#31332
Ch313
Participant

Serait-ce une bonne nouvelle ?

Ce matin je me réveille de très bonheur à cause de problèmes de transit. Devant la probabilité d’avoir besoin plusieurs fois d’aller aux toilettes, je ne me recouche pas. Je déjeune un peu et je m’installe dans mon fauteuil. Après deux vidanges je me laisse aller à une séance pas très profonde car je reste vigilant craignant des expulsions involontaires.
Pierrette s’est quand même offert quelques plaisirs….
Les besoins de toilettes s’étant estompés, je retourne me coucher près de ma compagne.

Quand elle se réveille, c’est elle qui se rapproche de moi.
Elle me caresse le torse. Je pense qu’elle m’invite alors je tente de me rapprocher. J’essaye de la caresser à mon tour. Mais elle ne veut pas, repousse ma main.
Désolation . . .
Elle descend sa main sur mon ventre, je me laisse aller, ‘j’en prends mon parti’.
Je vais ‘laisser faire’, advienne que pourra. Des spasmes commencent alors à me secouer.
Pour ‘m’accompagner’ je pose mes mains sur mes seins, je tripote mes tétons.
Je laisse mon pubis s’envahir de chaleur. Je laisse Pierrette prendre possession de moi.
Tout juste si je m’aperçois qu’elle a pris mon sexe dans sa main.
Elle me caresse, me masturbe et contrairement à l’habitude elle ne me demande pas de mettre ‘un machin’. Je tente à nouveau un rapprochement mais cela se solde par un échec, je fait fausse route. Je me recentre sur mon pubis, Pierrette reprend mon corps.
Je commence à être pris de tremblements, je me désolidarise de ce que fait ma compagne, l’intérieur de mon pubis se remplit de contractions diverses. Je commence à jouir, je commence à gémir, les tremblements s’amplifient.
Je ne sais si mon plaisir la touche ou lui ‘fait quelque chose’ mais elle pose son autre main sur mes testicules et me les masse doucement. Je jouis encore.
Ses doigts s’insinuent entre mes cuisses, et caressent mon périnée.
Je lui suis toute ouverte, les jambes tétanisées, ses doigts pétrissent mes lèvres, je ne sens plus qu’elle tient mon sexe. Je suis totalement dans mon vagin qui pulse violemment à distiller ses doigts. Des larmes m’inondent, mon corps sursaute de toute part.
Je toute rivée à sa main. Ma vulve et sa main ne font qu’un. Ma respiration est haletante, entrecoupée de râles et de cris. Je me cambre, je retombe, elle m’accompagne toujours.
Je me ‘colle’ me connecte à sa main comme une sangsue, mon vagin l’aspire, je distille ses doigts en moi.
La pression, la chaleur, le flux s’empare de mes cuisses. Je jouis encore plus fort.
À peine je m’écroule elle me ranime, me projetant encore plus haut.
Les orgasmes s’enchaînent sans répits. Je suis balancé de vagues en vagues dans une tempête de contractions électriques.
J’en suis au dixième ciel qu’elle s’étonne : « tu ne t’arrêtes jamais ? »
Elle me demande un mouchoir, j’ai peu mouillé.
Je mets encore quelques temps à calmer les spasmes.

Cette conjonction entre cette action sexuelle externe, la masturbation que ma compagne m’a prodiguée et celle que j’ai vécue en intérieur est extraordinaire.
La stimulation externe totalement masculine entraînant une jouissance totalement féminine, je n’avais encore jamais vécu ça et que cela ait une telle puissance est sidérant.
Plus d’une heure durant Pierrette s’est éclatée en lesbienne soumise. Mon entre-jambes s’en souvient encore en cette fin d’après-midi, mon périnée est bouillant, j’en mouille ma culotte rien que d’y repenser et de l’écrire.

Sublime moment !
Que je ne peux qu’attribuer qu’au potentiel de l’orgasme prostatique, le désir de m’y abandonner et ma façon de pratiquer. Enfin un bonheur à vous faire partager.