-postes, faisait ce qu’elle pouvait,
    étant donné le tanguage actif en les lieux

    mais je la goûtais, je la dégustais, néanmoins,
    à pleine puissance gustative, olfactive, sensorielle,
    ses textures, la soie de ses muqueuses, son humidité, ses contractions, ses spasmes,
    son nectar, ses poils, ses lèvres, sa peau, son clitoris, les plis et les replis de son vagin,
    toute son intimité était là, à portée de ma bouche, de mes yeux
    offerte de tout près à ma curiosité, à mon farfouillage, à mes frottements,
    tantôt tout lentement, tout systématiquement, tantôt frénétiquement

    je mettais tout ce qui pouvait servir à la tache,
    au travail,
    langue, lèvres, nez, doigts, souffle chaud, frottements avec les avant-bras poilus
    tout le monde était sur le pont,
    au service de son plaisir, s’accroissant rapidement,
    de sa montée vers un orgasme qui allait bientôt se déclencher

    personne n’entrait pour l’instant, dans les toilettes,
    c’était une heures très très tardive ou déjà matinale, comme on veut,
    j’espérai qu’on ne viendrait pas perturber notre manège,
    qu’on pourrait aller jusqu’au bout,
    cela aurait été fort gênant que quelqu’un vienne,
    étant donné, notre position et notre état d’excitation,
    elle, le sexe à l’air

    elle se mit à gémir sans discontinuité,
    je la sentais partir de plus en plus,
    elle tremblait, elle frémissait de tout le corps, comme une feuille,
    puis la tempête s’apaisat très progressivement,
    je l’accompagnais avec des caresses

    elle m’invita des yeux, maintenant, à descendre mon pantalon,
    dès que ce fut accompli,
    elle s’abaissat et fit glisser mon slip
    empoigna de la main, la hampe de mon sexe durci,
    et en approcha le visage, tout près,
    sa langue se mis à jouer avec mon gland, tournicotant dessus,
    elle s’attarda longuement avec la pointe, sur le méat,
    titillant, frottant, la petite ouverture, tout lentement, tout lentement

    puis elle plongeât soudainement avec la bouche grande ouverte,
    engloutissant la moitié de mon sexe,
    se mit à remuer de haut en bas, dessus
    en le pressant, l’enserrant bien, avec ses lèvres
    et frottant avec la langue,
    tout ce qui entrait en contact avec,
    je ne tenais pas plus de quelques secondes,
    une marée au galop, courut à travers mon bassin

    elle se releva, colla ses lèvres aux miennes,
    avec mon sperme encore tout entièrement collecté dans sa bouche,
    nos langues et nos lèvres, nageaient, à présent, dans un mélange de fluides divers,
    sperme, salives, nectar de ses lèvres d’en bas, mucus,
    ils se mirent à dégouliner, à tremper nos mentons

    on se mangeait la bouche, collés l’un contre l’autre,
    moi, le pantalon , encore abaissé
    et elle, sa jupe, relevée, coincée quelque part,
    nos sexes, en contact, se pressaient, mais sans pénétration,
    tout était trempé, tout était humide,
    tout était encore électrifié, au possible, là en bas

    je me frottais lentement à elle
    et eu encore un orgasme,
    quelques gouttes de sperme dégoulinèrent sur sa cuisse,
    elle en approcha le doigt, les collecta soigneusement avec,
    les porta à ses lèvres
    qu’elle frotta tout doucement avec,
    un sourire épanoui éclairait tout son visage,
    tout son être transpirait l’incandescence et la communion, charnelles

    #45691
    bzo
    Participant

    il marchait dans la rue,

    quelque chose de félin dans sa démarche, attira mon regard,

    mes yeux , instinctivement, descendirent vers le devant de son jeans

    qu’il avait très collant,

    on devinait la forme de son sexe, sous la bosse de la toile,

    il ne devait pas porter de slip,

    s’était juste glissé nu, dans son pantalon

    “cette bête au repos, me fait terriblement envie”, me suis-je dit

    et je le suivis discrètement

     

    après quelque temps,

    il se dirigeât vers un de ses urinoirs publics, à ciel ouvert

    dont il en existe encore quelques uns dans le centre de Bruxelles,

    avec une odeur de vieille urine à s’évanouir, dès qu’on s’en approche de trop près,

    il s’y engouffra

     

    je vis qu’il n’y avait personne d’autre à l’intérieur,

    ni aux alentours immédiats

    aussi, je me suis dit un peu inconsciemment et témérairement,

    voici mon occasion

     

    lorsque que j’entrai aussi, il urinait déjà,

    un jet fort et puissant, résonnait sur la pierre, en face de lui,

    éparpillait des gouttelettes,

    je me postai à côté de lui

    et sans me gêner, me tournais de son côté

    pour regarder par-dessus la petite séparation en métal

     

    il était, ma foi, aussi massif que je l’avais supposé tandis qu’il marchait,

    son sexe,

    l’urine en sortait, formait un  tas écumant , moussant, à ses pieds dans l’avaloir,

    avant de s’écouler,

    je continuais de le lorgner, sans me gêner,

    il semblait se rendre compte de rien,

    tout absorbé qu’il était à uriner dans un certain angle

    pour ne pas se faire asperger des gouttelettes qui rebondissaient sur la pierre

     

    dès qu’il eut fini, j’allongeais le bras et effleurais son sexe,

    complètement surpris,

    son cerveau s’arrêta de fonctionner, tétanisé par la situation,

    n’osant même pas lever la tête,

    j’en profitais pour le caresser plus hardiment,

    mes doigts entouraient son pénis comme un fourreau mouvant,

    le frottait  lentement sur toute sa longueur,

    il prenait déjà de la consistance, de l’épaisseur,

    il grandissait à toute vitesse, en fait

    et débordait, en deux temps, trois mouvements, de ma main,

    avant même qu’il ait eu le temps de réagir

     

    il leva enfin la tête vers moi, les yeux me suppliant d’arrêter et de partir

    car à ce stade, l’excitation l’avait déjà tellement envahi,

    qu’il n’avait plus la force de se rebeller et d’arrêter le processus,

    aussi, il comptait sur moi pour sauver son honneur d’homme à femmes,

    lui épargner la honte d’éjaculer dans la main d’un autre homme

     

    je n’en fis rien, bien sûr

    et voyant qu’il était tout à moi,

    je serrai maintenant son gourdin sans aucune retenue

    celui-ci prit sa taille définitive, se dressa magnifiquement,

    je commençais à la secouer un peu, très fort,

    pour lui ôter toute velléités de s’en aller

    mais il resta sur place, les yeux fermés,

    gémissant un peu, à chacun des allers et retours,

    de ma main sur son braquemart

     

    voyant que je n’avais plus à craindre que ma proie s’échappe

    et jetant un rapide coup d’oeil aux alentours

    pour voir s’il y avait quelqu’un qui se rapprochait,

    je ralentis le tempo,

    commençais à prendre mon temps pour cajoler la bête dans les règles de l’art,

    jouais avec son gland,  le titillant du bout des doigts, pressant, frottant

     

    je fus tenté de me mettre tout à côté de lui et de lui faire une fellation éclair

    mais c’était trop dangereux, du monde pouvait arriver à tout moment

    et l’endroit, en plus, était dégoutant, l’odeur, infernale,

    et je devais absolument rester debout pour faire le guet

    et jeter tout le temps, des coups d’oeil à la ronde

     

    dommage, dommage,

    j’aurai adoré avoir dans ma bouche, son engin,

    comme je l’aurai  pompé, vidé, jusqu’à la dernière goutte

     

    je lui caressais le sexe lentement

    mais je vis un groupe de touristes qui se rapprochaient,

    certains visiblement avec l’intention,

    de venir visiter un lieu si typique et pittoresque de la ville, pour se soulager,

    aussi j’accélérais, je le secouais maintenant à toute vitesse

    et il se mordait les lèvres pour ne pas gémir trop fort

     

    le coup parti, il lâchât un  jet puissant

    dont je recueillis une partie sur les doigts,

    en les mettant devant son sexe saisi de soubresauts

     

    les touristes allemands étaient presque arrivés,

    je me frottais la bouche avec un peu de son sperme dégoulinant

    et aussi la sienne, à sa grande consternation

     

    il est devenu tout cramoisi tandis que deux teutons,

    s’engouffraient dans la pissotière

    mais eut la présence d’esprit de cacher son engin dressé

    dont dégoulinaient encore quelques gouttes de sperme,

    déjà je m’éloignais à toute vitesse,

    essuyant le reste de son sperme avec un mouchoir en papier

     

    #45694
    bzo
    Participant

    elle était couchée sur la pelouse, par cette belle après-midi d’été,

    il faisait chaud, très chaud,

    initialement, j’avais voulu aller me promener dans la forêt

    mais un peu fatigué, je me suis rabattu vers ce grand parc du centre de Bruxelles,

    aux vastes pelouses où des gens, un peu de tous les côtés,

    se prélassaient, se détendaient, somnolaient, au soleil

     

    elle était habillée d’une jupe légère d’été,

    elle lisait, couchée sur le dos,

    un grand sac, la soutenant par derrière,

    lui permettant d’avoir une position suffisamment soulevée et confortable,

    pour la lecture

     

    je m’installais quelques mètres plus loin d’elle,

    c’était une partie plus tranquille du parc où les gens étaient moins les uns sur les autres,

    je restais de longues minutes, les yeux fermés,

    juste à goûter les rayons du soleil sur la peau

    et le chant des oiseaux, dans les oreilles

     

    à un moment donné, j’ouvrais les yeux,

    j’avais dans mon axe de vision sa silhouette charmante,

    elle n’était pas belle, belle

    mais elle était jeune, fraîche, pleine de vie, un beau corps,

    mon regard s’égarât à gauche, à droite, sur les arbres, sur les gens plus loin,

    il y avait le bruit des voitures, aussi, tout autour du parc

    qui arrivait jusqu’à nous

     

    puis je revins vers elle,

    elle avait décroisé les jambes,

    comme tout mâle qui se respecte, quelque soit son âge,

    ses jambes nues, dévoilées bien plus, accrochèrent mon regard ,

    du mollet, je remontais lentement vers la cuisse,

    à présent bien visible sur toute sa longueur,

    je figeais mon regard bien à l’intérieur de celle-ci et remontait encore,

    me glissant sous la jupe qui était bien remontée,

    sans qu’elle s’en rende compte

     

    mon regard montait, montait, centimètre par centimètre,

    parcourant sa peau blanche, jeune

    et eut la surprise, là où il aurait du être arrêté par la toile d’un sous-vêtement,

    de rencontrer une toison , ma foi, bien développée,

    comme je les aime

     

    je restai, fasciné , le regard plongé vers son entrejambe qui se dévoilait,

    je me mis définitivement à bander quand elle bougeât un peu les fesses

    et que j’entrevis sa raie, le rose-rouge de sa chair intime,

    cela ne dura qu’un court instant

    mais ma respiration est devenue intense, s’accélérant

     

    je relevais mon regard vers son visage

    et je vis qu’elle me dévisageait,

    je m’apprêtais à voir son regard se courroucer, s’emplir de colère,

    la voir changer de position, voire se lever et partir

    mais non, elle me sourit

    et elle écarta les jambes un peu plus,

    j’avais désormais dans mon champ de vision,

    au milieu de sa toison , son sexe entrouvert, baillant magnifiquement

     

    comme je bandais ferme , désormais

    et il y avait plein d’excitation  dans mes yeux,

    je voyais que cela lui faisait de l’effet,

    ah, une libertine qui ne dédaigne pas un peu d’exhibitionnisme,

    je me suis dit, je vais peut-être passer un bon moment,

    tant pis pour les chants d’oiseau et le soleil

     

    elle approcha la main de son sexe, se mis à se masturber lentement,

    à se titiller le clitoris, à s’écarter les lèvres d’en bas,  en tirant sur les poils,

    pour que je puisse y plonger le regard

    et après avoir jeté un coup d’oeil aux alentours, y allât plus franchement,

    je ne perdais pas une miette du spectacle, plus bandant que jamais

     

    elle se caressa les seins aussi, par moments, à travers la toile de sa robe,

    tendant celle-ci tout autour,

    me faisait bien voir leur forme splendide, bien développée, avec les tétons pointant

     

    à ma droite, un peu plus loin, seul, un couple en train de se bécoter,

    je mis mon sac, debout, à côté de moi, faisant écran, par rapport à eux

    je m’assieds, ouvris ma braguette et sorti mon sexe gorgé de sang, dressé,

    je me mis à le caresser tout en la regardant se masturber à quelques mètres plus loin,

    elle plongeât son regard longuement sur mon braquemart, à l’air

    et comme inspiré par lui,

    continua son manège de plus belle,

    se léchant les doigts de de temps à autre

    puis les replongeant immédiatement vers son clitoris, ses lèvres humides, ouvertes

     

    je la voyais haleter de plus en plus, maintenant,

    moi-même, j’étais déjà, aussi, à un stade bien avancé d’excitation,

    je  secouais mon pénis de plus en plus,

    toujours personne aux alentours, du moins, on ne voyait personne directement,

    peut-être qu’il y avait des voyeurs, dans les buissons, plus loin,

    cette idée m’excita encore plus

     

    pendant un instant,

    j’imaginais, des hommes et des femmes, sortant  soudainement des bosquets,

    se déshabillant en se ruant sur nous

    et une partouze générale, dans ce coin bien tranquille du parc,

    des vagins et des bites, partout , tout autour de moi et d’elle,

    nous submergeant tous les deux,

    nous enfouissant sous une marée d’hommes et de femmes, en chaleur

     

    elle se mit à gémir très fort et à trembler comme une feuille,

    cela me fit éjaculer instantanément,

    quelques instants, après, elle se leva en me souriant et s’éloignât,

    je me levais aussi et partis dans l’autre direction

     

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