#22996
nydor01
Participant

Bonjour bzo

Je ne pourrais pas répondre, je ne sais pas en quoi consiste exactement le « milking ».
Dans mon cas, je pense, cette émission de liquide est due à l’intensité et la durée du massage interne. Mais j’ignore si le massage en lui-même peut entraîner la sécrétion de liquide en supplément. L’explication ne peut pas être reliée à l’abstinence, car j’avais eu une relation sexuelle deux jours avant. Toujours est-il que la quantité émise m’étonne encore.
Pour la pratique de l’orgasme prostatique sans masseur, il y aurait beaucoup à en dire.
Je contracte surtout les muscles PC, le périnée d’abord, que je muscle quotidiennement en m’asseyant sur le bord d’une chaise (les testicules au-dessus du vide si l’on peut dire), les jambes à angles droits, les mains sur les cuisses… Je me suis rendu compte que la force du périnée était primordiale pour accéder à l’orgasme de la prostate. Avant même la séance proprement dite, je fais une série de contractions pour éveiller l’ensemble du plancher pelvien, les sphincters, la prostate.
Une fois installé, je poursuis mes contractions, en faisant jouer aussi les muscles internes que je perçois plus facilement à présent. J’alterne avec des contractions douces de l’anus. Depuis que j’ai progressé dans cette pratique, le rapport entre contractions anales et périnéales s’est d’ailleurs inversé en faveur des secondes. La force du périnée permet également de soulager l’effort musculaire, je me souviens qu’au début je fatiguais assez vite, et mes sensations s’en trouvaient altérées. Parfois, je caresse mes mamelons, qui sont devenus ultra-sensibles, pour éveiller plus vite encore ma prostate.
Les sensations arrivent rapidement. Une fois qu’elles sont installées, je réduis la force de mes contractions volontaires, qui peu à peu disparaissent dans le cycle des spasmes pour faire place aux contractions involontaires. Contractions qui touchent davantage le rectum que l’anus.
Voilà pour un premier topo.