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bzo.
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7 mars 2023 à 1 h 13 min #45687
bzo
Participantje place dans un nouvel fil, tous mes petits textes de fantasmes,
homosexuels, bisexuels, straight, parfois, même, ou m’imaginant femme,
m’imaginant toutes sortes de choses,
m’imaginant caresser une bite, en tant que femme, en tant qu’homme,
enfin toutes les cochonneries très crues qui peuvent me passer, parfois, par la tête
et que je couche sur le papier, pardon, à l’écran
pour le plaisir d’un peu bander,
de la sentir se redresser et d’être bien raide,
en lisant des mots
ou en les ayant imaginés, sans aucunes restrictions, en toute liberté,
juste le désir jouant librement dans ma tête,
me menant où il veut
7 mars 2023 à 1 h 14 min #45688bzo
Participantje sentais son sexe en érection, s’approcher de ma bouche,
il était presque là, à portée d’être gobé,
je l’imaginais déjà, glisser entre mes lèvres,
j’imaginais déjà ma langue râpeuse contre la peau délicate de son gland tout pourpre,
son odeur, plein mes narines,
j’imaginais déjà les frémissements de sa hampe bien dure, contre ma gorge,
je m’imaginais l’explorer, millimètre par millimètre,
la rendre brillante avec ma salive,
jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et explose,
me remplisse la bouche de son sperme,
pressant fort ma tête tout contre son bas-ventre,
comme s’il voulait la traverser de part en part,
de son dard turgescent, lâchant jet sur jet7 mars 2023 à 18 h 17 min #45690bzo
Participantil y avait bien des toilettes dames et des toilettes messieurs,
séparées comme il se le doit,
dans ce bar où il n’y avait plus grand monde, à cette heure tardive
mais on y accédait par une petite pièce commune
où se trouvaient les lavaboselle était légèrement penchée au-dessus de l’évier,
à se remettre du rouge à lèvre,
elle portait une jupe très très courte,
on ne pouvait pas, ne pas remarquer tout de suite, ses superbes jambes,
la toile serrée sur ses hanches, à chacun de ses mouvements,
dévoilaient spectaculairement,
la forme capiteuse au possible, de ses fesses,
j’en eu immédiatement une érection,
je me rapprochai d’un autre évier pour me laver les mainsdès que j’étais entré, tout en étant occupée, avec son maquillage,
elle ne me quittait plus du regard, dans le miroir,
j’en étais gêné au début, me demandant, un peu paranoïaquement
si quelque chose dans mon attitude,
pouvait être à ce point déplaisant, dérangeant
qu’elle ne me quitte plus du regard, comme cela,
mais je me rendis bientôt compte
que celui-ci paraissait plutôt, de plus en plus invitant,
de plus en plus chargé sexuellementaussi, ayant terminé de me sécher les mains,
je me rapprochais d’elle,
en esquissant un vague sourire, signalant mon intérêt en sa personne,
je gardais néanmoins, un cap à mes pas
qui tout en me rapprochant de l’évier où elle se trouvait,
me permettrait de passer juste à côté d’elle,
comme si je me dirigeais vers la poubelle,
si je ne sentais pas une attitude très nette de sa part
qui m’invitait à être plus entreprenantmais dès qu’elle me vit me rapprocher lentement,
elle se retourna, appuyée contre l’évier,
et sa posture, désormais, était sans ambiguïté
elle me regardait avec une insistance provocante,
s’engageant dans un déhanchement naissant
et écartant un peu les cuissesje me collais à elle,
sa langue s’engouffra aussitôt dans ma bouche
son bassin se mis à remuer avec langueur,
contre le petit monticule de mon sexe durci,
ses seins se pressaient contre ma poitrine,
je les frottais, les titillais, avec les doigts,
comme je pouvais, depuis les côtés
mais rapidement une de mes mains descendit plus bas,
se glissa sous la jupette,
s’insinua derrière la dentelle toute humide et collante,
je sentis son sexe entrouvert, au bout de mes doigts,
elle se mis à gémirje m’accroupis progressivement,
une de mes mains, enfouie, à présent, à moitié en elle,
je la remuais, la bougeais dans tous les sens,
tandis que l’autre main gardait sa jupe bien relevée,
pour que je puisse rapprocher ma bouche de son pubis
dont le haut était rasé,
je passais et repassais lentement la langue dessus, goûtant au grain de sa peau
puis, après quelques secondes, je continuais de descendre,
collant mes lèvres contre ses lèvres d’en bas,
qui ressortaient bien, de sa toison toute humide et odorante,
grâce à ses jambes fortement écartées, maintenant,
offrant à ma vue, de tout près, tout son appareil à plaisir, grand ouvertquelques instants plus tôt, je goûtais, à ses lèvres d’en haut,
j’en emportais, sur les miennes, dans ma descente, pliant les genoux,
un mélange de son rouge qu’elle avait appliquée,
juste avant qu’on se rue l’un sur l’autre comme des bêtes
et de sa salive
dont sa langue m’avait généreusement gratifiéema bouche, maintenant était complètement collée à son sexe
mais elle remuait tellement son bassin, d’excitation
que j’avais du mal à rester en contact,
ma langue en mission aux avant-postes, faisait ce qu’elle pouvait,
étant donné le tanguage actif en les lieuxmais je la goûtais, je la dégustais, néanmoins,
à pleine puissance gustative, olfactive, sensorielle,
ses textures, la soie de ses muqueuses, son humidité, ses contractions, ses spasmes,
son nectar, ses poils, ses lèvres, sa peau, son clitoris, les plis et les replis de son vagin,
toute son intimité était là, à portée de ma bouche, de mes yeux
offerte de tout près à ma curiosité, à mon farfouillage, à mes frottements,
tantôt tout lentement, tout systématiquement, tantôt frénétiquementje mettais tout ce qui pouvait servir à la tache,
au travail,
langue, lèvres, nez, doigts, souffle chaud, frottements avec les avant-bras poilus
tout le monde était sur le pont,
au service de son plaisir, s’accroissant rapidement,
de sa montée vers un orgasme qui allait bientôt se déclencherpersonne n’entrait pour l’instant, dans les toilettes,
c’était une heures très très tardive ou déjà matinale, comme on veut,
j’espérai qu’on ne viendrait pas perturber notre manège,
qu’on pourrait aller jusqu’au bout,
cela aurait été fort gênant que quelqu’un vienne,
étant donné, notre position et notre état d’excitation,
elle, le sexe à l’airelle se mit à gémir sans discontinuité,
je la sentais partir de plus en plus,
elle tremblait, elle frémissait de tout le corps, comme une feuille,
puis la tempête s’apaisat très progressivement,
je l’accompagnais avec des caresseselle m’invita des yeux, maintenant, à descendre mon pantalon,
dès que ce fut accompli,
elle s’abaissat et fit glisser mon slip
empoigna de la main, la hampe de mon sexe durci,
et en approcha le visage, tout près,
sa langue se mis à jouer avec mon gland, tournicotant dessus,
elle s’attarda longuement avec la pointe, sur le méat,
titillant, frottant, la petite ouverture, tout lentement, tout lentementpuis elle plongeât soudainement avec la bouche grande ouverte,
engloutissant la moitié de mon sexe,
se mit à remuer de haut en bas, dessus
en le pressant, l’enserrant bien, avec ses lèvres
et frottant avec la langue,
tout ce qui entrait en contact avec,
je ne tenais pas plus de quelques secondes,
une marée au galop, courut à travers mon bassinelle se releva, colla ses lèvres aux miennes,
avec mon sperme encore tout entièrement collecté dans sa bouche,
nos langues et nos lèvres, nageaient, à présent, dans un mélange de fluides divers,
sperme, salives, nectar de ses lèvres d’en bas, mucus,
ils se mirent à dégouliner, à tremper nos mentonson se mangeait la bouche, collés l’un contre l’autre,
moi, le pantalon , encore abaissé
et elle, sa jupe, relevée, coincée quelque part,
nos sexes, en contact, se pressaient, mais sans pénétration,
tout était trempé, tout était humide,
tout était encore électrifié, au possible, là en basje me frottais lentement à elle
et eu encore un orgasme,
quelques gouttes de sperme dégoulinèrent sur sa cuisse,
elle en approcha le doigt, les collecta soigneusement avec,
les porta à ses lèvres
qu’elle frotta tout doucement avec,
un sourire épanoui éclairait tout son visage,
tout son être transpirait l’incandescence et la communion, charnelles8 mars 2023 à 1 h 30 min #45691bzo
Participantil marchait dans la rue,
quelque chose de félin dans sa démarche, attira mon regard,
mes yeux , instinctivement, descendirent vers le devant de son jeans
qu’il avait très collant,
on devinait la forme de son sexe, sous la bosse de la toile,
il ne devait pas porter de slip,
s’était juste glissé nu, dans son pantalon
“cette bête au repos, me fait terriblement envie”, me suis-je dit
et je le suivis discrètement
après quelque temps,
il se dirigeât vers un de ses urinoirs publics, à ciel ouvert
dont il en existe encore quelques uns dans le centre de Bruxelles,
avec une odeur de vieille urine à s’évanouir, dès qu’on s’en approche de trop près,
il s’y engouffra
je vis qu’il n’y avait personne d’autre à l’intérieur,
ni aux alentours immédiats
aussi, je me suis dit un peu inconsciemment et témérairement,
voici mon occasion
lorsque que j’entrai aussi, il urinait déjà,
un jet fort et puissant, résonnait sur la pierre, en face de lui,
éparpillait des gouttelettes,
je me postai à côté de lui
et sans me gêner, me tournais de son côté
pour regarder par-dessus la petite séparation en métal
il était, ma foi, aussi massif que je l’avais supposé tandis qu’il marchait,
son sexe,
l’urine en sortait, formait un tas écumant , moussant, à ses pieds dans l’avaloir,
avant de s’écouler,
je continuais de le lorgner, sans me gêner,
il semblait se rendre compte de rien,
tout absorbé qu’il était à uriner dans un certain angle
pour ne pas se faire asperger des gouttelettes qui rebondissaient sur la pierre
dès qu’il eut fini, j’allongeais le bras et effleurais son sexe,
complètement surpris,
son cerveau s’arrêta de fonctionner, tétanisé par la situation,
n’osant même pas lever la tête,
j’en profitais pour le caresser plus hardiment,
mes doigts entouraient son pénis comme un fourreau mouvant,
le frottait lentement sur toute sa longueur,
il prenait déjà de la consistance, de l’épaisseur,
il grandissait à toute vitesse, en fait
et débordait, en deux temps, trois mouvements, de ma main,
avant même qu’il ait eu le temps de réagir
il leva enfin la tête vers moi, les yeux me suppliant d’arrêter et de partir
car à ce stade, l’excitation l’avait déjà tellement envahi,
qu’il n’avait plus la force de se rebeller et d’arrêter le processus,
aussi, il comptait sur moi pour sauver son honneur d’homme à femmes,
lui épargner la honte d’éjaculer dans la main d’un autre homme
je n’en fis rien, bien sûr
et voyant qu’il était tout à moi,
je serrai maintenant son gourdin sans aucune retenue
celui-ci prit sa taille définitive, se dressa magnifiquement,
je commençais à la secouer un peu, très fort,
pour lui ôter toute velléités de s’en aller
mais il resta sur place, les yeux fermés,
gémissant un peu, à chacun des allers et retours,
de ma main sur son braquemart
voyant que je n’avais plus à craindre que ma proie s’échappe
et jetant un rapide coup d’oeil aux alentours
pour voir s’il y avait quelqu’un qui se rapprochait,
je ralentis le tempo,
commençais à prendre mon temps pour cajoler la bête dans les règles de l’art,
jouais avec son gland, le titillant du bout des doigts, pressant, frottant
je fus tenté de me mettre tout à côté de lui et de lui faire une fellation éclair
mais c’était trop dangereux, du monde pouvait arriver à tout moment
et l’endroit, en plus, était dégoutant, l’odeur, infernale,
et je devais absolument rester debout pour faire le guet
et jeter tout le temps, des coups d’oeil à la ronde
dommage, dommage,
j’aurai adoré avoir dans ma bouche, son engin,
comme je l’aurai pompé, vidé, jusqu’à la dernière goutte
je lui caressais le sexe lentement
mais je vis un groupe de touristes qui se rapprochaient,
certains visiblement avec l’intention,
de venir visiter un lieu si typique et pittoresque de la ville, pour se soulager,
aussi j’accélérais, je le secouais maintenant à toute vitesse
et il se mordait les lèvres pour ne pas gémir trop fort
le coup parti, il lâchât un jet puissant
dont je recueillis une partie sur les doigts,
en les mettant devant son sexe saisi de soubresauts
les touristes allemands étaient presque arrivés,
je me frottais la bouche avec un peu de son sperme dégoulinant
et aussi la sienne, à sa grande consternation
il est devenu tout cramoisi tandis que deux teutons,
s’engouffraient dans la pissotière
mais eut la présence d’esprit de cacher son engin dressé
dont dégoulinaient encore quelques gouttes de sperme,
déjà je m’éloignais à toute vitesse,
essuyant le reste de son sperme avec un mouchoir en papier
8 mars 2023 à 10 h 18 min #45694bzo
Participantelle était couchée sur la pelouse, par cette belle après-midi d’été,
il faisait chaud, très chaud,
initialement, j’avais voulu aller me promener dans la forêt
mais un peu fatigué, je me suis rabattu vers ce grand parc du centre de Bruxelles,
aux vastes pelouses où des gens, un peu de tous les côtés,
se prélassaient, se détendaient, somnolaient, au soleil
elle était habillée d’une jupe légère d’été,
elle lisait, couchée sur le dos,
un grand sac, la soutenant par derrière,
lui permettant d’avoir une position suffisamment soulevée et confortable,
pour la lecture
je m’installais quelques mètres plus loin d’elle,
c’était une partie plus tranquille du parc où les gens étaient moins les uns sur les autres,
je restais de longues minutes, les yeux fermés,
juste à goûter les rayons du soleil sur la peau
et le chant des oiseaux, dans les oreilles
à un moment donné, j’ouvrais les yeux,
j’avais dans mon axe de vision sa silhouette charmante,
elle n’était pas belle, belle
mais elle était jeune, fraîche, pleine de vie, un beau corps,
mon regard s’égarât à gauche, à droite, sur les arbres, sur les gens plus loin,
il y avait le bruit des voitures, aussi, tout autour du parc
qui arrivait jusqu’à nous
puis je revins vers elle,
elle avait décroisé les jambes,
comme tout mâle qui se respecte, quelque soit son âge,
ses jambes nues, dévoilées bien plus, accrochèrent mon regard ,
du mollet, je remontais lentement vers la cuisse,
à présent bien visible sur toute sa longueur,
je figeais mon regard bien à l’intérieur de celle-ci et remontait encore,
me glissant sous la jupe qui était bien remontée,
sans qu’elle s’en rende compte
mon regard montait, montait, centimètre par centimètre,
parcourant sa peau blanche, jeune
et eut la surprise, là où il aurait du être arrêté par la toile d’un sous-vêtement,
de rencontrer une toison , ma foi, bien développée,
comme je les aime
je restai, fasciné , le regard plongé vers son entrejambe qui se dévoilait,
je me mis définitivement à bander quand elle bougeât un peu les fesses
et que j’entrevis sa raie, le rose-rouge de sa chair intime,
cela ne dura qu’un court instant
mais ma respiration est devenue intense, s’accélérant
je relevais mon regard vers son visage
et je vis qu’elle me dévisageait,
je m’apprêtais à voir son regard se courroucer, s’emplir de colère,
la voir changer de position, voire se lever et partir
mais non, elle me sourit
et elle écarta les jambes un peu plus,
j’avais désormais dans mon champ de vision,
au milieu de sa toison , son sexe entrouvert, baillant magnifiquement
comme je bandais ferme , désormais
et il y avait plein d’excitation dans mes yeux,
je voyais que cela lui faisait de l’effet,
ah, une libertine qui ne dédaigne pas un peu d’exhibitionnisme,
je me suis dit, je vais peut-être passer un bon moment,
tant pis pour les chants d’oiseau et le soleil
elle approcha la main de son sexe, se mis à se masturber lentement,
à se titiller le clitoris, à s’écarter les lèvres d’en bas, en tirant sur les poils,
pour que je puisse y plonger le regard
et après avoir jeté un coup d’oeil aux alentours, y allât plus franchement,
je ne perdais pas une miette du spectacle, plus bandant que jamais
elle se caressa les seins aussi, par moments, à travers la toile de sa robe,
tendant celle-ci tout autour,
me faisait bien voir leur forme splendide, bien développée, avec les tétons pointant
à ma droite, un peu plus loin, seul, un couple en train de se bécoter,
je mis mon sac, debout, à côté de moi, faisant écran, par rapport à eux
je m’assieds, ouvris ma braguette et sorti mon sexe gorgé de sang, dressé,
je me mis à le caresser tout en la regardant se masturber à quelques mètres plus loin,
elle plongeât son regard longuement sur mon braquemart, à l’air
et comme inspiré par lui,
continua son manège de plus belle,
se léchant les doigts de de temps à autre
puis les replongeant immédiatement vers son clitoris, ses lèvres humides, ouvertes
je la voyais haleter de plus en plus, maintenant,
moi-même, j’étais déjà, aussi, à un stade bien avancé d’excitation,
je secouais mon pénis de plus en plus,
toujours personne aux alentours, du moins, on ne voyait personne directement,
peut-être qu’il y avait des voyeurs, dans les buissons, plus loin,
cette idée m’excita encore plus
pendant un instant,
j’imaginais, des hommes et des femmes, sortant soudainement des bosquets,
se déshabillant en se ruant sur nous
et une partouze générale, dans ce coin bien tranquille du parc,
des vagins et des bites, partout , tout autour de moi et d’elle,
nous submergeant tous les deux,
nous enfouissant sous une marée d’hommes et de femmes, en chaleur
elle se mit à gémir très fort et à trembler comme une feuille,
cela me fit éjaculer instantanément,
quelques instants, après, elle se leva en me souriant et s’éloignât,
je me levais aussi et partis dans l’autre direction
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