- Ce sujet contient 11 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
bzo, le il y a 2 années et 8 mois.
- AuteurArticles
- 1 janvier 2021 à 20 h 57 min #39971
tomcat1990
Participantbonjour,
tout d’abord merci pour ce forum et ces réponses, qui reste la meilleure expertise à ce jour et m’a permis de découvrircette façade de ma sexualité !
aujourd’hui j’ai décidé de mourir moins con,et de tout fairepour en profiter au maximum.J’ai un doute sur ma facon de faire, mais pas evident.
AYant bien lu toutes les recommandations et les erreurs a eviter, je pratique a chaque seance, environ 20 minutes de relaxation vraie, avec en general 3 4 jours d’abstinence pour etre assez reactif sexuellemen.
une premiere vague monte assez rapidemnt, et les quelques contractions deja pratiquées sont (des plus) agréables.J’ai remarqué qu’alors si j’utilisais mon casque VR associé a des contenus ultra erotiques, ca creer un plaisir sans precedent.
Maintenant j’arrivre en general a une premiere vague assez intense mais qui ne transforme pas, elle se dissipe en douceur, puis elle retombe au départ.
Bien sur je debute et ca ne m’inquiete pas, mais j’ai besoin d’etre orienté !
Est ce les images 3d ne sont pas un catalyseur trop puissant, càd me dirige trop vite vers une excitation plus penienne et trop concrete,vaut il mieux un fantasme diffus que des images brutes? en gros est ce que je dois l’oublier le casque vr? Si certains l’utilisent je veux bien savoir comment.
Quand le plaisir arrive, en general assez rapidement, quelle est la meilleure chose a faire pour l’amplifier, penser a rien, plus rien toucher, autre? J’ai m’impression que la crainte de le perdre qui est la cause de sa disparition !
Derniere question : en terme de rythme, comment faites vous des pauses ? est il judicieux de s’arreter un quart d’heure par exemple apres une vague de plaisir dechue, ou faut il gardrer l’excitation ?
Encore une fois merci pour toutes ces infos !!!
2 janvier 2021 à 0 h 20 min #39972bzo
Participanthello l’ami, bienvenu dans cet antre du vice,
cet antichambre virtuel à tous plein de plaisirs interdits
où se chuchotent des conseils, où se chuchotent des secretsle tôlier, maître des clefs et des techniques est absent pour l’instant,
alors je le remplace un peu du mieux que je peux,
histoire que les requêtes ne restent pas sans réponsealors donc…
J’ai un doute sur ma facon de faire, mais pas evident.
non, pas évident, en effet, la vérité, c’est qu’il faudrait pouvoir partir de zéro,
faire table rase de toutes les idées reçues, de tous nos automatismes sexuels,
juste faire confiance à sa chair et à son désir
mais en attendant d’y être, on fait comme on peut
et on cherche toutes sortes de trucs qui accélèreraient le processus
mais sache bien quecasque VR associé a des contenus ultra erotiques
,
cela t’apporte sans doute un plaisir immédiat
mais c’est loin d’être la bonne méthode pour accéder à un plaisir prostatique de qualité
et qui t’emmènera aussi haut que tu l’espères,
c’est un palliatif
mais si tu veux un jour jouer dans la cour des grandes sensations,
il faudra peu à peu abandonner ce genre d’aide extérieurepeut-être en parallèle, continue ainsi mais aussi à côté d’une façon plus dépouillée,
rien qu’un masseur, ton corps et un peu de lubrifiant, voire juste en aneroless ton corps et toimais je sais que ce n’est pas facile au début
et qu’il est bien tentant d’essayer d’utiliser toutes sortes d’artifices pour accélérer la choseAYant bien lu toutes les recommandations et les erreurs a eviter, je pratique a chaque seance, environ 20 minutes de relaxation vraie, avec en general 3 4 jours d’abstinence pour etre assez reactif sexuellemen.
cela, par exemple, c’est juste théorique et cela dépend tellement d’une personne à l’autre,
la relaxation, c’est pour créer un terrain propice à l’écoute de son corps, au dialogue avec celui-ci
mais une fois que tu as de l’expérience, il ne t’es plus nécessaire
pour te connecter à ton corps et éveiller ta prostateles trois quatre , jours de délai, entre chaque séance,
c’est juste s’affliger de la torture pour rien, si le désir est là,
bon si tu achèves chaque séance par une masturbation,
évidemment les ondes prostatiques doivent retrouver de la vigueur
mais tu peux très bien t’exercer malgré tout,
il faut apprendre à écouter son désir, moi je dis, si l’envie est là, alors on peut y aller,
c’est plutôt pendant la séance qu’on devrait sentir si cela ne vaut pas la peine d’insister
et qu’il vaut mieux reprendre un autre jourEst ce les images 3d ne sont pas un catalyseur trop puissant, càd me dirige trop vite vers une excitation plus penienne et trop concrete,vaut il mieux un fantasme diffus que des images brutes?
idéalement, tu n’as besoin de rien du tout, tu as tout ce qu’il faut en toi,
tu ne devrais pas trop prendre l’habitude de ces excitations artificielles,
la qualité du plaisir que tu parviendras à faire naître, sera de médiocre qualité
mais si tu peux avoir ainsi des sensations en quantité,
de plus tu progresseras peu, voire pas du tout,
de plus ton plaisir en sera dépendant,
tu ne pourras pas en obtenir autrement en pratiquant si tu t’y habitues de tropDerniere question : en terme de rythme, comment faites vous des pauses ? est il judicieux de s’arreter un quart d’heure par exemple apres une vague de plaisir dechue, ou faut il gardrer l’excitation ?
pourquoi s’arrêter? moi je fais souvent des pauses mais juste quelques secondes, une minute tout au plus,
plus que cela, en effet la tension sexuelle que tu as réussi à éveiller,
va partir en fumée et il va falloir rallumer le feusi tu veux pratiquer dans la manière du traité d’aneros, alors relis-le attentivement
et essaie de suivre les directives
mais il ne faut pas le faire à la lettre, il faut s’écouter et encore s’écouter
et ne pas hésiter à diverger, à faire différemment si ton intuition, ton désir, te le murmurent2 janvier 2021 à 11 h 52 min #39973tomcat1990
Participantmerci beaucoup pour cette reponse.
Je vais cogiter ca tranquillement et faire une petite pause, et on y retourne.Ce qui me fascine etant moins la puissance de la chose que le fait d’avoir zappé ça tant d’années, il n’y a pas plus de honte a avoir de jouer derriere que devant, cest juste qu’un paquet de nerfs a été deposé la…ah les moeurs.
merci encore, quand je serai au point (en esperant l’etre un jour), je ne manquerai pas de partager mon chemin pour aider les autres en tout cas !
2 janvier 2021 à 12 h 48 min #39974bzo
Participantceci dit, si tu prends ton pied comme cela,
peut-être ne change rien, juste que pour un plaisir prostatique full size,
cela ne le fera pasje crois vraiment que si tu veux t’engager dans un plaisir prostatique
qui t’emmène aussi aussi loin qu’il y a moyen d’aller,
exerce en parallèle,
d’un côté, cette façon que tu as mis au point et qui donne beaucoup de satisfaction
et de l’autre, une façon plus minimaliste, juste le masseur et rien d’autre comme artifice,
sans doute au début, tu auras des résultats limités ainsi
mais avec cette autre manière, tu compenserasidéalement, je te recommande même d’ajouter aussi une pratique aneroless,
c’est-à-dire sans masseur du tout,
ainsi ton spectre sera maximal et quand ces deux autres pratiques aboutiront aussi,
je peux te l’assurer, tu ne le regretteras pas,
cela vaut vraiment la peinetu pratiques de quelle manière, tu suis le traité d’Aneros, à part ton casque VR
ou bien d’une manière? décris un peue qui me fascine etant moins la puissance de la chose que le fait d’avoir zappé ça tant d’années,
on en est tous plus ou moins là,
moi j’ai découvert cela, je devais avoir 56 ou 57 ans,
d’autres, encore plus tard,
chanceux sont ceux qui le découvrent beaucoup plus tôtmais bon c’est comme cela, l’important malgré tout, c’est qu’on a encore beaucoup d’années devant nous
car c’est une pratique qui peut nous accompagner jusqu’à notre dernier souffle,
une capacité à jouir, à multi-orgasmer que sans doute la plupart des hommes ne connaîtront jamais,
même ainsi on fait encore parti de privilégiésmerci encore, quand je serai au point (en esperant l’etre un jour), je ne manquerai pas de partager mon chemin pour aider les autres en tout cas !
c’est le bon état d’esprit, il faut passer le relais, s’entraider car nous sommes finalement très peu,
cela reste une pratique très marginale
et les informations vraiment utiles, ne sont pas faciles à trouver,
or ici, on a vraiment besoin de quelques sérieux coups de pouce et d’encouragements, au début
car on avance sur un terrain totalement inconnu, dans le noir,
côtoyant beaucoup de tabous sociaux et intimes,3 janvier 2021 à 13 h 10 min #39986tomcat1990
Participanttu pratiques de quelle manière, tu suis le traité d’Aneros, à part ton casque VR
ou bien d’une manière? décris un peuoui et non, jai lu le traité d’aneors, mais apres j’ai plutot fait un mix de techniques, conseils de gens plus avancés sur le forum, le tout connecté a ce que je ressentais.
Avant hier je suis passé sur G rider et ca a quasi marché!le casque VR propulse en effet l’excitation, et je vais en effet suivre tes conseils et pratiquer sur plusieurs modes.
Maintenant il peut etre un catalyseur permettant de faire ressentir ce que l’on cherche, et le plus important reste de l’identifier, exactement comme on passe du masseur au A-less, celui ci permet surtout de montrer le truc, et apres on retrouve le chemin.
En pratique, j’ai commencé par 10 bonnes minutes de relaxation avec un asmr de type freehandsorgasm, en anglais sans forcement comprendre tout. Le tout centré sur la respiration.
avec un helix, sans mobilisation.Puis quelques contractions plutot longues type traité, sans rien chercher.
Ensuite, je suis passé sur mon g rider, avec un oculus+ Vr sur des scenarios que j’apprecie, tout en gardant l’asmr en bruit de fond (il est aussi important que l’image).
Un des trucs (pour les debutants) ultra important, les clonies des membres qui apparaissent semblent isolées et tres discretes au debut, mais il faut y preter attention et surtout les laisser s’amplifier,cest une des portes d’entrée!En ce qui me concerne les clonies n’ont pour l’instant concernées que le haut.
je reessaierai dans qq jours.
D’ailleurs a ce sujet bzo est ce que les clonies persistent a chaque orgasme, ou elles s’attenuent apres, cest assez violent comme phenomene ! (je n’imagine pas le truc a deux avec ca)
merci en tout cas pour tes conseils !3 janvier 2021 à 17 h 40 min #39998bzo
ParticipantD’ailleurs a ce sujet bzo est ce que les clonies persistent a chaque orgasme, ou elles s’attenuent apres
euh, qu’appelles-tu “clonies”? je ne vois pas du tout à quoi tu fais allusion
3 janvier 2021 à 17 h 52 min #39999paul
Participanteuh, qu’appelles-tu « clonies »? je ne vois pas du tout à quoi tu fais allusion
Tremblements, convulsions…
3 janvier 2021 à 18 h 03 min #40001bzo
Participantah ok
s’ils persistent? c’est variable, cela dépend en fait du type d’orgasme prostatique,
il y a une grande variété d’orgasmes prostatiques,
certains sont plus des extases, parfois de plusieurs minutes, c’est très calme physiquement alors,
on se sent complètement parti, comme hors du tempsmais les orgasmes plus physiques, oui cela peut persister
mais bon à deux, je ne suis pas sûr qu’ils sortent de la même manière,
il y a un effet communion avec l’autre personne, on n’orgasme pas chacun dans son coin,
en plus il y a quand même une excitation pénienne aussi,
à moins que vous vous y preniez de manière très particulière, sans utilisation du pénis,
sans contact de la ou du, partenaire, avec celui-ci3 janvier 2021 à 18 h 47 min #40002bzo
Participantmais je peux être plus précis car avant d’avoir cette pratique mixte
où je mélange constamment ondes prostatiques et ondes génitales et aussi très régulièrement des anales,
j’ai eu un parcours uniquement prostatique très complet
où j’ai goutté à peu près à tous les types d’orgasmes possibles
et suis passé par tous les dérèglements possibles dus à l’intention de la jouissancedonc, ce que j’ai déjà décris plus haut,
des sortes d’extases qui pouvaient durer plusieurs longues minutes,
l’impression qu’on est plongé dans un aquarium à la densité très forte et chaude,
comme hors du temps et hors du monde, tout semble à l’arrêt,
là, aucune manifestation physique, c’est très calme,
on peut vivre par contre des sortes d’hallucinations, de mirages, avec tous ses sens, tout son corps,
cela m’est arrivé plusieurs fois, c’est très très impressionnantles super O, sont souvent très très violents, je me rappelle de deux ou trois
où je suis tombé du lit et j’ai continué par terre, pris de convulsions , de spasmes, me cognant aux meubles,
épique, des moments qu’on n’est pas prêt d’oublier,
j’étais couvert de bleus aprèsles orgasmes qui s’enchaînent, parfois pendant de très longues périodes,
peuvent aussi être assez violents, ce que j’avais beaucoup durant ces orgasmes,
c’est que je tremblais comme une feuille
mais ce n’était pas désagréable, l’impression qu’on battait du tamtam partout en moi, que mon sang bouillonnait,
c’était très rythmique, très telluriquesi on accepte, si on n’est pas inquiet, si on accueille toutes ces manifestations physiques extrêmes
qui témoignent de l’intensité des sensations qui nous habitent dans ces moments-là,
je n’ai jamais eu à me plaindre ou senti mon plaisir diminué à cause d’ellesmais ces orgasmes qui accompagnent l’éjaculation après qu’on ait eu beaucoup de sensations prostatiques,
que la prostate a bien participée, a été bien excitée,
sont toujours très violents, j’ai pu constater,
tremblements, convulsions, spasmes, “bonds de kangourou” sur le matelas5 janvier 2021 à 18 h 42 min #40024tomcat1990
Participantmerci bzo pour ce témoignage !
Ca me rassure en effet, c’est ce que tu décris (en beaucoup moins intense !)J’ai encore du chemin !
il y en a en effet plusieurs j’ai l’impression, meme si ce sont des mini O je pense, ils sont a chaque fois differents.7 janvier 2021 à 16 h 04 min #40034kundi
ParticipantJe contribue au sujet car j’ai une pratique actuelle qui peut ressembler:
Je n’utilise pas de VR mais de l’audio avec parfois en complément un masque pour occulter la vue.
j’utilise un péridise pendant environ dix minutes puis un helix. Au total la session dure entre 45 minutes et 80 minutes.
L’audio consiste en deux “pistes” séparées:
– la première piste provient de la HiFi. Elle diffuse dans la chambre de la musique à volume faible mais perceptible
– la deuxième piste provient d’une tablette, avec écouteurs dans les oreilles. Elle diffuse l’audio de vidéo d’ébats sexuels
Coté sensations ce qui change surtout c’est la durée des sensations comparée à si je n’utilise pas d’audio. Avec l’audio, les sensations durent bien plus longtemps, avec des petites vagues continues qui s’enchaînent sans interruption.
Un autre élément qui doit contribuer de manière importante, c’est que j’ai fais en sorte d’être empêcher de stimuler le pénis. Pour faire court, je pourrais dire que j’ai bricolé une sorte de cage de chasteté ample; qui ne touche presque jamais le pénis.
A l’heure actuelle, je pense que ces “artifices” me permettent de rester plus longtemps dans un état d’excitation très propice à la pratique du plaisir prostatique (et anal en début de session).
Par contre, c’est possible que cette méthode génère de l’excitation “par frustration”, qui perdure après la session. En effet, je n’atteins pas d’orgasme prostatique. Je suis donc “obligé” de résoudre l’excitation et le plaisir ressentis par un orgasme en fin de session par stimulation du pénis. Mais le niveau de libido reste élevée par la suite !
Donc d’un coté ça semble aider pour le plaisir prostatique, et d’un autre coté cela semble ne pas m’aider pour l’orgasme prostatique et produit une excitation qui n’est pas satisfaite.7 janvier 2021 à 19 h 56 min #40041bzo
Participantc’est une illustration de ce que j’ai écrit plus haut,
les artifices, s’ils rendent plus rapides l’apparition des sensations,
les limitent aussi du fait d’une qualité générale moindre, avec moins de potentiel en euxcependant bien sûr, dans un premier temps, ils sont acceptables pour permettre de ressentir, d’éveiller
mais il ne faut pas en faire une habitude au long cours,
il faudrait vraiment élaborer une sorte de stratégie de “désintoxication” très progressive
qui permettrait au bout d’un certain temps de s’en passersinon l’on risque de plafonner, de rester toujours au même niveau, avec des sensations qui n’évoluent pas,
c’est toxique au long cours,
on risque la lassitude, le désintérêt - AuteurArticles
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.