#16473
Hyménée
Participant

… 45min de jouissance intense jusqu’à, horreur, fin de la batterie …

Ah ! Ah ! Ca m’est arrivé aussi ! J’ai cru qu’il était cassé tant la surprise est grande quand il s’arrête net !

… j’ai essayé le Duke de Fun factory : une catastrophe absolue ; j’ai eu l’impression d’être attaqué par un marteau-piqueur …

Je confirme : le vibreur du Duke est très intense et impossible à régler contrairement au Vice (trois puissances).

Mais il n’est pas TROP intense : quand on prend le temps de s’approcher de la fournaise en commençant par le Vice (par exemple), l’intensité est juste parfaite. C’est TROP bon.

… je n’arrive pas à voir de quelle vidéo tu parles …

Celle du mois d’avril dernier. J’ai fini par comprendre ce qui se passait, car le Duke mène aux mêmes extrêmes avec un sérieux avantage en plus :

Veronica cherche les orgasmes profonds et les vit pleinement : si vous observez bien son corps, vous remarquerez que des muscles profonds poussent tout son bassin lors de l’orgasme : Ce ne sont pas les muscles autour de la vessie ou de l’anus qui agissent. On dirait même qu’ils sont victimes de la poussée.

Non : elle arrive ici par ses jouets à exciter des zones érogènes profondes (elle arrive au même résultat avec un ou plusieurs partenaires masculins ou une partenaire féminine équipée). Ces zones érogènes la font orgasmer d’une façon pas banale : tel un tsunami qui balaie tout sur son passage, son corps éjecter les formes extérieures qui l’ont amené à ce plaisir suprême.

La poussée est tellement forte que rien ne lui résiste. Elle squirte au passage, mais ce n’est même pas cela l’important : les zones érogènes habituelles l’interessent peu. Il se passe quelque chose de bien plus intense au-dedans. Au fond.

Ce qui est vraiment sublime à voir, c’est qu’un orgasme ne lui suffit pas. Ce n’est pas un aboutissement, juste un appel à aller chercher des orgasmes encore plus chavirants. Ma pratique du Duke est la même, hormis une petite différence :

Le Duke reste en place et n’est pas éjecté ! 😀

Ca donne un moment extraordinaire, sans aucune frustration : je pense que Veronica Avluv aimerait bien vivre de même, et ne pas éjecter son amant alors qu’il titille le point le plus intime et le meilleur. Elle aimerait le garder au chaud, et je la comprends.

Avec le Duke, Il y a la poussée orgasmique des muscles profonds, et l’amant de silicone ne sort pas même si on ne le tient pas. Ca donne des orgasmes incontrôlés fous où le corps peut s’étendre, convulser à souhait, à l’image du corps de Veronica : les épaules partent en arrière, les abdos palpitent, les jambes tremblent, les seins pointent, la chaire de poule, le désir à fleur de peau.

Et un peu comme la coquine, une fois qu’on a joui comme ça, on n’a qu’une envie, c’est jouir encore et plus profond. La folie est telle qu’on est pris par l’envie de participer activement l’incontrôle : tenir fermement le duke alors que tous les muscles du bassin tentent de l’éjecter … et tenter une poussée inverse.

Je vous assure : le plaisir que procure le Duke quand il reprend sa place au fond APRES L’ORGASME … quand il est prêt à en provoquer un nouveau, qu’il continue son ouvrage … et que les entrailles sont prêtes à engendrer et accueillir un nouvel orgasme profond … Ce plaisir est au-delà de tout ce que j’ai pu vivre.

Il est probable qu’on me retrouve un jour mort d’un AVC, avec un Duke dans le cul ! Une fin glorieuse ! 😀

Maintenant que j’ai repéré la zone érogène profonde, j’arrive à l’atteindre avec le Vice en le poussant au maximum Ca marche, mais le Vice n’est pas tenu par les sphincters comme peut l’être le Duke. On n’a pas la sensation d’être rempli, mais plutôt d’être appelé à chevaucher. C’est fabuleux aussi.

Regardez les orgasmes de Veronica, imaginez-vous à sa place, et suivez le lapin blanc.