#32321
bzo
Participant

la nuit , je m’éveille toujours plusieurs fois,
juste quelques instants à chaque fois
mais souvent désormais, j’ai le réflexe de glisser ma main en bas derrière vers la fente de mon cul,
caressant au passage lentement les globes de mes fesses lentement
j’y enfonce mes doigts sans trop de ménagement,
j’aime les sentir s’enfoncer comme cela, un peu violemment,
commencer à bouger à l’intérieur, aller et venir un peu,
je sens du feu s’éveiller en moi

bouger lentement, bien tout cueillir, la moindre petite étincelle de sensation

plaisir anal avec les doigts qui bougent au ralenti, farfouillent millimètre par millimètre,
qui vont et qui viennent,
moments charmants, presque endormi,
le corps pas mal en mode automatique, la tête à peine émergeant du monde des rêves,
mais assez
mais assez ainsi après quelques instants,
avant de me rendormir temps de passer à des choses plus sérieuses,
d’avoir une sensation plus riche, plus pleine, qui engage tout mon être

j’immobilise donc les doigts à l’intérieur
et je lance une contraction,
la contraction avec son cortège de vibrations provenant de la prostate,
elle vient envelopper mes doigts,
ils semblent fusionner, ne plus former qu’un

ensemble ils semblent former un organe mâle en érection tellement convaincant,
mes entrailles en sont immédiatement tout retournées
et je ne peux m’empêcher de commencer à gémir
au rythme des contractions,
les doigts parfois bougent un peu, s’enfoncent un peu plus, changent légèrement de position
mais vraiment très peu, il est même essentiel qu’ils restent le plujs inertes possible
et que ce soit les mouvements du bassin et surtout les contractions
qui fassent bouger l’ensemble

je n’insisterais jamais assez sur cette sensation de fusion immédiate entre la contraction,
les muscles qui portent la contraction et puis les doigts,
ils semblent vraiment en plus former qu’un organe
évoquant tellement délicieusement, tellement puissamment la pénétration

aussi, corollaire,
dès que la contraction se met en route, que ma prostate se met à vibrer,
ce ne sont plus des doigts qui jouent dans mon anus
mais mon A-pussy que je sens instantanément,
cet organe sexuel féminin qui n’était au début qu’une petite graine en moi
et que j’ai fait patiemment pousser,
jusqu’à devenir cet sexe adulte d’une puissance tellement douce et illimitée

je sens ses plis et ses replis tendres
qui vont et qui viennent comme des lourdes voiles de chair
sous mes doigts bougés par les contractions,
je sens le velours intime des muqueuses frottées,
je sens ses milliards de connexions nerveuses qui frémissent, qui palpitent,
au moindre contact, au moindre frottement,
levant tout un océan de volupté en moi