#33184
bzo
Participant

exactement les mêmes acteurs de mon plaisir dans mon bassin donc,
me permettent désormais de jouer tantôt sur la composante verticale,
tantôt sur la composante horizontale,
de mon plaisir

c’est en fait une question juste de proportions
mais les deux pôles doivent rester actifs à peu près constamment,
pas en continu strictement
mais en assurant malgré tout une continuité de service
dans l’apport d’énergie mâle et d’énergie femelle autant que l’action dans l’instant le nécessite,
c’est ainsi qu’on a de puissants et de bien perceptibles pôle masculin et pôle féminin
en soi qui animent les débats,
que la sensation d’union, de communion est forte,
que la sensation d’un acte sexuel dans sa chair est vécu avec total réalisme ,
est vécu avec ardeur, avec passion, avec exaltation

c’est en fait donc une question juste de proportions,
les cuisses s’immobilisent plus ou moins contre les couilles
et une contraction sur-puissante mais dont on peut aussi varier les effets grandement,
une fois qu’on a pris l’habitude (cela commence chez moi)
monte en nous,
explosivité, décollage, sont bien là,
la composante verticale est active à pleine puissance ainsi,
je dirai qu’il y a ici 75 % en moyenne de contraction
et 25% d’ondes provenant du contact immobile des cuisses tout contre les couilles

et puis les cuisses se remettent à danser langoureusement tout contre les boules,
les contractions se font plus légères,
ainsi c’est la composante horizontale, chez moi, qui est activée, qui est sollicitée,
le doux nectar se propage, une volupté frissonnante m’envahit,
comme par une mer de sensualité, je suis emporté,
je dirai ici que les proportions s’inversent,
on a 75% des ondes qui sont assurées par le frottement, les effleurements, les pressions
des cuisses tout contre les couilles,
75% de composante horizontale donc,
et 25% qui sont apportées par la prostate via les contractions

la voie royale, mes amis, je suis engagé sur la voie royale,
temps de récolter ce que j’ai semé patiemment, une moisson arrivée à maturité
dans toute la splendeur de son grain germé
qui a monté, monté, monté
dans la splendeur de l’été, gorgé de soleil, gorgé de terre

cela me fait écrire tout cela,
c’est comme une sorte d’éjaculation de mon cerveau basée sur ma pratique