#31772
eveilletajoie
Participant

Au contraire je pense que tu nous donnes une clé pour répondre.
Ca fait quelque temps que je patine dessus mais je pense qu’il y a quelque chose de formalisable et de compréhensible dans ceux qui peuvent se donner du plaisir de manière fiable.
Tout est dans la dualité. Chaque fois que j’ai pris du plaisir je me suis senti “deux” avec ces deux qui ne sont pas en accord.
Je vais pondre un article la dessus mais ça va me demander un peu de temps, alors je vous livre l’essence du truc
Au contraire du plaisir pénien (je veux frotter plus fort = je frotte plus fort) le plaisir prostatique résulte de ce jeu permanent entre les deux parties de moi.
Qu’on les appelle masculin et féminin, yin et yang, shiva et shakti, donneur et receveur, intuitif et maîtrisé, inné et acquis… ça revient au même
La joie réside dans le fait qu’a un moment je désire très très fort et que ça ne monte que doucement, ou au contraire que je désire “tranquillement” et que ça monte hyper fort
Tout est là
Je vous mets tout ça en forme bientôt avec de jolis dessins dans un article à venir sur ma théorie des ballons