#32937
oilofozil
Participant

Je reviens à la charge, merci pour vos commentaires, tous judicieux !

– La psy: pas encore abordé l’épineux problème, je vous tiens au parfum. Comptez sur moi cependant pour faire l’apologie de notre pratique, suis curieux à l’avance de voir sa réaction.

– Du nouveau dans la pratique:
Je me suis trouvé confronté à une pénurie de substance récréative. Que j’utilisais systématiquement lors de mes séances.
C’était décollage rapide assuré, tutto bene !
“”Quand bien même tu vas devoir être patient” me dis-je, fut ma réaction.
En réalité, ce fut un immense couac, je me suis retrouvé à n’analyser que de très légères contractions, des spasmes poussifs à peine élaborés, une espèce de nomand’s land; l’équivalent d’orgasmes d’il y a 3 ans, cad rien !
Coup de blues.
Je répétai l’expérience le lendemain puis le surlendemain, que nenni, la désolation.
JAMAIS cela ne m’était arrivé.
J’ai donc remisé le matos au placard pour quelques jours, histoire de laisser reposer la glande, de prendre patience et d’éviter de ressasser.
Et puis j’ai réattaqué, avec dose massive de lub, bien décidé à en découdre. Nettement mieux.
Et puis à nouveau, encore mieux; sur la bonne voie, sans atteindre tout à fait en perception les sommets antérieurs.
Hier j’y étais, nickel, ça refonctionne ! Waouh !
Tellement content que je suis allé puiser dans mon ultime réserve de quoi m’en rouler un.
Oh les amis, quelle séance !!!
Je n’arrive pas à traduire comme notre cher #bzo !
Juste en gros, des phases de montée rectiligne, de la jouissance subtile agrémentée par des contractions millimétrées et contrôlées des sphincters, un délice tout en phrasé et en longueur et ensuite, le lourd, l’orgasme qui scotche, des spasmes à n’en plus finir à bouffer l’oreiller. Quels crunchs les copains ! Ça me laisse toujours pantois. Vertigineux.
Je n’en tirerai aucune conclusion, mais …!!

Bon courage à tous, moi, ça va ! Zen de chez zen.