#15906
Hyménée
Participant

Bonjour vous deux,

Ce matin, je médite sur vous Hector, ne m’en voulez pas. Je vais poursuivre ici la discussion sur les pulsateurs, et puis je démarrerai un sujet dédié 🙂

Je crois qu’il faut que vous continuiez à donner sa chance au Drei. J’ai l’intuition qu’il a un fort potentiel, et tout comme n’importe quel aneros, la puissance orgasmique ne se dévoile pas du premier coup.

Je trouve que sa longueur et sa forme ondulée sont des atouts, mais c’est vrai : les vas-et-vients étant intérieurs, il ne faut pas les considérer comme des fuckin’ machines (et c’est toujours mon tort).

J’ai longtemps fantasmé sur ces machines. Il y a une scène incroyable avec une fille sublime, qui réussit à éjaculer rien qu’en étant stimulée analement par une machine au rythme impitoyable. Vous pouvez visionner la scène en cherchant “Sindee Jennings Fucking Machine” là où vous savez 😉

Voir ce genre de scène est autant jubilatoire que libératoire. On se rend compte que les orgasmes profonds sont possibles, que ce n’est pas du bluff, et qu’il suffit de se laisser aller pour les atteindre. Et puis, le corps de la fille ne prête pas à confusion dans cette scène. J’adore ses yeux révulsés, le corps qui se détend totalement, les jambes qui s’écartent, l’âme qui s’ouvre à cette force extérieure impitoyable, et qui en jouit. Le squirt montre le degré d’incontrôle dans laquelle cette fille se trouve. Ce que je trouve sidérant, c’est qu’elle y arrive face caméra.

J’ai souvent médité sur les squirts, en tentant de les rapprocher des orgasmes prostatiques. Je ne sais pas bien en fait. C’est probablement fantasmatique, mais cela m’a guidé un temps vers l’orgasme prostatique.

Bon, il est clair que les mouvements des pulsateurs ne sont pas de la même nature que cette fuckin machine. Il n’empêche qu’il y a quelque chose d’extrêmement intense, et de sûrement mieux adapté pour la prostate, car la stimulation anale est plus souple.

Difficile de séparer le fantasme de la pratique