#29471
bzo
Participant

ma séance dominicale, ma messe à moi,
je loue les seins, les clochers et leur tour molle, penchée façon Dali,
et mon petit noyau d’amour, ma petite boîte à vibrations dans les catacombes, dans son nid

c’est fou tout ce qu’on peut faire avec ses cuisses,
je les serre l’une contre l’autre, je les frotte,
entre eux bien sûr,
il y mes couilles et mon pénis qui réagissent à toutes ces sollicitations délicieusement,
plein d’ondes sexuelles mâles pour mon pussy,
cela tournicote dans ma chair tendre, molle, réceptive, lubrifiée,
cela s’enflamme, cela frissonne, cela laboure tendrement, cela déflagre joyeusement

mes cuisses se frottent l’une contre l’autre lentement,
cela éveille une houle lascive dans mon bassin,
une telle onctuosité entre mes hanches,
comme c’est onctueux, comme cela ondule,
je suis empli de courbes qui dansent,
je suis empli d’un rythme langoureux,
ouate tendre, chaude, caressante,

comme c’est bon de se laisser aller,
la pente du plaisir, une pente douce, je me laisse glisser lentement, je roule lentement,
dans mon anus-pussy, je sens quelque chose de dur, quelque chose d’oblong,
cela frotte et cela m’emporte,
à chaque lente pénétration je suis roulé toujours un peu plus loin,
je n’ai plus que le ciel au-dessus de ma tête,
mon corps offert à l’océan,
à sa pénétration liquide de toutes parts,
l’océan m’a pris dans ses bras, m’emporte, me berce,
me roule comme son jouet, son pantin, du moment

il n’y a plus rien, que cette onctuosité dans ma tête qui me berce,
qui me roule toujours plus loin sur une grève lointaine,
en avant-garde de ma chair,
le plaisir a fleuri,
le désert est recouvert de fleurs

d’abord 45 minutes en aneroless
puis une trentaine avec masseur,
la bonne grosse tête de Carabosse, ma petite fée
venant se presser contre ma prostate,
ils sont fait pour s’entendre ces deux-là,
quelle dialogue d’amoureux,
la belle et la bête

bon dimanche aux absents